L’attribution du nom d’incarnation

Pour rappels, les shandariens et Shandariennes possèdent 3 noms qui sont le nom essentiel qui détermine son essence de vie en tant qu’être. Le nom d’incarnation qui détermine sa personnalité d’être incarné. Le nom d’initiation (Nomen mysticum) qui détermine son être sur le chemin des étoiles.

L’attribution du nom d’incarnation

L’attribution du nom d’incarnation est l’acte par lequel on attribut un nom d’incarnation durant une cérémonie appelée Onoma (Όνομα) que l’on peut traduire tout simplement par « le nom ».  Ne concernant que ceux et celles qui sont nées de parents shandariens (et non les appelés), l’accomplissement de l’Onoma est adossé avec  le premier rite de maturation. C’est à dire qu’il est engagé aussitôt après la fin du rite de maturation devenant ainsi son continuum.

Concrètement en quoi consiste l’accomplissement de ce rite?

En fait, c’est très simple, l’hôtesse plonge son esprit dans les profondeurs de la conscience/mémoire de l’adolescent(e) afin de voir et connaitre le nom d’incarnation qui à déjà été choisit avant son actuelle incarnation ou réincarnation. Puis, elle fait remonter à la surface de la conscience de celui/celle-ci le nom en question. De là, l’adolescent(e) verra le nom apparaitre dans son champ de perception qu’il/elle devra ensuite prononcer seul (e) et à haute voix afin d’en prendre possession. Il/elle dira alors pour sceller son nom d’incarnation dans la vibration de la matière:

Je suis [prénom];

Telle sera mon identité scellée dans cette incarnation et vie stellaire;

Tel sera mon être se manifestant dans la vibration de la matière;

Tel sera mon nom résonnant dans les fréquences de l’univers;

Que soit accompli ce qui a été choisi;

Selon les lois de l’univers, Sous le règne de la conscience universelle.

Ainsi, dans le Shandarisme, on ne choisi pas le nom d’incarnation, mais on le révèle à la pleine conscience de son porteur pour qu’ensuite, celui-ci en prenne possession, car ce nom et identité incarnatoire à déjà été choisi avant cette incarnation/réincarnation et donc, inscrite dans son plan de vie de l’être. En fait, on ne devrait même pas dire attribution du nom, mais « révélation du nom« , puisqu’on ne l’attribut pas, mais qu’on le révèle à la conscience de l’être incarnée. Ce qui serait plus juste. Cette erreur de langage devrait d’ailleurs bientôt être corrigée.

Le pouvoir du nom

L’attribution du nom d’incarnation ou plutôt « révélation du nom » ne se fait jamais après la naissance, mais au début de l’adolescence. De ce fait, les enfants shandariens n’ont pas de nom d’incarnation par principe.  Sauf un nom attribué pour l’état civil et l’administration. Ainsi, la révélation du nom d’incarnation ne sera véritablement donné qu’à l’étape d’adolescence. A l’origine de cette pratique, il y a le pouvoir du nom. En effet, il faut savoir que le nom est avant tout une vibration, car pour le prononcer, nous sommes obligés d’émettre des sons. Lorsqu’il y a attribution du nom, chaque être porteur du nom est assimilé à sa vibration prononcée par la voix. De là, la prononciation du nom va avoir un effet, une influence sur sa personne. Il est alors possible d’influencer, contrôler et manipuler cette dernière. Dès lors, pour protéger l’enfant contre une éventuelle influence négative et toxique, on ne lui donne pas de nom. Ce n’est que beaucoup plus tard, à l’adolescence que l’on lui attribut révèle officiellement un nom à travers le rite d’attribution de révélation du nom d’incarnation. Là ou ce dernier prendra possession du pouvoir de son nom pour devenir un quelqu’un à part entière et ainsi sceller sa capacité d’accomplir sa mission de vie, le but de sa présente incarnation/réincarnation.

 

ZetaReticuli4779

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