La douleur du point de vue des Shandariens

Définition de la douleur

Dans la pensée shandarienne, la douleur est une information désagréable et inconfortable perçue par la conscience afin de nous avertir que quelque chose n’est pas en équilibre ni en harmonie. La douleur est en fait un mécanisme de survie essentiel.  Elle nous alerte sur des problèmes et perturbations dans notre incarnation, nous incitant ainsi à prendre des mesures pour rétablir l’équilibre et la santé. Mais pour pouvoir prendre ces mesures, il faut d’abord être conscient et reconnaissant (1) afin de voir et comprendre le message de la douleur. Il ne faut donc surtout pas la supprimer, mais comprendre le message qu’elle nous délivre pour pouvoir ensuite y répondre de manière logique et écologique. Puis une fois que cela est fait, il n’est pas utile de percevoir la douleur plus que nécessaire. On peut alors subliminer la douleur par la pratique shandarienne du Katevnasmos. C’est à dire réduire la perception de son information un niveau subliminal pour quelle devienne imperceptible à nos sens et qu’ainsi, que cette dernière ne puisse plus entraver notre accomplissement jusqu’à ce qu’elle disparaisse d’elle-même. Autrement dit jusqu’à ce que le déséquilibre qui est à l’origine soit a nouveau équilibré. Là ou la douleur n’ayant plus de raison d’être diminue pour finalement disparaitre.

Les 3 types de douleur

Selon le Shandarisme, il existe 3 types de douleur qui sont la douleur psychique, la douleur énergétique et la douleur physique.

La Douleur psychique: Aussi appelée « douleur morale » ou « douleur psychologique » chez les non-shandariens,  cette dernière est liée aux émotions, à la psyché et à la conscience. Elle n’a pas de base physique directe, mais elle est ressentie à un niveau émotionnel et psychologique. La douleur psychique peut résulter de facteurs tels que la tristesse, la perte, la culpabilité, la honte, l’anxiété, la dépression, le deuil, le stress, etc.

La Douleur énergétique: La douleur énergétique est la douleur du corps d’énergie (corps psionique). Cette douleur est principalement due a des stimuli ou dommage énergétique. Notamment lors de problèmes d’ordre psychique non résolu ou d’agression faisant suite à des attaques psychiques et vibratoires (entité, magie noire) . Enfin, lorsque cette douleur  psychique se transmet au corps d’incarnation, cette dernière permute pour devenir une douleur dite « psychomosatique ».  Cela arrive quant le psychisme n’arrive pas à résoudre son propre problème et essaye de s’en débarrasser en le transmettant au corps. Dans ce sens, lorsque l’esprit ne peut s’exprimer avec des mots, c’est le corps qui s’exprime avec des maux. Là ou « le mal à dit » qui si il n’est pas écouté pour être résolu devient la maladie.

La Douleur physique : Egalement appelée « douleur somatique », elle est la douleur physique ressentie au niveau du corps, principalement due à des stimuli ou des dommages physiques. Elle peut être aiguë ou chronique et découle de la stimulation des nocicepteurs, les récepteurs de la douleur présents dans les tissus organiques. La douleur physique est souvent le résultat de coup, de mauvaises postures ou de mauvais mouvements, mais aussi de blessures, de maladies ou faisant suite à une intervention chirurgicale.

Ce n’est pas nous qui avons mal et qui souffrons

Toujours dans la pensée shandarienne, ce n’est pas nous qui avons mal et qui souffrons, mais soit notre égo, soit notre corps d’énergie et/ou de matière. Or, nous ne sommes ni notre égo, ni nos corps physiques et énergétiques. Pour comprendre cela, il faut se souvenir que nos sommes une essence de vie (une « âme » en langage non-shandarien) incarnée dans un corps biologique et utilisant un égo pour le piloter. A partir de là:

Pour la douleur psychique: c’est notre égo qui souffre et qui à mal, car ce que nous sommes réellement et véritablement ne peut être atteint ni altérer. Et donc, ne peut souffrir de cette atteinte ou altération. MAIS… mais comme nous nous identifions a cet égo qui à mal pour X raison, nous prenons avec nous cette douleur que nous ressentons. Nous avons alors l’illusion que c’est nous qui souffrons.

