D’abord, la définition pour se mettre d’accord
Un mythe est une histoire sacrée ou traditionnelle qui explique des aspects fondamentaux de la réalité, de la création du monde aux comportements humains et aux phénomènes naturels. Les mythes sont souvent associés à des divinités, des héros ou des êtres surnaturels. Ces derniers sont généralement considérés comme des récits symboliques qui transmettent des croyances, des valeurs et des enseignements culturels. Ils peuvent être transmis de génération en génération et évoluer au fil du temps. Par exemple : Les mythes de la mythologie grecque que l’on retrouve dans l’Hellénisme.
Une légende est également une histoire traditionnelle, mais elle est généralement basée sur des événements historiques ou des personnages réels, bien que ces éléments soient souvent enjolivés ou embellis au fil du temps. Elles peuvent inclure des héros, des rois, des aventuriers ou d’autres figures remarquables. Elles sont souvent racontées pour célébrer des exploits héroïques, des prouesses extraordinaires ou des événements mémorables.
Contrairement aux mythes, les légendes sont généralement enracinées dans une réalité historique, même si elles sont entourées de folklore et de légendes urbaines.
Le Shandarisme ne possède pas de mythes et légendes
Pour la bonne simple raison qu’il ne se base pas sur des croyances religieuses ou mythologiques, mais sur une connaissance rapportée d’expériences de conscience et de réalité par ses expérienceurs. Des connaissances issues d’expérience qui composent alors la source première de sa cosmologie ou « cosmologie shandarienne« . Rappelant ainsi que Shandarisme n’a pas de dieux, de divinités ou de figures mythologiques qui sont vénérées ou qui forment la base d’une quelconque foi. En conséquence, il est affirmé que le Shandarisme ne comporte pas de mythes et de légendes, contrairement à de nombreuses autres traditions spirituelles ou philosophiques qui ont des récits mythologiques associés.
Par contre, il possède des contes…
C’est ce que l’on appelle les contes shandariens. Toutefois, ces contes qui ne sont pas considérés comme des mythes et légendes, mais plutôt comme des histoires dans le style des anciennes séries TV: Au-delà du réel, la quatrième dimension, X -files, etc. dont pour seul but est un divertissement culturel et non une transmission d’enseignement ou de valeur. Dans ce sens, les enseignements shandariens sont principalement contenus dans 2 des 9 livres qui sont:
- Livre N° II: Genesis pour la cosmologie shandarienne qui explique l’existence dans sa formité, le cosmos. Il présente le monde sur un aspect plus scientifique.
- Livre N° III: L’initiatum pour une cosmogonie shandarienne qui donne un sens à sa cosmologie. Cet ouvrage aborde d’avantage le monde présentée dans la cosmologie d’un point de vue plus essentiel (spirituel) avec un langage purement initiatique (symboles et métaphores) que l’on retrouve plus dans les ordres initiatiques et sociétés secrètes.
Enfin, il faut savoir que l’initiatum est complémentaire et non opposé a Genesis. A partir de là, les enseignements que contiennent ces 2 ouvrages sont transmis par la voie initiatique. C’est à dire à travers l’engagement et l’accomplissement du rite d’initiation. Durant l’occultarum initiatus plus précisément.
