La peine de mort n’existe pas dans le cercle
Souvenez-vous que pour un shandarien, la mort n’est que virtualité et que par conséquent, la peine de mort n’a aucune utilité ni raison d’être. De ce fait la peine de mort n’existe pas dans le Shandarisme et pour fixer cette absence, la loi shandarienne l’interdit même (1). Toutefois, attention aux fausses interprétations et raccourcis! En effet, car même si la peine de mort n’existant pas, cela ne veut pas dire pour autant que l’on soit « anti-peine de mort ». Mais simplement que la peine de mort n’existe pas chez nous et que l’on pense et agit en conséquence. Maintenant si on commence a être anti-ceci ou pro-cela, on nourrit de nos énergies psychiques leurs égrégores respectifs. Ce qui est interdit pour les shandariens.
Concernant la peine de mort chez les non-shandariens
Pour la peine de mort chez les non-shandariens, on ne s’y oppose pas et on ne soutien pas les condamnés a mort. Autrement dit, on reste neutre dans ce genre d’affaire. On peut observer ci-nécessaire, mais cela s’arrête là. Pourquoi? Pour comprendre cette position, il est d’abord nécessaire de regarder par delà les apparences, les émotions et les idéologies. Car a chaque fois que l’on condamne une chose ou une autre, c’est toujours et encore le même cirque! A savoir que les prises de positions sont purement émotionnelles et idéologiques ne prenant pas en compte la réalité véritable de ce qui se passe. On s’indigne, on s’oppose, on manifeste, on insulte & cie. Les dormeurs réagissent ainsi, sans conscience, sans connaissance ni maitrise d’eux-mêmes. Et au final, cela ne génère que du kesh.
Ainsi lorsqu’on regarde au-delà des apparences, des émotions et des idéologies, que voit-t-on et que comprend-t-on?
Là ou le bât blesse et que l’on ne veut pas admettre, est que la personne condamnée à mort (homme ou femme, peu importe) à choisis de vivre cette expérience de son plein grès avant de venir s’incarner dans ce corps. Dès lors si on s’y opposait, cela ne serait rien d’autre qu’une ingérence sur le plan physique et une interférence sur le plan psychique et vibratoire. A partir de là, pour ne pas interférer dans l’accomplissement et le cheminement de la conscience incarnée, nous devons respecter ce choix d’expérience incarnatoire fait en restant neutre sur ce qui arrive et va arriver. De toute façon, elle ne mourra pas, elle se libérera tout simplement de son enveloppe charnelle pour partir vivre ailleurs dans le cosmos. Quant on comprend et surtout que l’on accepte ce fait, on prend conscience alors que faire tout ce cirque ne sert strictement à rien. Puisqu’à la fin, tout le monde va bien, tout le monde est vivant. La mort n’existe pas, elle n’est que virtualité…Alors dans ces conditions, pourquoi vouloir s’indigner, s’opposer et aller manifester contre la peine de mort de X ou Y?
Et si s’agit d’un shandarien condamné à mort?
Dans le cas ou l’un des nôtres seraient condamnés à mort par des non-shandariens, des instructions prévues à cet effet sont inscrites dans le Shandariana Dominatis. En gros, avant son exécution, il doit affaiblir son propre corps au maximum par une technique énergétique que l’on appelle la Páresis (Πάρεσις) que l’on peut traduire par « relâchement, affaiblissement » pour ensuite faire une sortie hors du corps (sortie astrale) et rejoindre la conscience collective. De là il doit attendre l’exécution de son corps pour que le cordon énergétique (fil d’argent) soit rompu et qu’il puisse ensuite faire un transfert de conscience dans une nouvelle enveloppe. Rappelant enfin que nous ne sommes pas notre corps et que par conséquent, ce qui perd la vie lors d’une exécution n’est pas nous, mais seulement notre corps d’incarnation. Ce que nous sommes en réalité, notre essence de vie (notre âme en terme non-shandarien) continue à exister et à vivre indépendamment de cette enveloppe biologique.
(1) L’ataraxia, Table I: Shandaria, Directive 5. Le collectif biologique, Régulation, Ordre & équilibre – Sous-directive 273: Les châtiments corporels, les tortures et la peine de mort sont interdits.
