D’abord posons le contexte pour bien comprendre
La mère biologique est la femme dont l’ovule est fécondé par un spermatozoïde pour former l’embryon qui se développe ensuite dans la matrice biologique (l’utérus). Elle fournit à l’embryon l’ADN et les caractéristiques génétiques qui proviennent de ses gamètes (ovule). La mère biologique porte et nourrit le fœtus pendant toute l’abestani (la grossesse), et c’est elle qui donne naissance à l’enfant lors de la sortie au jour. Dans le cas d’une grossesse normale, la mère biologique et la mère porteuse sont la même personne.
La mère porteuse (ou gestatrice) est une femme qui porte et donne naissance à l’enfant d’un couple ou d’une personne qui ne peut pas le porter lui-même pour diverses raisons ou lors d’un processus d’hybridation humain-extraterrestre. Dans ce cas, l’embryon est créé à partir des gamètes du couple ou des parents intentionnels via une fécondation in vitro (FIV) avec les gamètes d’un donneur. La mère porteuse n’est donc pas liée génétiquement à l’enfant qu’elle porte. Elle agit comme un « utérus temporaire » pour l’embryon jusqu’à la sortie au jour, mais n’a pas de lien biologique direct avec l’enfant.
Maintenant, que dit le Shandarisme à ce sujet?
Le Shandarisme n’interdit pas l’activité ni le recours aux mères porteuses que cela soit pour de la reproduction 100% humaine ou pour des hybridations humain-extraterrestres. Alors pourquoi le Shandarisme l’autorise? Parce que cela n’est pas considéré comme allant à l’encontre des lois du cosmos ni comme une entreprise contre-nature à cause de nombreux paramètres d’ordre biomédical et biogénétique qui sont pris en compte et que l’on n’expliquera pas ici. De plus, le recours aux mères porteuses est également une voie d’incarnation pour les consciences/essences qui sont de l’autre coté. Cependant, le Shandarisme impose des conditions, notamment:
- Que la mère porteuse soit biologiquement pure (sans maladie) et en haute énergie (en bonne santé)
- Que sa matrice biologique (utérus) soit apte au processus d’incubation (grossesse)
- Qu’elle ne soit ni trop jeune ni trop vieille pour la procréation
- Qu’elle ait une hygiène de vie écologique (pas de tabac, alcool, drogue, malbouffe, vie stressante)
- Qu’elle ait un suivi médical avec examen gynécologique régulier
- Enfin, qu’elle soit shandarienne ou non-shandarienne, tant qu’elle remplie entièrement les précédentes conditions, cela n’a pas d’importance (1)
Alors comme on peut le constater, les conditions imposées par le Shandarisme sont plus des conditions d’ordre « logique et opérationnel » plutôt que des conditions d’ordre spirituel, philosophique voir idéologique. Le but étant ici que l’insémination prenne et que l’incubation soit mener à son terme pour obtenir des réceptacles biologiques sains et viables. De là, la conscience/essence peut s’y loger (nidation, incarnation) afin d’en prendre pleinement commande en vue de son utilisation (2). En ce sens, les shandariens sont plus pragmatiques que conceptuel dans l’approche du processus de procréation.
(1) Le Shandarisme autorise sans problème l’acte de procréation avec les peuples du Xenos. C’est à dire avec les non-shandariens. Et par extension, la procréation avec les peuples des étoiles (vie extraterrestre). Ce qui permet aussi de diversifier, renforcer et améliorer l’information de vie (l’ADN) du collectif biologique donnant des corps d’incarnation plus forts avec de meilleures capacités et qualités.
(2) Rappelant que dans la pensée shandarienne, le corps humain n’est qu’un instrument de conscience, un vêtement pour l’incarnation et un automate sous le contrôle de l’essence de vie qui l’habite. Puis une fois qu’il ne fonctionne plus et n’est plus viable, on en change par les transferts de conscience. Ce dernier n’est donc pas considéré comme saint, divin ou sacré chez les shandariens.