La consommation de viande dans le Shandarisme

Le Shandarisme autorise la consommation de viande animale, non-humaine bien entendu. Pourquoi le Shandarisme autorise t-il cela? Pour le comprendre, il faut se rappeler que  les corps humains que nous utilisons ont besoin de protéine animale et de minéraux tels que le fer, le zinc ou encore la vitamine B12 pour se régénérer (par le cycle cellulaire) et se maintenir vivant et en énergie (santé). De là, nous entrons en capacité d’ accomplir ce pourquoi nous sommes venu nous incarner/réincarner.

Or ces protéines, ce fer, zinc et vitamine B12 dont nous avons besoin se trouvent dans la chair de l’animal. Dès lors pour les utiliser, notre corps d’incarnation doit consommer cette chair animale pour ensuite  la dégrader et en extraire ces dernières a partir desquelles il synthétisera se dont il a besoin (par exemple: les protéines sont transformés en acide aminé, les lipides transformées en acide gras et en glycérol).  C’est ce que l’on appelle le processus de digestion mécanique (mastication, péristaltisme)  et de digestion chimique (avec l’action des enzymes et suc digestifs).

Le corps humain est conçu pour consommer de la viande, c’est d’ailleurs pour cela qu’il possède des canines dans sa dentition!

Toutefois, cette consommation de viande doit être faite à petite dose et ne pas en manger tous les jours. De plus s’abstenir de manger de la viande amènera à des carences pouvant mettre en danger la physiologie nécessaire à l’existence du corps d’incarnation. C’est d’ailleurs pour cela que de nombreux végans et véganes ont des problèmes de santé par la suite (anémie, troubles nerveux,  diarrhée « la sainte chiasse du végan » & cie).

La vie se nourrit de la vie

Au-delà des considération spirituelles, philosophiques et idéologiques, si nous observons la nature en toute objectivité, force est de constater que la vie se nourrit de la vie, n’en déplaise a certains. L’oiseau bouffe le poisson, le lion bouffe la gazelle. La réalité est que la nature du monde animal est violente et cruelle. Ce n’est pas « Peace and love » contrairement à ce que certains spiritualistes et gourous new-age voudraient faire croire.

Les corps d’incarnation que nous utilisons est issue de cette nature.

L’homme n’est pas séparé de la nature, mais fait partie intégrante de cette dernière. Même si aujourd’hui il s’est isolé, celui-ci reste soumis aux lois de la nature régnant sur cette planète et cet univers. Ce qui veut dire que le corps humain utilisé entre dans ce principe de la vie qui se nourrit de la vie. On peut d’ailleurs voir cela dans le cycle naturel  producteur-consommateur-décomposeur. L’humain consomme la vie par ses producteurs naturels (terre, arbres, plantes) et il sera son tour consommer et décomposer par les bactéries, les vers et les asticots après sa dévitalisation (sa mort en language non-shandarien). Dans ce sens, l’humain n’est certainement pas au sommet de la chaine alimentaire ni la race dominante!

Maintenant si la vie se nourrit de la vie, on se rend compte alors que le fait de manger de la viande animale fait partie intégrante du fonctionnement de cette même nature. Dès lors le fait de manger de la viande ne déroge pas à cette recherche d’harmonie avec la nature. Il n’y a donc pas de contradiction entre le fait de manger de la viande animale et de vivre en harmonie et en symbiose avec la nature et l’écologie de cette planète. D’ailleurs les premiers hommes étaient bien des chasseurs-cueilleurs. Et cela ne les empêchaient pas de vivre en symbiose avec leurs milieux naturels. IL N’EST PAS CONTRE-NATURE DE MANGER DE LA VIANDE ANIMALE.

Le sacrifice de l’animal

La réalité est que lorsqu’une conscience incarnée dans un corps d’animal arrive à la fin de son expérience de vie, elle s’offre (bien souvent inconsciemment) en sacrifice afin de pouvoir quitter son corps d’incarnation et ainsi continuer son chemin de vie ailleurs dans le cosmos. En offrant son corps animal, la conscience participe alors à la continuité de la vie dans le sens ou son corps alimentera celui d’autres êtres incarnés/réincarnés pouvant ainsi continuer ce pourquoi ils sont venu ici sur terre.

Ainsi si un animal se donne en sacrifice, il doit mourir en paix et sans souffrance en remercient de son don de vie. Mais aussi mourir en paix et sans souffrance afin de ne pas produire de kesh et ainsi alimenter certaines entités de l’astral s’en nourrissant.

Le problème de l’élevage industriel

Pour être franc, élevage et l’abattoir industriel ici en occident est une véritable usine à kesh nourrissant certaines entités de l’astral.  C’est comme les sacrifices humains faits  par certains groupes occultes qui nourrissent également ces mêmes entités en espérant un hypothétique pouvoir ou richesse.

Ainsi, la souffrance animale liée au mode d’élevage, de transport et d’abattage va produire cette énergie de vie à basse fréquence que l’on appelle ici dans le Shandarisme du Kesh. Robert Monroe de l’institue Monroe appelait cela quant à lui du Loosh. Mais que cela soit du Loosh ou du Kesh, c’est exactement la même chose. Seul le nom change. Dans ce sens, le kesh s’applique à toutes les formes de vie existante dans l’univers, qu’elle soit humaine, animale ou autre.

La réalité est que l’ élevage industriel ne respecte pas l’animal qui se donne en sacrifice. Il respecte seulement les envies et désirs égocentriques aveugles et incultes des humains, que cela soit par gourmandise de viande ou par gourmandise d’argent et de profit. Là se situe la base du problème de élevage industriel. Car cela pousse les humains crétins et incultes à maltraiter les animaux, mais aussi a leurs injecter des saloperies pour « améliorer la qualité et quantité de leurs consommations égotiques ».

Donc, oui, il y a de la maltraitance animale dans élevage industriel, c’est un fait, les shandariens ne le nient pas. D’ailleurs, ne pas le reconnaitre serait juste de la mauvaise foi, de l’aveuglement, de l’ignorance et de la stupidité.

Les Shandariens mangent de la viande animale à petite dose (1 et 2 fois par semaine) pour alimenter leurs corps d’incarnation dans ses justes besoins, mais à condition que l’animal n’a pas souffert au point de produire de kesh. C’est ce que l’on appelle aujourd’hui l’élevage bio. Mais là encore, tout n’est pas toujours respecter dans ce mode d’élevage…

AstralTraveler89

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