Pour la douleur énergétique: Là aussi, c’est notre corps énergétique (corps psionique) qui est atteint et non notre essence de vie. Ainsi, notre corps d’énergie nous transmet l’information de la douleur pour l’aider à se débarrasser de la cause de sa souffrance.

Pour la douleur physique: Idem! Ce n’est pas nous (essence de vie) qui souffrons, mais notre corps d’incarnation. Or, comme nous sommes dans une relation de symbiose avec celui-ci, nous ressentons tous ce qu’il ressent afin que nous puissions en prendre conscience et ensuite l’aider a s’en débarrasser en traitant la cause de sa douleur (par traitement médical, chirurgical si nécessaire ou autre). Maintenant si le ressenti de la douleur du corps physique est trop forte, soit il se déconnecte temporairement et nous le suivons en perdant conscience avec lui, soit on sort de ce corps par instinct de survie. Là ou hors de notre corps, on ne ressent plus aucune douleur. Puis une fois de retour dedans,  là, on la sent passer! Chose que l’on observe également lors d’EMI (Expérience de Mort Imminente) causées par des accidents violent et altérant gravement le corps physique. L’essence de l’incarné est alors expulsée hors de son corps physique altéré. Là, elle ne ressent plus aucune douleur, elle est bien. Puis de retour dans son corps endommagé par l’accident, l’information est a nouveau transmise et le ressenti de la douleur devient insupportable. C’est donc la preuve par l’expérience de conscience que dans le cas des douleurs physiques, ce n’est pas nous qui souffrons, mais bel et bien notre corps d’incarnation!

Enfin, on peut également dire la même chose pour le plaisir et la jouissance, qu’elle soit psychique, énergétique ou physique. Par exemple dans le cas de la sexualité, homme ou femme, ce n’est pas nous qui  jouissons et orgasmons, mais notre corps qui nous transmet cette information du plaisir pour en faire l’expérience. Mais comme nous sommes toujours identifier à ce corps, nous avons l’illusion que c’est nous qui jouissons et orgasmons. Et le pire est qu’on s’attache a ce plaisir après. Quitte à en devenir l’esclave dormant (2). Pour finir, faire le discernement que ce n’est pas nous qui jouissons et orgasmons est fondamental dans les pratiques de magie sexuelle, car l’énergie sexuelle produite et libérer doit être ensuite canalisée pour être utilisée pour divers but. En ne s’identifiant pas a ce corps et ses ressentis, on garde l’esprit clair et notre propre maitrise de soi pour rester présent, ici et maintenant. On demeure ainsi en capacité de canaliser l’énergie sexuelle (par le pouvoir de l’intention) au lieu d’être emporté par l’identification à la perception de l’information orgasmique.

(1) Etre reconnaissant dans le sens de re-connaitre ce qui est connu par l’éducation et l’instruction reçue.

(2) Quant on voit aujourd’hui sur internet ou dans les médias mainstream inciter à cette recherche du plaisir charnelle, pousser à l’adultère et à la débauche, cela n’est rien d’autre que de l’attachement égotique à l’information du plaisir ainsi qu’une mise en esclavage psychique et vibratoire subtile qui ne dit pas son nom. Ceci au nom d’une liberté sexuelle purement factice et illusoire. La liberté sexuelle est un mensonge et une chimère. Là ou le dormeur courant derrière ce plaisir qui ne lui appartient pas réellement nourrit à travers la fornication et la branlette les égrégores sexuels ainsi que les succubes et incubes sans même en avoir conscience.

ZetaReticuli4779

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