Les 2 voies de procéder pour connaitre quelqu’un
Dans le shandarisme, il y a deux voies pour connaitre et surtout comprendre une personne, car connaitre sans comprendre, ce n’est pas connaitre. Ces 2 voies sont en fait complémentaires l’une de l’autre et s’applique en fonction de la situation dans laquelle on se trouve. Toutefois leurs applications et donc, leurs faisabilités requière d’avoir acquit un niveau avancés dans les capacités psi et leurs maitrises. Sinon cela ne fonctionnera tout simplement pas. Ces 2 voies sont la voie informationnelle et la voie sensorielle. Enfin, il est important de noter que ces voies sont considérés comme des voies invasive. Autrement dit qui pénètre l’espace mental et énergétique de la personne.
1) La voie informationnelle
Cette première voie, la voie informationnelle consiste à pénétrer dans l’esprit et la mémoire de la personne pour ensuite sonder sa mémoire, voit et comprendre ce qu’elle contient. On sait alors tout sur ce qu’elle est véritablement, ses origine, ses savoirs acquis, actions et accomplissements passés, ses expériences de vie. On parle ici de voie informationnelle, car on se concentre essentiellement sur l’information de ce qu’elle est, de ses expériences, pensées et actions enregistrée dans sa mémoire.
2) La voie sensorielle
La seconde voie qui est la voie sensorielle consiste à se projeter dans l’esprit et l’énergie de la personne. On se retrouve alors dans le corps de la personne. On pense ce qu’elle pense, on émotionne ce qu’elle émotionne, on ressent ce qu’elle ressent, on perçois ce qu’elle perçois (c’est à dire voir et entendre ce qu’elle voit et entend). A partir de là, on se met à la personne mieux la connaitre et la comprendre. On parle ici de voie sensorielle, car on se concentre essentiellement sur les sens et perceptions de la personne.
A partir de là, il y a 2 manières de procéder:
- Soit on exporte sa perception dans son essence de vie par transposition. Ce qui est une forme dérivée de la VAD (Vision A Distance) plus sophistiquée et plus complète.
- Soit on fait une SHC (sortie Hors du Corps) et on adombre la personne.
Que cela soit la voie informationnelle ou sensorielle, les techniques de transposition et d’adombrement sont écrites noire sur blanc dans le Shandariana Dominatis. C’est à dire le livre numéro VII des écritures shandariennes.
Du coté de la personne transposée ou adombrée
Maintenant du coté de la personne transposée, adombrée ou du « sujet » comme on dit ici; cette dernière peut ressentir ou non la présence du psychiste. En fait tout dépendra de son degré d’éveillance et surtout si elle a été avertie ou non à l’avance!!!!.
Dans le cas ou le sujet n’a pas été averti et donc, n’est pas au courant de ce qui se passe:
- Si ce dernier est un dormeur, il ne sera même pas conscient de ce qui se passe en réalité. Par contre, si cela se répète dans le temps, il va arriver un moment ou le dormeur va sentir des bizarreries et commencer à se poser des questions.
- Si c’est un réveillé, il va ressentir la présence et comprendre qu’il y a quelque chose qui se passe. Mais du fait de son manque de pleine conscience et surtout de son manque de connaissance et reconnaissance du phénomène, il ne pourra pas mettre le doigt dessus et donc, il ne comprendra pas ce qui lui arrive. Et quant cela arrive, le mental et ses délires prend le relaie. C’est alors partie pour les histoires de Djinn, de démon, de possession, d’attaque d’entité & Cie.
- Si le sujet est un éveillé, il va pleinement ressentir la présence , mais il va aussi savoir et comprendre ce qui se passe du fait de sa compréhension intuitive. A partir de là, la personne éveillé (si elle a une parfaite maitrise d’elle-même) peut fermer ses sens. Ce qui fera que le psychiste connecté ne percevra plus rien. Mais elle peut également s’adresser télépathiquement au psychiste connecté à son esprit avec une intention forte de le faire dégagé dans le style: Qu’est-ce que tu fous là? Casses-toi de moi!!!!…
Ce type de pratique n’est pas dangereux en soi, par contre ce qui peut être dangereux est l’utilisation que l’on en fait. Si cela reste dans l’intention de connaitre la personne. OK. Mais il peut aussi y avoir d’autres utilisations. Dans ce sens, il faut savoir que même si cette pratique est passive, il suffit que le psychiste émette une intention pour que cela devienne une « pratique active ». Et si dans ce cas là, la force mentale et la volition du psychiste est supérieure à celle de la personne adombrée, il est possible de prendre le contrôle du corps et de l’esprit du sujet. Et là, il peut lui faire faire ce qu’il veut. Transformer la personne en tueur, ou en vraie nymphomane si c’est une femme. De plus, cette technique peut également être utilisée dans le cadre d’espionnage psi. Par exemple, un espion psi peut parfaitement se projeter dans l’esprit d’un haut gradé de l’armée ou d’un ministre et voir ce qu’il voit, être présent dans des réunions et ainsi accéder à des informations classées top secrète. Cela est tout à fait possible. Donc, ces applications peuvent aller très loin. Ce ne sont pas des pratiques anodines. C’est donc pour éviter cela, que la cosmoéthique est ici importante. Mais aussi qu’il y ait un code de déontologie à suivre. Sinon c’est la porte ouverte à toutes les dérives possibles et imaginables
