Pleurer la perte d’un être cher
Le fait de pleurer la perte d’un être cher est une pratique courante dans de nombreuses cultures et traditions à travers le monde. Les raisons de cette pratique sont multiples et varient en fonction des croyances, des valeurs et des coutumes de chaque culture. Dans de nombreuses cultures, pleurer est considéré comme une forme d’expression de la douleur et du chagrin causés par la perte d’un être cher. Cela peut aider les personnes à exprimer et à libérer leurs émotions, et à se sentir soutenues par leur famille et leur communauté. Chez certaines cultures, le fait de pleurer est également considéré comme un signe de respect envers le défunt. Les pleurs peuvent être perçus comme une marque d’affection et d’estime envers la personne décédée, ainsi qu’un moyen de se souvenir d’elle et de lui rendre hommage. Enfin, dans certaines cultures, les pleurs peuvent être considérés comme une forme de purification émotionnelle, aidant à éliminer les sentiments négatifs et à guérir de la perte.
Dans l’ensemble, pleurer la perte d’un être cher est un processus naturel et normal qui peut aider les gens à faire face à la douleur et à la perte. Cela peut également être une façon pour les communautés de se rassembler et de soutenir les personnes en deuil.
Mais cela n’existe pas dans le Shandarisme
Pourquoi? En fait, cela est due au paradigme de la Conscience collective. Pour le comprendre, il faut prendre en compte 4 concepts clés de la pensée shandarienne:
- Nous sommes éternel, nous avons toujours exister et existerons toujours, la mort n’est que virtualité.
- Nous ne sommes pas notre corps! Par conséquent, ce qui disparait n’est pas nous, mais seulement le réceptacle de vie que nous utilisons.
- Il n’y a pas de réelle séparation, notre essence et conscience transcendent facilement toutes les dimensions de l’espace et du temps (1).
- Ce n’est qu’un au revoir, car nous nous reverrons tous dans la lumière.
Lorsque l’on met tout cela ensemble, on se rend compte alors que pleurer les disparus n’a pas de sens, puisque ultimement, il n’y a pas de perte. La perte est une illusion. Dans ce sens, elle n’est qu’ une tromperie de nos sens, une rupture de l’attachement de l’ égo et des histoires que nous raconte notre mental. Toutefois cela ne veut pas dire que la tristesse et le chagrin n’existe pas. Car il peut être présent, mais du fait de notre paradigme conscientiel, ces émotions de douleur sont atténués voir complètement absente.
En fait tout dépend du niveau d’éveillance de la conscience. Ainsi, plus la conscience est réveillée et éveillée, moins elle est touchée par cette pseudo-perte. Puisqu’elle voit et réalise ce qui se passe par delà l’illusion. Du coup, il y a un lâcher prise qui s’opère naturellement. Et donc, il n’y a pas le besoin de pleurer les « pseudo-disparus ». A l’inverse, moins la conscience est éveillée, plus elle est touchée égotiquement et émotionnellement, prise au piège de ses sens, de son égo et de son mental.
La vengeance des disparus est inutile
En cas de meurtre ou de guerre, les shandariens ne se vengent pas, car ils savent que cela est inutile. La conscience, la connaissance et la maitrise de soi permet ainsi de nous écarter de ce type de sentiment. En effet, si nous ne sommes pas notre corps, que la mort n’est que virtualité, que nous sommes immortel, et qu’ il suffit de pratiquer un transfert de conscience pour retrouver un nouveau corps, alors il n’y a aucune perte! Et si il n’y a aucune perte, alors se venger est inutile, puisque nous ne disparaissons pas. Dès lors, tous ce qui reste à faire est de ramener les corps afin de les restituer à l’univers sans chercher à ce venger.
Toutefois si la cause de la dévitalisation peut se répéter, il convient d’appliquer le 4ème devoir fondamental afin de prévenir toutes nouvelles pertes à venir en réglant définitivement le problème à sa source. Dans ce cas bien précis, il ne s’agit pas de vengeance, mais de prévention contre une menace de nouvelles dévitalisations. Ce qui permet d’éviter d’entrer dans le piège du cycle sans fin de « attaque-représaille » comme on peut par exemple le constater au proche-orient entre juifs et palestiniens. L’un attaque, l’autre répond en représailles, puis une nouvelle attaque en réponse de la réponse, etc, etc. C’est un cercle vicieux qui n’en finit plus après. Inutile de dire que là, c’est buffet à volonté pour les parasites énergétiques qui se goinfre des énergies de kesh générés par ce conflit qui dure et perdure.
(1) Ce qui explique pourquoi nous pouvons nous connecter à d’autres êtres et communiquer avec eux par télépathie sans qu’aucune barrière spatiale ni temporelle ne puisse stopper la libre circulation des flux d’information et d’énergie psychiques.