D’abord les définitions pour bien comprendre de quoi on parle ici
- La femme nulligeste : Une femme est qualifiée de nulligeste lorsqu’elle n’a jamais été enceinte. Autrement dit, qui n’a jamais été en Abestani. Le terme vient du latin nullus (aucun) et gestare (porter, dans le sens de porter un enfant).
- La femme nullipare : Une femme est dite nullipare lorsqu’elle n’a jamais accouché, même si elle a pu être enceinte. Le terme vient de nullus (aucun) et parere (mettre au monde).
Maintenant que dit le Shandarisme?
Pour comprendre la position du Shandarisme a ce sujet, il faut se souvenir que l’enfantement n’est pas une obligation et que tout dépend du programme d’incarnation féminin. A partir de là, que la femme soit fécondée ou non, qu’elle soit enceinte ou non, qu’elle mette au monde ou non fait partie de l’expérience de conscience inscrit dans son programme d’incarnation. Même l’Emmenia (la période menstruelle) est également une expérience de la conscience incarnée. De plus, dans le cosmos, tout est toujours juste pour ce que l’on est venu vivre (1). De ce fait, cet état de femme nullipare ou nulligeste entre également dans l’ordre naturel de l’univers. Maintenant si tout ceci est juste et fait partie de l’expérience que l’essence est venue faire en s’incarnant dans un corps de femme, il n’y a nul besoin de jugement ou de rejet de la femme nulligeste ou nullipare. Ainsi contrairement à de nombreuses traditions, religions et sociétés, ou une femme n’ayant pas d’enfant peut être perçue de manière négative, voire marginalisée, le Shandarisme n’en fait pas une affaire, n’en fait pas un drame! Car on comprend et accepte tous ceci n’est qu’une expérience de vie de l’essence (l’âme) incarnée dans un corps de femme. A partir de là, si une femme a eu des enfant c’est bien et si elle n’en a pas eu, c’est très bien aussi.
A propos de la stérilité
La stérilité, qu’elle soit masculine (infertilité) ou féminine (l’infécondité) est une condition médicale d’incapacité de pouvoir procréer. Cette incapacité peut être temporaire ou permanente selon les cas. Dans le Shandarisme, la stérilité est également perçue comme une expérience que la conscience a volontairement choisie de vivre ou qui lui a été imposer avant de venir s’incarner sur ce système stellaire. Dans ce sens, l’état de stérilité fait partie de la nature de la vie et de l’expérience. En ce sens, cette dernière n’est pas un problème en soi. Hommes et femmes stérile n’ont pas à culpabiliser de leurs états. Même si il y a toujours des cons et des connes dans l’entourage pour le faire culpabiliser la personne stérile. Ainsi il y est tout a fait normal d’avoir quelques cas de stérilité ici et là . PAR CONTRE, là ou ça commence a poser problème est lorsque ces cas se multiplie jusqu’à créer « une épidémie de stérilité » mettant en danger la continuité et survie de l’espèce dans l’espace et le temps. Il faut alors y remédier et trouver une solution afin d’éviter l’extinction pure et simple de l’espèce.
Le désir d’avoir un enfant
Pour le désir d’avoir un enfant dans les cas de stérilité, il est nécessaire de déterminer la source de ce désir. Es-ce un désir qui vient de l’égo, par intérêt, de la pression sociale, ou cela vient vraiment de l’essence de vie. Si cela vient d’un désir égotique, d’un intérêt ou d’une pression sociale, les raisons d’avoir un enfant sont négatives et toxique. Là ou on n’y répond tout simplement pas. Par contre, lorsque ce désir vient de l’essence de vie elle-même (de l’âme), cela fait partie du programme d’incarnation. Dans ce cas bien précis, ce combat pour avoir un enfant est une expérience de conscience en soi que les êtres incarnés dans des corps stériles doivent vivre. En ce sens, les raisons d’avoir un enfant sont positives et on peut y répondre par des traitements contre l’infécondité et de l’infertilité.
(1) C’est notre égo qui trouve les choses injustes quant cela ne va pas dans son sens, quant les choses ne sont pas conforme à nos désirs, attentes et croyances ou encore lorsque cela génère en nous des émotions dures et désagréables .