Faire ce que l’on veut de son corps?

Non, dans la pensée shandarienne, on ne peut pas faire ce que l’on veut de son corps.

Pour comprendre cela, il faut partir de l’observation que nous ne sommes pas notre corps biologique, mais incarner dans ce dernier afin d’accomplir une Moira qui participera à l’évolution de notre conscience dans le cosmos. D’ailleurs ce dernier est considéré dans le Shandarisme comme un instrument et partenaire biologique de la conscience nous servant de:

  1. réceptacle de vie pour nous accueillir et nous recueillir dans la matérialité du cosmos
  2. média biologique pour communiquer avec notre environnement incarnatoire
  3. véhicule biologique pour se déplacer sur cette planète
  4. processeur pour exécuter les pensées et réalisations contenus dans notre programme d’incarnation

Maintenant  si nous ne sommes pas notre corps, par conséquent il ne peut être nous, et donc, de cause à effet, il ne peut pas non plus nous appartenir! Simple question de bon sens.

Qu’il soit masculin ou féminin, la réalité est que nous ne sommes pas le propriétaire de notre corps d’incarnation, mais juste le locataire! Puisque le véritable et légitime propriétaire est cette planète et son écosystème. Autrement dit, ce corps d’incarnation que nous utilisons est la propriété de cet astre. Il appartient à la planète et fait partie intégrante de son écosystème. C’est d’ailleurs pour cela que celui-ci est interdépendant des ressources naturelles présentes, mais aussi qu’il peut respirer l’air, boire  l’eau, manger les fruits et légumes de la planète sans problème.  Car si il n’était pas la propriété de la terre et donc, qu’il ne faisait pas partie de son écosystème, il ne pourrait tout simplement pas y naitre ni y vivre! Cette planète serait alors invivable pour lui. Le corps humain ou « corps d’incarnation » est par voie de conséquence le continuum et l’extension biologique de Gaïa.

Nous ne pouvons pas disposer de notre corps d’incarnation comme nous le voulons

Si nous ne sommes pas le propriétaire de ce corps, on ne peut pas non plus en disposer comme nous le voulons. Rappelant ainsi que ce corps est un organisme multicellulaire conscient et vivant auquel nous nous associons au moment de notre incarnation. De ce fait, nous sommes dans une relation de partenariat avec ce réceptacle biologique dans lequel:

  • on l’entretien en répondant à ses limitations et besoins physiologiques (alimentation, exercice physique, sommeil, hygiène, sexe )
  • en échange de quoi, il nous permet d’être présent et d’agir sur cette planète afin d’accomplir ce pourquoi nous sommes venu sur cette 3ème planète de ce système stellaire.

Ainsi notre relation avec notre corps d’incarnation est un partenariat, une association. Dans ce sens, nous ne faisons que l’occuper en nous associant avec ce dernier le temps de faire ce que nous sommes venu faire sur terre. Puis, une fois notre moira terminée, nous le quittons. Là ou il se dévitalise pour ensuite se transformer en déchet organique dont il faut (selon la tradition shandarienne), restituer à l’univers.

Dans cette association, ses besoins et limitations physiologiques constituent des barrières naturelles qui nous empêchant de faire ce que nous voulons avec notre corps biologique. Donc, objectivement non, on ne peut pas disposer de notre corps d’incarnation comme nous le voulons.

Conséquences de faire ce que l’on veut de son corps

Maintenant quand on pense qu’on peut faire ce que l’on veut avec son corps, on lui fait faire n’importe quoi. Et là, on le maltraite sans respecter ses limites physiologiques. Et tous cela pourquoi? Pour juste pour répondre aux désirs de son égo ou suivre les influenceurs et autres dégénérés de cette société.

A partir de là,  quant on maltraite notre propre corps d’incarnation, ce dernier le fait savoir et comprendre en partageant avec nous les conséquences toxiques et destructrices de nos actions et comportements non-écologiques. C’est à dire qu’il nous partage ses blessures, ses fatigues et ses douleurs. Étant dans une relation symbiotique et osmosique avec ce dernier, on se sentira alors mal et fatiguer à notre tour. Et si on s’obstine dans cette voie débile et immature de maltraitance de notre corps biologique, soit il finira par tomber malade, soit il décédera avant l’heure. Résultat:

1) on aura sacrifié inutilement notre corps d’incarnation sur l’autel de notre propre vanité, égoïsme et folie.

2) on sera obligé de se réincarner dans un nouveau corps pour terminer ce que l’on était censé faire et qui à été interrompu à cause de ce décès prématuré lié à sa maltraitance. Faute de quoi, on reste coincer dans notre propre évolution de conscience.

Les personnes qui croient et clament que leurs propres corps leurs appartiennent et qu’elles peuvent en disposer comme elle l’entendent sont des dormeurs pris dans leurs illusions, désirs égotiques et besoins de reconnaissance. Celles-ci ne voient pas et ne comprennent pas ce qui se passe réellement. Elles sont dans une hypnose collective en suivant les idéologies et causes qu’on agitent sous leurs yeux. Car si elles étaient assez éveillés pour voir et comprendre ce qui se passe en coulisse, elles ne tomberaient pas dans le panneau et ne feraient pas ce qu’elles font. On peut même dire qu’elles n’ont aucun respect ni considération de leurs propres corps d’incarnation. Sinon elles ne le maltraiteraient pas comme elles le font (tatouage, alcool, cigarette & Cie). Maintenant ces personnes peuvent objecter, se raconter toutes les histoires possibles et imaginables pour se donner bonne conscience, mais les faits parlent d’eux-mêmes! Pourquoi marquer son corps à l’encre ou encore le percer avec des anneaux si on le respecte autant? Pourquoi intoxiquer son corps en lui faisant consommer alcool, cigarette, drogue et malbouffe si on le tient en haute estime autant qu’ on le prétend?

ZetaReticuli4779

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