Le Rite d’assimilation (Τελετή της αφομοίωσης)
Pour engager ce rite, un groupe de 3 hautes consciences choisissent une hôtesse pour l’engagement du rite. Ils la font venir pour lui notifier son devoir et rôle dans le rite.
Le jour du rite, le groupe de haute conscience se connecte à son esprit et l’hôtesse devient le medium entre la conscience collective et le nouveau-né.
Le nouveau-né est amené par ses parents devant l’hôtesse. L’hôtesse prend le nourrisson dans ses bras, le regarde pour en prendre pleinement conscience avant de le déposer sur un autel.
Un groupe de hautes consciences se focalise sur l’hôtesse alors que l’hôtesse se focalise sur le nouveau-né. Les parents sont présents en tant que « protecteurs » du nouveau-né. Ils veillent à ce que rien de mal ne lui arrive durant l’assimilation.
L’hôtesse fait une série de passes magnétiques autour du corps du nouveau-né afin de renforcer sa force de vie à travers lesquelles se transmet la puissance de vie des hautes consciences.
Puis l’hôtesse fixe les yeux du nouveau-né pour se connecter télépathiquement à son esprit.
De là, les hautes consciences transmettent l’information et la mémoire de l’identité shandarienne au nouveau-né à travers le regard de l’hôtesse et sa connexion télépathique avec ce dernier.
Ensuite, l’hôtesse refait une série de passes magnétiques autour du corps du nouveau-né pour sceller sur le plan vibratoire et énergétique l’identité shandarienne acquise.
Enfin, l’hôtesse place autour du cou du nouveau-né une amulette shandarienne scellant ainsi dans la matérialité son lien et son appartenance à la conscience collective.
L’hôtesse prend à nouveau dans ses bras le nouveau-né et le donne aux protecteurs (ses parents) qui reprennent leur nouveau-né emportant avec eux l’amulette.
L’hôtesse lève la tête vers le ciel et l’espace pour envoyer une pensée de gratitude à l’univers et les 3 hautes consciences se déconnectent de son esprit.
Le rite est terminé.
