Avec qui communiquez-vous?

Dans la pensée shandarienne, l’incarnation humaine est  une combinaison complexe de 13 éléments distincts, chacun jouant un rôle spécifique dans notre vie et nos interactions. Lorsque nous communiquons avec quelqu’un, nous ne nous adressons pas à cette personne dans son intégralité, mais plutôt à l’un des éléments qui la composent. Ces éléments peuvent être vus comme les différentes facettes de l’être, et chacun d’eux réagit à des stimuli ou des intentions spécifiques. Les principaux éléments de cette incarnation sont les suivants :

  • Le corps biologique : Ce composant est notre enveloppe physique, celle qui agit et interagit avec le monde physique. C’est à lui que nous nous adressons lorsque nous parlons de besoins corporels, d’activités physiques, d’hygiène ou de guérison physique. Par exemple, lors d’un effort physique ou d’un soin corporel, c’est à ce corps biologique que nous faisons appel. De même, la sexualité, dans sa forme la plus physique, engage principalement ce corps.
  • Le corps psionique (ou corps énergétique, de lumière) : Ce corps est plus subtil et est lié aux énergies qui nous entourent et que nous émettons. Il est le siège dans lequel nide ce que nous sommes réellement, notre essence de vie. Lorsqu’il s’agit d’activités énergétiques, c’est à ce corps psionique que nous nous adressons. Dans certains cas, le corps biologique peut être utilisé comme un support ou un canal pour ces énergies, mais l’objectif principal reste énergétique.
  • L’égo : L’égo représente notre identité incarnatoire, et l’image que nous avons de nous-mêmes. Il est souvent la cible des messages publicitaires, qui exploitent nos aspirations et nos désirs pour nous inciter à consommer. Quand nous nous adressons à l’égo, nous cherchons à influencer les goûts, les ambitions, et les envies d’une personne.
  • Le mental : Le mental englobe nos pensées, notre intellect, nos émotions et notre imagination. C’est le réceptacle de nos raisonnements, de nos peurs, et de nos rêves. Les médias et les politiciens, par exemple, manipulent souvent le mental en jouant sur les émotions et les imaginaires collectifs pour influencer l’opinion publique. S’adresser au mental, c’est viser la réflexion, la compréhension, mais aussi les croyances et les peurs d’une personne. Cela a été le cas avec le Cococircus et la picouze, l’opération spéciale russe en Ukraine, Gaza et dernièrement les élections présidentielles en France.
  • L’essence de vie : L’essence de vie n’est rien d’autre que l’ âme. Elle est divisée en deux parties : la partie basse, qui est incarnée et participe aux activités psychiques, et la partie haute, souvent appelée le « moi supérieur », qui est un segment de la Source de vie. Lorsqu’on s’adresse à l’essence de vie, on entre en communication avec l’être profond de la personne.

À quel composant s’adresse-t-on ?

Pour déterminer à quel composant il faut s’adresser, il suffit de suivre le bon sens et de considérer le contexte de la communication. Voici quelques exemples pour éclaircir ce point :

  • Si il est question de la santé ou de l’hygiène de vie, vous vous adressez au corps biologique.
  • Lorsque vous êtes impliqué dans une séance de guérison énergétique, vous vous tournez vers le corps psionique.
  • Si vous voulez motiver quelqu’un à atteindre un objectif personnel, vous vous adressez à son égo.
  • En abordant un sujet intellectuel ou en évoquant des émotions, vous communiquez avec le mental.
  • Et pour une discussion essentielle (spirituelle) ou une pratique de connexion profonde, vous vous connectez à l’essence de vie.

Comment s’adresser à un composant plutôt qu’à un autre ?

Le processus pour cibler un composant spécifique est simple en théorie, mais demande de la pratique pour être maîtrisé. Il consiste à focaliser votre attention sur l’élément que vous souhaitez atteindre, puis à poser l’intention claire de communiquer avec ce dernier. C’est cette intention qui guide la communication vers le bon récepteur.

Il n’est pas nécessaire de chercher des techniques ésotériques ou secrètes ; l’intention consciente, alliée à une pratique régulière, est suffisante. Cependant, comme pour toute compétence, la maîtrise vient avec l’expérience et la répétition.

Cas particuliers : Sexualité et guérison

Il est important de noter que certaines pratiques, comme la sexualité ou l’autoguérison, peuvent solliciter plusieurs éléments simultanément ou à des degrés différents selon le contexte. Par exemple :

  • Sexualité : Dans sa forme purement physique, elle s’adresse au corps biologique. Cependant, dans une approche plus essentielle (spirituelle) ou énergétique, elle implique également le corps psionique.
  • Autoguérison : La guérison peut commencer par le corps biologique, mais selon les pratiques (par exemple, la guérison énergétique), elle peut aussi faire appel au corps psionique ou même au mental, selon les blocages à lever ou les énergies à harmoniser.

ZetaReticuli4779

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