Le respect de l’incarnation de chacun
Dans le grand dessein du cosmos, chacun à un rôle à jouer aussi infime soit-il. Ainsi chaque incarnation dans l’univers contribue à son niveau à l’épanouissement de l’existence et de sa fleur de vie. Afin de ne pas entraver l’accomplissement de ce grand dessein, ils convient de respecter l’incarnation des autres essences de vie (les âmes) pour que ces dernières demeurent libre et en capacité de réaliser ce pourquoi elles sont venues s’incarner dans ce système stellaire. Pour nous, il s’agit de Gaïa, la terre, 3ème planète de ce système stellaire, Solaria (le système solaire). Maintenant si on ne respecte pas cela, il n’y a plus de réalisation incarnatoire possible. On entrave alors la vie et ses manifestations (1) menant à la réalisation de l’existence. Ainsi dans le Shandarisme cette liberté n’est pas une question de valeur occidentale ni de droit de l’homme, mais une question pratique pour l’incarnation et essentielle (spirituelle) pour la vie et l’existence.
Laisser les autres penser, agir et être comme il est prévu qu’ils soient…
Peu importe les caractéristiques de leurs incarnations (sexe, age, couleur de peau, nationalité, classe sociale, etc), nous devons les laisser vivre pour qu’ils puissent accomplir leurs moira. Ce qui implique:
- Ne pas attaquer leurs intégrités biologiques (violence, meurtre, viol) ni leurs intégrités vibratoires et psychiques (agression verbale, violence psychologique, humiliation, etc) afin qu’il demeurent en capacité de faire ce qu’ils sont venus faire sur cette planète.
- Ne pas les retenir ni les rendre captifs pour qu’ils puissent aller et être là ou il est prévue qu’ils soient pour faire leurs réalisations essentielles.
- Ne pas attenter à leurs libertés d’expression afin qu’ils puissent librement penser, agir et être selon ce qui est prévue dans leurs incarnations.
- Ne pas parler ni agir en leurs noms (sauf si ils vous ont expressément mandater pour le faire dans certains cas bien précis) afin qu’ils fassent leurs propres expériences de vie durant cette incarnation stellaire (incarnation terrestre pour nous).
- Ne pas prendre de décision pour eux, car ils sont les mieux placés pour prendre leurs propres décisions en congruence avec leurs incarnations respectives.
- Ne pas choisir pour eux afin de ne pas entraver le libre arbitre et les choix se présentant à eux pour qu’ils puissent faire leurs propres expériences et mener à terme la moira qui est la leur.
Les limites du respect de l’incarnation
Cependant, ce respect a aussi ses limites. Ainsi si un incarné qu’il soit shandarien ou non-shandarien commence a utiliser cette liberté qui lui est conférée pour commettre l’hybris (violence, meurtre, vol, viol, vandalisme & cie) dont les conséquences créeront fatalement la disharmonie, l’entropie, le chaos et la destruction menaçant l’existence et l’accomplissement des autres êtres incarnés, il est évident qu’on ne peut pas le laisser faire. Car de part ses actions négatives et toxiques et leurs effets, cela menacera directement notre propre incarnation et accomplissement de conscience. Dans ce sens, le respect de l’incarnation possède aussi ses limites. Ainsi si un shandarien commence a prendre un peu trop ses aises ou si un non-shandarien menace nos propres incarnations pour X raison, le 4ème devoir fondamental: la conservation est appliquée. Le collectif prendra alors le contrôle télépathique/télépsychique de ce dernier afin de le stopper dans son élan et ainsi préserver et conserver nos incarnations et accomplissements commune. De ce fait, il n’y a nul besoin d’avoir recours aux armes ni à la violence ou l’élimination physique, juste les pouvoirs de l’esprit. Ici il n’est pas question de jouer les gendarmes, les justiciers et encore moins les redresseurs de torts, mais simplement de conserver et préserver nos incarnations pour continuer notre accomplissement et évolution de conscience vers les plans supérieurs du cosmos. Il n’y a rien d’autre.
(1) Dans la pensée shandarienne, la manifestation de la vie n’est pas limité a a la présence et aux activités des organismes vivants, mais s’étend bien au delà pour inclure les incarnations des essences de vie et les actions qui y sont entreprises.
