Les problèmes dans l’expérience de conscience
Comme vous le savez, l’expérience de conscience aussi appelée « expérience de réalité » ou « expérience de vie » selon le degré de conscience est la pratique centrale du Shandarisme. Pratique autour de laquelle se greffe les autres pratiques que sont la culture de l’être, l’unification, les rites et les célébrations shandariennes.
Durant l’expérience de conscience que nous faisons tous durant cette incarnation (ou réincarnation selon les points de vue), nous rencontrons des problèmes. Or ces problèmes ont une fonction et donc, un sens pour notre évolution de conscience sur le chemin des étoiles. Dans ce sens, le problème est une équation à résoudre dont le but est de nous apprendre à développer notre capacité ainsi que nos compétences à pouvoir solutionner les choses. Autrement dit, donner une réponse , une solution à un état donnée. Réponse qui permettra alors d’ouvrir la conscience à de nouvelles connaissances et opportunités pour sa propre évolution et celle des autres vers la Source.
Ne pas craindre les problèmes
Ainsi, il ne faut pas craindre les problèmes en les évitant. Mais il ne faut pas non plus en créer inutilement, s’imaginer des problèmes qui n’existent pas ou encore prendre des problèmes qui ne vous appartiennent pas. Seuls les problèmes qui s’inscrivent dans notre programme d’incarnation valent la peine d’être résolu. Abstenez-vous des autres.
Pourquoi il ne faut pas craindre les problèmes qui viennent a soi?
Parce que vous avez toutes les capacités de résoudre l’équation que le problème se pose à vous. Les problèmes qui nous tombent dessus ne viennent pas à nous par hasard, au petit bonheur la chance. Mais ont été choisis par « vous » avant de venir vous incarner dans cette présente existence et coordonné dans l’espace et le temps par votre moi supérieur en conjonction avec une situation donnée. Un problème dont le solutionnement vous aidera à comprendre quelque chose et acquérir une compétence particulière nécessaire à votre évolution conscientielle (ou spirituelle en terme non-shandarien). Maintenant réflechissez-y. Si vous avez choisi vos problèmes, c’est que vous saviez pertinemment que vous auriez les capacités de les résoudre. Sinon vous ne les auriez pas choisis. La réalité et la vérité est qu’on ne choisit jamais des problèmes dont nous ne pouvons pas solutionner.
La résolution de l’équation
Le solutionnement de votre problème est donc une résolution d’équation. Mais pour pouvoir y parvenir, vous devez d’abord avec confiance en vous et en vos capacités d’y parvenir. C’est aussi pour cela que sur le chemin des étoiles, on développe la confiance en soi. Sinon cette illusion de croire que l’on n’est pas capable de trouver une solution à notre problème générera inutilement du stress, voir de l’anxiété et de la dépression chez certains. A partir de là, utilisez la méthode shandarienne suivante:
- Considérez votre problème comme une « équation résoluble ».
- Changez de perspective, prenez de la hauteur et posez la ferme intention de vouloir résoudre cette équation/problème
- Faites appel à votre guidance mineure (l’intuition) pour vous mettre sur la piste de réponses possibles. Utilisez les transes shandariennes via les incubations shandariennes pour accéder à votre inconscient et intuition ci-nécessaire.
- Posez la question « comment puis-je solutionné [Votre Problème] »
- Observez votre champ de conscience et prenez en compte la ou les réponses vous venant à l’esprit. A noter qu’il arrive aussi que la réponse ne vienne pas tout de suite, mais après lors d’une autre activité, d’une discussion, d’une action qui n’a rien avoir.
- Retenez et appliquez cette ou ces réponses. Si cela ne fonctionne pas du premier coup, modifiez sa mise en application, l’approche que vous faites jusqu’à trouver la réponse correcte à cette équation (1)
Donc à la limite, on s’en fout (dans le sens « on ne s’inquiète pas ») d’avoir des problèmes, puisque nous avons les capacités de solutionner ces derniers. Dès lors si un problème se présente à nous, on le résout et on passe à autre chose. Pas besoin de se prendre la tête 107 ans dessus.
(1) Il s’agit ici de persévérance et non d’obstination. Quelle différente y-t-il entre les deux? Dans la persévérance , vous changez votre approche lorsque celle-ci ne fonctionne pas. Dans l’obstination, vous continuez encore et encore à répéter ce qui ne fonctionne pas.