Pourquoi la pensée shandarienne rejette la notion de victime?

Il n’y a pas de victime chez les shandariens

Dans le Shandarisme, il n’y a pas de victimisation ni de victime. Pour le comprendre, il faut situer tous cela sur le plan de l’incarnation (ou réincarnation selon les points de vue) et non sur le plan des événements vécus. En effet, avant de nous incarner ou réincarner, nous choisissons tous ce que nous allons vivre de A à Z. Ce qui constitue notre programme d’incarnation. A partir de là, notre véritable moi choisit non pas ce qui nous arrange, mais ce que nous avons besoin de vivre pour progresser vers les plans supérieurs du cosmos. Or, c’est dans la difficulté et les épreuves que l’on progresse et non dans la facilité lorsque tout va bien et que le soleil brille.

Mais le truc est qu’au moment de nos choix,  on ne réalise pas vraiment la souffrance et la douleur que l’on va vivre.

Vous avez même des conscience (âmes) qui avant de s’incarner simulent et s’amusent des souffrances et douleurs qu’elles vont vivre. Et le pire c’est qu’ elles en rigolent comme des abruties! Alors que vous en conviendrez, il n’y a rien de drôle! C’est un comportement a la limite de la démence. Il faut vraiment le voir pour le croire. Puis c’est seulement une fois en bas qu’elles en prennent plein la gueule qu’elles réalisent la dureté de leurs choix.  Elles se disent alors « Mais qu’es-ce qui m’a prit de choisir de vivre une merde pareille?« . Et là, ça ne rigole plus…

Maintenant qu’est-ce que cela implique?

Si nous avons choisit toutes les merdes et souffrances que l’on va devoir vivre, mais aussi les bourreaux, les connards et les connasses que l’on va rencontrer durant cette incarnation pour progresser, alors cela signifie que nous en sommes responsable. Dès lors le fait que nous soyons responsables de nos choix fait de l’autre coté et de leurs conséquences ici-bas fait qu’ il n’y a pas réellement de victime. MAIS…. PARCE QU’IL Y A UN MAIS…. MAIS comme nous avons perdus la mémoire lors de notre sortie au jour, on ne se souvient plus des choix que nous avons fait en conscience et de notre plein grès. Ni des souffrances aussi bien psychologiques que physiques que celles-ci engendrent. Du coup on se laisse prendre au jeu! Et pris dans ce jeu de dupe, on ne comprend pas pourquoi cela nous arrive; et c’est là qu’on entrer dans une dimension/énergie de victimisation pour finalement jouer inconsciemment ce rôle de victime.

Puis, une fois une incarnation terminée et de retour de l’autre coté, dans les demeures de la lumière,  que nous retrouvons la mémoire et que nous nous sommes totalement détachés de cette vie devenue a ce moment là une « vie antérieure ». Nous nous rendons alors compte que tout le monde va bien, on est tous vivants, c’était juste une pièce de théâtre que l’on jouait. Autrement dit, tous ceci n’était rien d’autre que du cinéma qu’on se faisait dans le rêve collectif de l’univers (1). C’est pour cela qu’ultimement, ni les Shandariens ni la pensée shandarienne ne reconnaissent pas le fait d’être victime aussi terrible et douloureux les épreuves que l’on vit durant cette présente incarnation.

Nous avons le choix entre être une victime ou non

Lorsque une merde nous tombe dessus. Nous avons toujours le choix entre être une victime ou ne pas l’être. Le fait de ne pas être une victime nous permet alors de  faire la part des choses de ce qui nous arrive, en tirer les leçons pour nous améliorer et ainsi pouvoir continuer à avancer dans l’accomplissement de notre programme d’incarnation. D’un autre coté, si nous choisissons d’être victime, nous restons dans nos histoires et mémoires des événements passés. Ce qui a pour effet que nous ne pouvons pas poursuivre a faire ce pourquoi nous sommes venu faire sur cette planète. Au lieu de cela, on reste bloquer jusqu’au moment ou nous décidons de changer de vue et enfin prendre le choix de ne plus être une victime. Être une victime est certes confortable et déresponsabilisant, mais c’est un piège pour notre évolution de conscience.

De plus, lorsqu’une personne vous a fait du mal, il ne faut pas lui en vouloir ni se venger. Car cela va:

  1. Générer en vous des énergies de kesh qui vont fatalement se retourner contre vous sous une forme et sous une autre (agression, accident, maladie, etc).
  2. Vous détourner de votre propre accomplissement de conscience voir vous retenir dans votre évolution essentielle (spirituelle)

Dites-vous bien, que vous avez choisis avant de vous incarner que cette personne vous fasse du mal (sauf que vous ne vous en souvenez plus). On les choisit nos bourreaux… Cependant, cela n’excuse pas son acte ni sa responsabilité à elle dans l’affaire. Ce qui veut dire que: ce qu’elle vous a fait, elle le payera  de son coté d’une manière ou d’une autre. Si ce n’est pas ici-bas, ça sera de l’autre coté le moment venu. L’immunité n’existe pas dans le cosmos. Tous cela fait que la rancœur et la vengeance sont inutiles, puisque la conscience et l’intelligence du cosmos s’en chargera pour nous (donc a notre place) le moment venu dans le juste équilibre des choses. Dès lors tous ce que vous avez a faire est de pardonner (2) puis d’en tirer les leçons pour continuer ce pourquoi vous êtes venus vous incarner.

Enfin, il faut aussi savoir que beaucoup instrumentalisent la victimisation à des fins de manipulation , on voit cela avec les merdias et journalopes, les politiciens, les religions ou encore les idéologies (Féminisme, Woke & cie). Il ne faut pas croire à leurs histoires. Sinon vous allez vous faire piéger et agir comme eux ils veulent que vous agissiez au détriment de la voie de la raison et de votre bien-être et accomplissement de vie.

(1) Toutefois cela n’est pas une règle absolue, car il n’est pas rare que l’on emporte nos histoires et traumatismes de l’autre coté. Ce qui nous syntonise avec les mondes de kesh. De plus, si l’attachement ou le traumatisme est trop présent, nous pouvons resté ici-bas à hanter les lieux de notre traumatisme et attachement.

(2) Pardonner en toute vérité et sincérité (et non un semblant de pardon). Même si c’est plus facile à dire qu’a faire! Car quant c’est comme cela, la blessure et la douleur restent vives et on n’a pas vraiment envie de pardonner ce que les autres nous ont fait. Surtout par peur que cela recommence après…

ZetaReticuli4779

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