Dans la cosmologie shandarienne, il existe ce que l’on appelle le premier et le dernier souffle au moment de l’incarnation et de la désincarnation.
Le premier souffle est l’inspiration
L’entrée de la conscience dans ce monde est marquée par la première inspiration au moment de la sortie au jour. Dans ce processus, le nouveau-né recrache son liquide amniotique en échange de sa première inspiration.
La première inspiration marque ainsi son entrée sur le plan physique du cosmos. Mais cette dernière a également une fonction à la fois biologique et vibratoire.
- Dans sa fonction biologique, la première inspiration active le système respiratoire (1) et ouvre la connexion et synchronisation de l’enveloppe biologique avec son environnement incarnatoire.
- Dans sa fonction vibratoire, la première inspiration ouvre la connexion psychique et fusion énergétique de l’être incarné avec l’énergie et la conscience contenues dans ce même environnement incarnatoire
Le dernier souffle est l’expiration
La sortie de la conscience de ce monde est marquée par la dernière expiration. Là ou l’enveloppe biologique expire et à expirée après une respiration irrégulière soutenant la dynamique de désynchonisation à la fois biologique, psychique et vibratoire avec son environnement incarnatoire. Ce qui a pour effet de facilité la dernière sortie de corps de la conscience pour cette présente incarnation. Enfin, la dernière expiration désactive le système respiratoire et marque sa sortie du plan physique du cosmos.
Au moment du dernier souffle, de la dernière expiration, il y a l’entrée dans la dynamique du rite de transfert. Cela fait partie de la seconde étape de la mise en ordre de soi. Pour cette entrée, on rappelle juste à la mémoire de conscience s’apprêtant à partir les instructions à suivre ainsi que la mise en garde contre les illusions créées par l’esprit voir contre les parasitages d’entité à ce moment là. En réponse à cela, c’est à la conscience sortante d’agir en conséquence par la force de ses pensées et de son intention. Ceci afin de prendre le contrôle de son voyage et donc, de cause à effet, d’être en capacité d’accomplir le dit rite de transfert de sa conscience.
La première inspiration ouvre le cycle des échanges d’information et d’énergie entre la conscience incarnée et son environnement alors que la dernière expiration referme ce même cycle.
(1) Le fœtus ne respire pas par ses propres poumons, car ils ne sont pas encore activés. Ainsi, il reçoit l’oxygène par le placenta de la mère.
