L’homme et la femme shandarienne

Pour comprendre ce qu’est l’homme et la femme shandarienne, il faut se rappeler que la conscience qui se densifie sur les plans inférieurs du cosmos jusqu’à former le corps psionique est à la base androgyne. C’est à dire qu’elle contient à la fois en elle les caractéristiques du masculin et du féminin. Ce n’est que lorsque cette dernier nide et s’incarne dans un réceptacle de vie masculin ou féminin qu’elle se polarise pour devenir homme ou femme.

Ainsi ce qui fait un homme ou une femme est son réceptacle masculin ou féminin ainsi que la polarisation de la conscience androgyne avec le dit réceptacle.

L’homme shandarien

L’homme shandarien est celui qui marche sur le chemin des étoiles. Il est l’homme cosmique. Une conscience initialement androgyne polarisée au masculin dans un réceptacle humain porteur du chromosome XY. L’homme shandarien suit la voie du shandarien. Sa fonction est la construction et la protection du Shandarisme. Il est incarné par la virilité, la vigueur, le courage, la rationalité, la protection, le don et l’activité.

La femme shandarienne

La femme shandarienne est celle qui marche sur le chemin des étoiles. Elle est la femme cosmique. Une conscience initialement androgyne polarisée au féminin dans un réceptacle humain porteur du chromosome XX. A l’instar de l’homme, la femme shandarienne suit également la voie du shandarien. Sa fonction est la conservation et la transmission du Shandarisme. Elle est incarnée par le charme, l’attention, l’émotion, la conservation, la réception et la passivité.

Rapport homme-femme dans le Shandarisme

La psychologie entre les hommes et les femmes est différente. La biologie entre les hommes et les femmes est différente. L’anatomie entre les hommes et les femmes est différente. Dans l’espèce humaine, homme et femme ont chacun un rôle anthropologique complémentaire l’un à l’autre. C’est grâce à la coexistence et la complémentarité entre les hommes et les femmes que l’espèce humaine peut continuer à exister à travers l’espace et le temps.

Suivant ce même schéma de la nature, il n’y a pas dans le Shandarisme de rapport d’égalité homme/femme. Mais un rapport asymétrique homme/femme dans lequel chacun joue son rôle pour la continuité psychique, énergétique et biologique de l’édifice shandarien.

Pour que cette asymétrie soit viable, elle exclut et interdit tout forme d’esclavagisme, de rapport de soumission ou d’acte de violence entre l’homme et la femme.  L’asymétrie mène à la complémentarité, l’unicité et l’harmonie entre l’homme et la femme. A l’inverse, l’égalitarisme mène à la division, à la guerre des sexes et à la destruction mutuelle de l’homme et de la femme.

Le rejet de la théorie du genre et du néo-féminisme

La théorie du genre et le néo-féminisme sont incompatibles avec l’ordre naturel de l’univers. La pensée shandarienne suit ce même ordre naturel. De ce fait,  ces derniers sont tout aussi incompatibles et insolubles avec le shandarisme. Une incompatibilité les rendant toxiques et destructeurs pour tout initié qu’il soit homme ou femme suivant le chemin des étoiles. Afin de se protéger de cette toxicité et destructivité, la théorie du genre et le néo-féminisme sont rejetés par celui et celle qui suit la voie du shandarien.

Si la conscience s’incarne dans un corps d’homme, c’est pour faire l’expérience de la masculinité nécessaire à son évolution vers les plans supérieurs du cosmos. Et si une conscience s’incarne dans un corps de femme, c’est également pour faire l’expérience de la féminité tout aussi nécessaire à son évolution vers les plans supérieurs du cosmos. La théorie du genre brouille cette masculinité et cette féminité essentielle pour finalement les annuler et donc, de cause à effet, mettre en danger l’expérience et l’existence tant masculine que féminine nécessaire à l’évolution future de la conscience présentement incarnée. Le néo-féminisme ne défend pas le droit des femmes, c’est une idéologie anti-masculiniste faite de misandrie, de gynocentrisme, d’auto-victimisation, de mensonge, de manipulation, d’irrationalité et d’égo féminin surdimensionné.

Enfin, il faut savoir qu’il n’y a pas de pouvoir patriarcal ni de pouvoir matriarcal dans le shandarisme et son édifice. Mais un pouvoir androgyne incarné à travers sa conscience collective et exécuté à travers les actions de son collectif biologique mixte, incluant aussi bien des hommes que des femmes dans un rapport de complémentarité et d’unicité entre le masculin et le féminin. Par conséquent, il n’y a pas de domination ou de contrôle d’un sexe sur un autre.

AstralTraveler89

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