Qu’est-ce que le danger pour un Shandarien?
Le danger est une situation, une substance, ou une activité qui peut causer des dommages, des blessures voir des pertes ou des dévitalisations (morts). Il peut prendre de nombreuses formes, allant des dangers physiques au dangers virtuels. Dans la pensée shandarienne, il existe 2 catégories de danger qui sont:
- Les dangers objectifs qui sont réel, donc qui peuvent effectivement engendrer des dommages, paralysies et destructions.
- Les dangers subjectifs qui sont fictifs et imaginaires. Ils peuvent être endogène ou exogène.
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- Les dangers subjectifs endogènes viennent de l’égo et du mental. Lorsque l’égo se sent menacer et/ou que le mental par dans des délires et des histoires/projections, anticipations négatives.
- Les dangers subjectifs exogènes viennent de l’extérieur de nous. Ils sont volontairement créer pour générer des émotions négatifs (parasites énergétiques) ou pour manipuler (médias mainstream, gouvernements, etc).
Enfin, il ne faut pas confondre risque et danger. Dans ce sens, le danger est comme il a été cité plus haut une situation, substance ou activité pouvant causer des dommages, blessures, pertes et dévitalisations. Le risque est la probabilité ou possibilité qu’un danger particulier se matérialise et cause des dommages réels. Cela ne veut pas dire qu’un danger va forcement arrivé, mais seulement sa probabilité dans un espace-temps donnée. Maintenant si on a science et conscience d’un danger et de ses risques, des mesures de prévention prises en adéquation accompagné d’un état de vigilance et de maitrise de soi s’imposent.
Le danger n’existe que sur le plan physique du cosmos
Pour les Shandariens et la conscience collective, les dangers objectifs n’existent que sur le plan physique du cosmos. C’est à dire dans l’univers, avec ses planètes, étoiles et galaxies. Mais il n’existe pas sur le plan paraphysique, énergétique, astral. Pourquoi? Pour la bonne simple raison que nous sommes réellement, autrement dit notre essence de vie (l’âme pour les non-shandariens) est composé d’information et d’énergie. Et que cette information (1) et cette énergie ne peut pas être blessé ni disparaitre. L’énergie ne peut pas être tuée, des parasites peuvent vous piquer de l’énergie, après vous sentir fatiguer et faible, mais votre essence de vie continuera à vivre. Vous n’allez pas disparaitre (2). D’un autre coté, cela ne sert strictement à rien de vouloir détruire autrui pour X raison, puisqu’il est aussi énergie et que par conséquent, il ne peut être anéanti. On ne peut donc que le neutraliser pour s’en préserver et c’est tout (3). La réalité est que nous avons toujours exister et que nous existerons toujours. Dans ce sens, ce qui peut être mis en danger n’est pas ce que nous sommes, mais seulement nos corps d’ incarnation ainsi que nos accomplissements et moyens d’accomplissement dans la matérialité du cosmos (l’univers).
Réagir face aux dangers
Pour un Shandarien, il existe 2 manière de réagir face à un danger: la manière stupide qui aggrave les choses et la manière intelligente qui protège ou limite les dégâts.
La manière stupide consiste à laisser l’égo, le mental et les émotions prendre le dessus et guider nos pensées et actions. Ce qui aboutira fatalement à perdre le contrôle de ses moyens, se laisser submerger par les émotions, imaginer le pire voir minimiser ou ignorer le danger présent (mécanisme d’autodéfense inconscient) et enfin, réagir dans cet état. Mais aussi d’agir de manière égoiste, égocentrique et individuelle. Quant c’est comme ça, on voit « les rats quitter le navire » abandonnant et laissant les autres crever derrière eux..
La manière intelligente consiste à mettre en sourdine l’égo, le mental et les émotions pour ne laisser que notre essence de vie s’exprimer. Conserver notre conscience ainsi que notre intelligence claire et agir en conséquence. Ainsi quant il y a un danger, les Shandariens doivent suivre la voie de la raison. Partageant une seule conscience, pensée et énergie, mais étant aussi interdépendant pour assurer notre propre survie mutuelle dans la matière, nous nous regroupons pour voir/percevoir, penser et agir de manière collective et coordonnée afin de convertir la perception et l’image du danger en une équation à résoudre. Puis solutionnons cette équation pour ensuite y appliquer une réponse et prendre des mesures de manière logique et écologique. Là ou une fois la solution et les mesures mises en application écarte, neutralise et/ou réduit les effets du dit danger. On peut alors continuer notre incarnation et son accomplissement tranquillement. Mais aussi nous enrichir de cette expérience pour apprendre et progresser dans notre évolution collective de conscience.
(1) L’information ne disparait jamais, seuls ses supports de stockage et mémoires physiques peuvent l’être (livres, vidéos, audios, etc). Au pire l’information peut être oubliée de nos consciences, mais peut toujours être retrouvée. Tous se garde, rien ne se perd jamais dans le cosmos. On fait donc ici la différence entre l’information impérissable et son support périssable.
(2) C’est aussi pour cette raison que dans le Shandarisme, il n’y a pas de sauveur d’âme. Puisque ultimement nous ne sommes pas en danger et que nous sommes éternel. De ce fait il n’y a nul besoin d’être sauvé de quoi que ce soi. Et donc, pas besoin de la venue d’un quelconque sauveur. L’histoire du sauveur de l’humanité des religions n’est rien d’autre qu’une arnaque et un mensonge pour asservir leurs fidèles. D’un autre coté, c’est aussi une bonne excuse pour le croyant qui n’a pas envie de bouger son cul de grosse feignasse, travailler sur lui-même et ainsi progresser. Dans ce sens, il est plus facile d’attendre un hypothétique sauveur qui réglerait tout les problèmes à sa place plutôt que faire des efforts pour les résoudre, progresser et s’améliorer.
(3) Le fait de ne pas tuer l’enveloppe biologique permet à l’essence incarnée et a sa conscience de continuer à faire ce pourquoi elle est venu s’incarner. Participant ainsi à travers sa présence et son actance à l’épanouissement du cosmos. L’ordre naturel des choses est ainsi préservé. Détruire l’incarnation d’une essence entrave son accomplissement. Ce qui entrave également l’accomplissement des autres êtres incarnés qui étaient censés être en contact et en interaction avec cette dernière pour leurs propres développements de conscience. Nous sommes tous liés et interdépendants pour nos accomplissements et évolutions de conscience dans l’univers.