Le sens de la procréation chez les shandariens

Dans la pensée shandarienne, l’acte comme le processus de procréation incluant la fécondation, la gestation et la sortie au jour possède un sens ésotérique et exotérique.

Dans son sens exotérique

Dans son sens exotérique, la procréation  a pour objectif principal de perpétuer l’espèce avec laquelle nous nous sommes associés. En se reproduisant, les individus contribuent à assurer la survie de leur lignée génétique et à maintenir la continuité de la vie humaine sur Terre. Ce processus permet de transmettre les caractéristiques biologiques et génétiques d’une génération à l’autre, assurant ainsi la diversité et la variabilité de l’espèce. En outre, la procréation humaine favorise l’amélioration génétique de l’espèce. Les corps humains qui se reproduisent avec succès transmettent leurs caractéristiques avantageuses à leur descendance, contribuant ainsi à la formation d’individus mieux adaptés à leur environnement. Au fil du temps, ces améliorations génétiques peuvent entraîner une évolution de l’espèce, permettant aux individus de mieux survivre et de prospérer dans leur écosystème.

A partir de là,  ces organismes toujours plus optimisés interagissant avec leurs environnements contribuent à travers leurs communications et échanges à la fois biologique, énergétiques et psychiques a générer un meilleur écosystème pour la planète terre. Ce qui a pour effet de participer à la mise à jour biologique de cet astre. Toutefois, vue le niveau de dégénérescence intellectuelle (débilisation des masses par les médias & cie) et biologique (effet de la malbouffe, stress, pollution, picouze & cie) des humains, ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Dans son sens ésotérique

La procréation à pour but de fournir des réceptacles biologiques accueillant et recueillant nos essences et consciences afin que ces dernières puissent accomplir leurs programmation d’incarnation. Une réalisation qui leurs permettra alors de progresser sur les plans supérieurs du cosmos. Ainsi, la procréation  revêt une signification plus essentielle (spirituelle). Dans cette perspective, les corps/êtres humains (1) sont considérés comme des réceptacles biologiques qui accueillent nos essences et consciences. Ces dernières incarnent dans un corps physique afin d’expérimenter la réalité terrestre et accomplir leur programmation d’incarnation.

La procréation devient alors un moyen par lequel ces essences peuvent s’incarner et progresser sur les plans supérieurs de l’existence dans sa formité. C’est à dire le cosmos. En ce sens, chaque individu est doté d’une mission ou d’un objectif  spécifique à accomplir au cours de sa vie. C’est ce que l’on appelle la Moira.

Les 2 degrés de la procréation

Dans la pensée shandarienne, il existe 2 principaux degrés de procréation possible qui sont:

Le degré 1 – la reproduction sexuée intraspécifique: C’est le processus par lequel des individus d’une même espèce se reproduisent entre eux pour donner naissance à une descendance partageant des caractéristiques génétiques communes. Ce premier degré se divise en 2 sous-catégories qui sont:

  1. La reproduction endogame qui est la procréation entre les membres partageant des liens génétiques étroits, tels qu’une même ethnie ou appartenant à une même population. Par exemple, la reproduction entre asiatique, entre arabe, etc… Il est toutefois  important de noter que la reproduction endogame excessive sur de nombreuses générations peut augmenter le risque de troubles génétiques récessifs menant à des tares génétiques menaçant la survie génétique du groupe. Rappelant enfin que la loi shandarienne interdit les rapports sexuels entre les membres d’une même famille génétique (l’inceste) pour justement éviter l’apparition de ces tares et corps d’incarnation dysfonctionnel.
  2. La reproduction exogame fait référence à la procréation entre individus de deux branches génétiques différentes, souvent provenant de groupes ethniques ou de populations distincts. Cela implique la reproduction entre des individus qui ne partagent pas de liens génétiques étroits, par opposition à la reproduction endogame. Cette reproduction  favorise la diversité génétique au sein d’une espèce donnée. Lorsque des individus de différentes branches génétiques se reproduisent, ils apportent des variations génétiques uniques à leur descendance. Cette diversité génétique accrue peut être bénéfique pour l’adaptation et la survie de l’espèce, car elle permet une plus grande variabilité et une plus grande flexibilité face aux changements environnementaux. Le Shandarisme encourage donc la reproduction exogame et les métissages biogénétiques. Rappelant dans ce sens que notre identité shandarienne n’est pas liée à notre corps biologique, mais à notre essence de vie l’incarnant. De ce fait, le métissage biologique ne menace pas notre identité en tant que Shandarien.

Le degré 2-  la reproduction sexuée interspécifique: ou plus communément la reproduction croisée ou hybridation. Cela se produit lorsque des individus de deux espèces différentes se reproduisent pour produire une descendance hybride. Par exemple le croisement entre un humain et un petit-gris.

(1) Le corps humain est le réceptacle biologique accueillant nos nidations et incarnations. Alors que l’être humain est le résultat de l’association entre notre essence de vie et le corps biologique.

ZetaReticuli4779

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