La santé est liée à la fréquence vibratoire
Dans la pensée shandarienne, l’état de santé est directement lié au niveau vibratoire des champs bio-photoniques. Il existe ainsi une santé positive lorsque la fréquence est haute et une santé négative lorsque la fréquence est basse. Toutefois une santé négative n’implique pas forcement le fait d’être malade. Ainsi on peut être en santé négative sans être malade. Dans ce sens, la maladie ne se déclarera qu’a partir le franchissement d’un certain seuil de basse fréquence.
Pourquoi cela est lié aux fréquences des champs bio-photoniques?
Pour la bonne simple raison que c’est eux qui contrôlent les paramètres physiologiques (fonctions cardiaques, respiratoires, hépatiques, rénales, etc) et donc l’homéostasie du corps biologique. Les systèmes nerveux sympathiques et parasympathiques ne sont que les exécuteurs et gestionnaires et non les décisionnaires de ces mêmes paramètres physiologiques.
Rappelant ainsi que l’information (le psychisme) contrôle l’énergie (champ bio-photoniques) qui contrôle la matière (corps biologiques) n’en déplaise à certains.
La santé est importante et vitale pour un Shandarien
Car c’est celle qui déterminera sa capacité ou son incapacité a pour accomplir sa Moira pour cette présente vie. Autrement dit, accomplir ce pourquoi il est venu s’incarner/se réincarner. Ainsi il cherchera a se maintenir en santé positive (sans en faire une obsession) pour être en capacité de réaliser sa mission de vie. Pour ce maintenir dans une santé positif, il utilisera un instrument shandarien qui est l’hygiénisme shandarien. Ceci afin de créer le terrain favorable à une santé positive et par contraste, un terrain défavorable à une santé négative et donc à l’apparition de maladie.
La maladie vue par le Shandarisme
Lorsque la fréquence vibratoire est trop basse, l’énergie de vie se densifie et ne circule plus. Cette stagnation ou arrêt de la circulation fait apparaitre des dysfonctionnements de communication entre les champs biophotoniques et biologiques. Lesquels dysfonctionnements se manifeste par l’apparition de diverses réactions du corps biologiques: les maladies.
Mais un autre cas de figure apparait lorsque le champ biologique, ses cellules et tissus ne sont plus sain et altérer pour des raisons nombreuses et variés, notamment par une hygiène de vie négative (tabagisme, alcool, drogue, excès de consommation de sel,sucre, manque d’exercice physique, etc), pollution/contamination, des accidents ou usures. Cette altération corrompt la communication des champs biophotoniques et biologiques. Laquelle corruption génère une réaction: la maladie.
La maladie n’est ni positive ni négative pour un shandarien. Elle juste une conséquence et un signal.
En tant que conséquence, la maladie est la résultante et réaction adaptative de l’organisme soit à une fréquence trop basse, soit à aux effets délétères d’une hygiène de vie négative, de pollutions voir des accidents ou usures. Quand aux virus et microbes bien souvent accusés à tord, ils ne sont que des constructeurs/déconstructeurs (microbes) et régulateurs (virus) des organismes pluricellulaires, le notre y comprit.
En tant que signal, la maladie est un messager nous indiquant que quelque chose ne va pas en nous que nous devons arranger pour retrouver une haute fréquence vibratoire et avec elle, l’homéostasie et la santé positive. Ainsi, nous ne devons pas entrer en guerre contre la maladie, mais écouter son message afin de résoudre le problème qui en ait à l’origine. Là ou n’ayant plus de base valide, cette réaction que constitue la maladie disparait d’elle-même et nous retrouvons notre équilibre (homéostasie) et haute énergie. Dans ce sens, entrer en guerre contre la maladie revient à entrer en guerre contre des parts de nous-mêmes. Nous nous auto-combattons en croyant illusoirement combattre la maladie.
Guérison et régénération
La guérison se fait par la régénération naturelle des tissus biologiques et énergétiques. Or cette régénération dépend directement du patient et non du médecin ou du médicament. Dans ce sens, le traitement qu’il soit médical ou chirurgical ne guérit pas, mais encourage le processus de régénération, et donc de guérison. Enfin, normalement si il est adapté. A partir de là, c’est le patient qui se guérir lui-même en activant ses ressources intérieures. Mais faut-il encore qu’il soit conscient et confiant de son pouvoir d’autoguérison et que son intention de guérison touche les profondeurs de son être.
Enfin, lorsqu’une personne n’a pas confiance en elle ni en ses propres capacités d’autoguérison, refuse de guérir ou se complait dans la maladie (car oui des personnes trouvant du plaisir à être malade ou cherchant inconsciemment à l’être, ça existe), cela complique le processus d’autoguérison.
Toutefois, cela ne veut pas dire qu’on a n’a pas besoin de la médecine allopathique et des médicaments. Car la réalité est qu’on en a besoin. Parfois un traitement médicamenteux ou chirurgical sera plus efficace pour lancer le processus de régénération/guérison que l’intention à elle seule. Ainsi il ne faut pas rejeter ni exclure la médecine allopathique, mais l’intégrer et l’utiliser de manière logique, consciente et intelligente en parallèle, en harmonie et en complément de nos propres ressources intérieures d’autoguérison.
Attention: si vous avez un traitement médical en cours, il faut le continuer et ne pas l’arrêter ni vous en priver. Ne jouez pas avec votre vie ni avec votre santé. Par contre, vous pouvez mobiliser par l’attention et utiliser par l’intention de l’esprit vos propres capacités d’autogénération en parallèle au traitement pour faciliter la guérison.
Notre responsabilité de santé
Dans la pensée shandarienne, nous sommes seuls responsables de notre santé, de la maladie et de la guérison. C’est donc à nous de nous maintenir en santé positive et nous guérir de la maladie si elle apparait accompagner de la médecine allopathique et/ou naturelle. Aussi arrêter de compter à 100% sur la médecine et l’industrie pharmaceutique pour régler nos problèmes de santé à notre place.
Nous devons ainsi prendre notre responsabilité en prenant part au processus de guérison et ne pas se reposer par fainéantise et facilité sur la médecine et les laboratoires pharmaceutiques en croyant illusoirement qu’ils feront tout le travail à notre place.
Nous devons donc sortir de ce schéma de pensée toxique du bourreau (la maladie), de la victime/martyr (le malade) et du sauveur (la médecine et l’industrie pharmaceutique).