Qu’est-ce que la rentrée de nuit?
Dans la pensée shandarienne, la rentrée de nuit est tout simplement le sens opposé à la sortie au jour. Ainsi si la sortie au jour équivaut chez les non-shandariens à la naissance, alors la rentrée de nuit équivaut à la mort. Bien que la mort ne soit que virtualité pour un shandarien. On parlera à la place de vitalisation et de dévitalisation du corps d’incarnation. Vitalisation car on y fait entrée l’essence de vie qui vitalise et vivifie le corps à travers son animation tel un automate. Et la dévitalisation, car on y fait sortir cette même essence de vie qui dévitalise et dévivifie le corps faisant de ce dernier un cadavre.
On parle ici de rentrée de nuit en référence à l’entrée de la conscience dans l’espace noir que constitue le prothalamos après la dévitalisation. Un espace noir nommé par métaphore « la nuit ».
A partir de là, il existe 8 formes de rentrée de nuit
Autrement dit, il y a 8 formes de rentrée de nuit/dévitalisation ou « décès » dans la pensée shandarienne qui sont:
- Dévitalisation progressive: avec des visions d’autres mondes et entités connues ou inconnues avant la dévitalisation. Puis, au moment de la dévitalisation, il y a rupture des filaments biophotonique et l’essence et sa conscience partent définitivement dans ces mondes seules ou accompagnés de ces entités.
- Dévitalisation intermittente: la conscience et son essence font des aller-retour dans son corps avant de définitivement se séparer. Si elle n’est pas suffisamment lucide, cela mènera à des états de confusion mentale. On parlera alors de délire terminal en médecine.
- Dévitalisation douce: lorsque le corps s’éteint calmement et en douceur, l’essence de vie sort tout aussi calmement en flottant au dessus ou en se retrouvant debout à coté de son cadavre.
- Dévitalisation brutale: qui survient lors d’un choc violent (accident de voiture, crash d’avion, chute mortelle, etc). L’ essence et sa conscience sont alors brutalement expulsée hors du corps d’incarnation. La rupture brutale du lien avec le corps à ce moment là fait que l’information de la douleur n’a pas le temps de remonter jusqu’à la conscience. C’est pour cela qu’on dit que la personne n’a pas souffert.
- Dévitalisation subite: qui souvient lors de l’ arrêt soudain des fonctions vitales (arrêt cardiaque/perte de conscience). Sans transition, la conscience et son essence se retrouvent hors de son corps ou ailleurs sur un autre plan d’existence.
- Dévitalisation rétentionnelle : l’essence de vie ne veut pas partir et s’accroche et se retient à son corps mourant par « peur de la mort » ou pour autre chose. Ce qui est un effort vain, puisque les filaments biophotoniques se dissolvant naturellement font qu’elle n’aura plus rien à quoi s’accrocher. L’essence/conscience finira donc par lâcher prise et partir quant même et ce, qu’elle le veuille ou non.
- Dévitalisation inconsciente : l’essence n’a pas réalisée et donc prise conscience qu’elle n’est plus de ce monde. Cela arrive soit par manque de lucidité au moment de sa dévitalisation, soit par déni de son propre décès. Ce qui peut mener à des phénomènes de hantise.
- Dévitalisation onirique: l’essence de vie (l’âme) quitte le corps d’incarnation durant le sommeil de ce dernier, elle partira alors « le temps d’un rêve ». Ce n’est que lorsque la personne ne se réveille pas que l’on constate le décès.
