La brume dans le Shandarisme

D’abord rappelons ce qu’est la brume

La première chose à savoir est que dans la pensée shandarienne, la brume (ou le brouillard) n’a rien de surnaturelle, de démoniaque ou de magique. C’est un phénomène naturel faisant suite à une nuit froide. La vapeur contenue dans l’air forme alors des petites gouttes si légères qu’elles flottent et forment un nuage qui s’étend au ras du sol. La fonction écologique de la brume est d’hydrater les sols, les plantes et les arbres afin qu’ils continuent leurs cycles de vie. Elle revivifie la nature…

Le pouvoir de la brume

Bien que cela soit un phénomène météorologique naturel, la brume possède une fréquence et une vibration qui lui est propre et dont le volume et la forme délimitent un espace-temps spécifique. Ces derniers viennent alors se superposer sur l’espace-temps des lieux physiques sur lesquels il apparait. Le fait que cette brume possède sa propre fréquence et vibration fait d’elle un portail dimensionnelle naturel qui pourra être soit ouverte, soit fermée. Mais qui demeure dans sa grande majorité fermée. A partir de là:

  • Lorsque ce portail dimensionnel est fermé – pas de problème – on traverse la brume. Mais attention tout de même a ne pas se prendre quelque chose en face de soi ou de trébucher à cause la mauvaise visibilité que cette dernière engendre.
  • Lorsque ce portail dimensionnelle est ouvert, là toutes personnes ou véhicules qui la traversent passe dans une autre dimension. Autrement dit, ils entrent dans la brume et n’en ressortent jamais. Puis avec l’heure qui tourne, la brume finit par se dissiper d’elle-même faisant évaporer avec les personnes, objets et véhicules qui s’y trouvaient.

Maintenant,  avant que certains commencent à psychoter en voyant de la brume ou du brouillard la prochaine fois, il faut savoir que ces portails dimensionnels ouverts se situent généralement sur des lieux assez isolé. Ce n’est pas en agglomération ni sur une autoroute qu’ils apparaissent. De plus, si aucune disparition n’a eu lieu auparavant à cet endroit là, c’est que « le portail de brume » est fermé et que par conséquent,  vous pouvez le traverser sans soucis. Enfin, si vous êtes en voiture, allumez seulement vos feux de brouillard/croisement et vous ralentissez votre allure. C’est tout.

Le sens et l’utilisation de la brume

Dans la pensée shandarienne, on considère la brume comme une dimension, un espace-temps à part entière. Mais aussi comme un portail permettant le passage entre cette dimension ci et celle avec laquelle la brume est ouverte.  Tel est le sens que l’on lui donne. A partir de là, la brume est utilisée comme un passage vers d’autres mondes. Mais à condition de savoir où cela mène. Sinon, on s’abstient de la traverser. Ne soyons pas inconscient ni suicidaire non plus!

Ainsi, quant la brume est là, proche d’une maison shandarienne:

  • Si dans le passé, aucun incident en lien avec la brume n’a jamais été rapporté jusqu’à maintenant , on ne fait rien.
  • Si dans le passé, il y a déjà eux des incidents (apparitions ou disparitions) rapportés en lien avec la brume,  on doit protéger et fermer les portes de sa maison pour justement éviter que des entités d’autres espace-temps traversent cette brume et entrent chez soi. Pour finir, on évite de sortir par temps de brume.

Malgré les ouvertures sur d’autres espaces-temps qu’elle peut produire, la brume reste un phénomène naturel dont il ne faut pas redouter ni avoir peur. Donc il n’y a pas d’apriori négatif à avoir. Dans ce sens, il faut juste la voir pour ce qu’elle est. C’est à dire un phénomène météorologique naturel et tirer bénéfices de ce qu’elle peut apportée. Ouvrir sur d’autres dimensions n’est pas considéré comme surnaturel pour un shandarien, mais comme « naturel ». Vous avez bien des portails et passages interdimensionnels naturels aux 4 coins de cette planète!

ZetaReticuli4779

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Revenir en haut de page
SPACE VIBRATION