Les femmes en abestani dans le Shandarisme

Pour rappel, l’abestani désigne dans le Shandarisme une femme enceinte. Dans la pensée shandarienne, cette période d’aménorrhée est considérée :

Pour la mère

Comme une expérience de la conscience incarnée dans une existence féminine. Durant cette expérience, la mère va vivre dans son être l’incarnation d’une autre conscience dans une relation de fusion à la fois biologique, psychique et vibratoire. A travers cette expérience, elle apprendra et comprendra par l’expérimentation ce qu’est:

  1. l’accueil des énergies de vie et des consciences en soi
  2. la liaison et la connexion des énergies de vie et des consciences avec soi
  3. Le partage des énergies de vie et des consciences.
  4. l’état de fusion des énergies de vie et des consciences.
  5. L’unité et l’unicité des énergies de vie et des consciences.

Tel est le sens vibratoire (spirituel) de la grossesse, l’abestani. Afin de complètement conscientiser cela, la femme shandarienne en abestani pratiquera l’échange d’énergie fœtale ainsi que le balayage énergético-corporel pour fluidifier sa force de vie et augmenter son degré de conscientisation. En actes surérogatoires, elle pourra ci-nécessaire accomplir des actes de protection énergétique afin de mener à terme son abestani.

Enfin, pour mener a bien cette expérience, la femme en abestani devra prendre davantage soin d’elle en se ménageant par la limitation de ses activités et la pratique de la petite et grande régénération. Dans ce sens, cette dernière est exempté de certaines pratiques shandariennes, notamment l’unification sur l’Energia. Car cela nécessite de rester debout environs 1 heure, chose qu’une femme enceinte ne pourra pas faire. A noter que les hôtesses en abestani peuvent toutefois continuer d’officier les assemblées jusqu’à 6 mois d’aménorrhée. Les 3 derniers mois étant réservés pour sa préparation à la sortie au jour.

Ainsi durant ces 6 mois,  sauf contrindication médicale:

  • Elle peut continuer à travailler et mener ses activités d’évolution de conscience
  • Elle peut continuer a faire du sport, musculation, fitness & Cie de manière adaptée a son état.
  • Elle peut avoir des relations sexuelles (1)

Pour l’enfant

Comme une expérience intra-utérine de la conscience incarnée dans le fœtus durant cette période. Une expérience qui sera généralement refoulée et oubliée par cette dernière lors de sa sortie au jour. C’est à dire au moment de l’accouchement. A travers cette expérience intra-utérienne, la conscience fœtale va apprendra et comprendra par l’expérimentation ce qu’est l’existence dans la matière et ses formes. Se greffant temporairement sur la conscience de la mère,  la conscience fœtale voit, pense et ressent alors ce que la conscience maternelle voit, pense et ressent. A travers cette perception et ses ressentis, le fœtus va alors prendre de l’information de sa mère qui servira d’élément de base à sa construction psychique et vibratoire.

Pour ouvrir l’intégration de la conscience incarnée à la conscience collective, la pratique du marquage d’énergie du foetus sera accompli durant l’abestani. Dans ce sens, on se sert de cette greffe temporaire comme structure intermédiaire/média pour transmettre le marquage vibratoire à la conscience fœtale.

(1) Rappelant que le fœtus avec son liquide amniotique sont contenus dans les membranes ovulaires elles-mêmes situées dans la matrice biologique (l’utérus). Laquelle matrice est fermée et imperméabilisée par le bouchon muqueux de l’orifice du col de l’utérus. Bouchon formé par l’épaississement et la  coagulation de la glaire cervicale secrétée. Lors qu’un coït, le pénis pénètre le vagin qui s’arrête au col. Mais il ne pourra pas aller plus loin. C’est bio-structurelle, c’est anatomique, c’est comme ça! Ainsi, ce dernier ne peut donc pas pénétrer l’utérus ni endommager les membranes et son fœtus. Enfin, il faut savoir qu’un rapport sexuel n’aura aucun effet psychique et énergétique sur le foetus, car la poche des eaux agit également comme une bulle de protection sur le plan vibratoire. Il ne sera donc pas affecté par les énergies sexuelles en présence. De ce fait et restant pragmatique, le Shandarisme ne voit aucun problème a ce qu’une femme en abestani ait des relations sexuelles.  Aucune loi shandarienne ne l’interdit par ailleurs.

ZetaReticuli4779

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