Le lever et coucher du soleil
Dans la pensée shandarienne, le lever comme le coucher du soleil possède une signification liée à notre incarnation et réalisation de conscience dans ce présent système stellaire. C’est à dire dans Solaria, le système solaire.
Le lever du soleil signifie l’entrée dans une nouvelle dimension, un nouvel espace-temps de ce système stellaire dans lequel va s’accomplir un nouveau segment de notre programme d’incarnation. Ce dernier représente ainsi l’entrée dans une nouvelle dimension de l’espace-temps, un nouveau chapitre dans l’histoire de la vie sur Terre. Cette dimension est associée à une série d’événements, de situations et de rencontres qui permettront aux êtres incarnés de continuer leur progression essentielle (spirituelle).
Le coucher du soleil signifie la sortie de cette présente dimension et espace-temps de ce système stellaire afin de pouvoir passer vers une nouvelle dimension qui sera symbolisé par le lever suivant de l’astre solaire. Nouvelle dimension dans laquelle on peut accomplir le segment suivant de notre programme d’incarnation. Le coucher du soleil représente dès lors la fin de cette dimension de l’espace-temps. C’est la fin d’un chapitre, où les consciences incarnées doivent dire au revoir aux expériences et aux leçons apprises, et se préparer à passer à l’étape suivante. C’est donc un portail entre différentes dimensions de l’espace-temps lié à cet astre (Gaia, la Terre) à travers les cycles du soleil.
Les levers et couchers du soleil peuvent être considérés comme des portails psychiques, vibratoires et symboliques entre différentes dimensions de l’espace-temps, chacune offrant une opportunité pour les essences de vie incarnées sur cette planète d’apprendre et de progresser dans leurs accomplissement et réalisation de conscience. Cependant, il est important de rappeler que les concepts de naissance et de mort n’existent pas dans la pensée shandarienne. Souvenez-vous ainsi que nous sommes composé d’énergie et que l’énergie ne peut pas disparaitre. Mais aussi que la mort n’existe pas. On dit même que la mort n’est que virtualité. Ainsi, on ne peut pas associé la naissance et la mort au lever et au coucher du soleil dans le Shandarisme.
Entre le lever et le coucher de l’astre solaire…
Il y a la nuit. Dans la pensée shandarienne, la nuit symbolise une dimension de transition, un espace-temps intermédiaire faisant le passage entre la précédente sortie dimensionnelle symbolisée par le coucher du soleil et l’entrée dans la nouvelle dimension symbolisée par le lever du soleil. La nuit est donc considérée comme une dimension de transition entre deux cycles de vie, symbolisée par le lever et le coucher du soleil. A noter que dans cette fonction de transition et de passage, on peut également faire un parallèle entre la nuit et le prothalamos. Ceci dit, la nuit est également un espace-temps d’intégration et de régénération, où les êtres vivants peuvent se reposer, se ressourcer, et intégrer les leçons apprises pendant la journée. Dans ce sens, la nuit est à la fois une dimension accueillant le sommeil et le repos physique pour la régénération des essences de vie (1) et une période de métabolisation des informations acquises précédemment par l’expérience de conscience. La Nuit est un espace-temps où l’on peut se connecter à notre être profond et véritable, là ou se situe ce que nous sommes réellement ainsi que notre potentiel de conscience. La nuit est considérée dans la pensée shandarienne comme une dimension de transition importante, permettant aux êtres incarnés tant d’intégration des expériences de la veille, tant de régénération pour se préparer pour les cycles et expériences à venir. Enfin, le bien et le mal n’existant pas dans la pensée shandarienne, la nuit ne peut donc pas être associée aux forces des ténèbres & Cie. Dans ce sens, la nuit est juste la conséquence de l’absence de lumière dans une dimension et un espace-temps donné.
(1) La nuit constitue l’espace-temps et la dimension dans laquelle se pratique la grande régénération.