Nous ne sommes pas notre corps

Dans la pensée shandarienne, on a coutume de dire que nous ne sommes pas notre corps, mais nider et incarner dedans. Mais qu’est-ce que cela veut dire et implique réellement?

Pour comprendre cela, nous devons nous souvenir que nous sommes des flux d’énergie et d’information conscient et vivant. A partir de là, nous utilisons temporairement des corps masculins et/ou féminins comme média, véhicule et processeur biologique pour accomplir une série d’expérience de vie sur cette planète ou ailleurs sur une autre planète dans un autre système stellaire. Ceci dans le but d’accomplir quelque chose de nécessaire à notre évolution de conscience dans le cosmos. Mais un accomplissement qui alimentera également l’épanouissement de la fleur de vie. Puis une fois que nous avons terminés notre vie terrestre, nous quittons et abandonnons ce corps. Là ou il se transforme en déchet biologique pour pouvoir ensuite être recycler par la nature.

Croire que nous sommes exclusivement composé de milliards de cellules et que notre conscience et pensées ne sont que le fruit de réactions biochimiques n’est qu’une  croyance de dormeur. Mais aujourd’hui, on suspecte de plus en plus certaines entités d’avoir érigé cette fausse croyance en vérité absolue pour nous couper de notre essentialité (spiritualité) et donc, nous priver de nos réels pouvoirs pour mieux nous limiter et nous contrôler.

Maintenant qu’est-ce que cela implique réellement?

Sur le plan essentiel (spirituel): cela implique que nous avons une vie éternelle et sans fin, puisque nous sommes des flux d’énergie et d’information conscient et vivant et que l’énergie ne disparait pas, elle se transforme en quelque chose d’autre. Rappelez-vous ainsi que la mort n’est que virtualité.

Sur le plan biologique: cela implique que tous ce que notre corps ressent et à besoin n’est pas ce que l’on ressent et ce que l’on a besoin réellement. Par exemple, quant on dit j’ai faim ou j’ai soif, ce n’est pas nous qui avons faim ou soif, mais notre corps biologique. Je suis fatigué, je suis malade, j’ai envie de dormir j’ai froid, j’ai chaud, etc… Ce n’est pas nous, mais notre corps qui exprime un besoin ou un ressenti par notre intermédiaire. Le problème ici est que nous sommes tellement identifiés à notre corps, que nous croyons que cela vient de nous, alors qu’en réalité, cela vient de notre corps qui  s’exprimer à travers nos pensées et vibrations pour pouvoir ensuite y répondre.

Par exemple, si notre corps biologique à besoin de s’hydrater, il communiquera à notre conscience ce besoin par une sensation de soif pour qu’après on dirige et gère par notre intention et attention ses mouvements bio-mécaniques qui va lui permettre d’étancher sa soif. Ex: prendre un verre, le remplir d’eau, le porter jusqu’à ses lèvres et boire le contenu du verre. Bien entendu, l’exécution de ce processus implique l’action de son système neuromusculaire.

Sur le plan relationnel: cela implique que notre corps biologique est l’extension et le continuum de ce que nous sommes à un instant donné de l’espace et du temps. Cette extension et ce continuum nous permet alors d’être présent, d’interagir et de communiquer avec notre environnement incarnatoire.

Sur le plan chrono-biologique: cela implique que nous sommes toujours en état de veille et actif avec des variations sur différents degrés. Seul notre corps biologique alterne entre un état de veille-sommeil. Car nous sommes énergie et que l’énergie n’est jamais au repos, donc jamais en sommeil, mais toujours en mouvement. Nos pensées de jour ainsi que nos rêves de nuit que nous faisons (même si bien souvent on ne s’en souvient pas) sont la parfaite manifestation de ce mouvement de l’énergie. Le seul moment ou nous pouvons être à l’état de sommeil, c’est quant un parasite énergétique baisse notre fréquence vibratoire. Là ou nous sombrons « dans le noir ».

ZetaReticuli4779

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