Dans la pensée shandarienne, le pouvoir possède plusieurs niveaux qui placés bout à bout forme ce que l’on appelle l’échelle du pouvoir. Sur cette échelle, nous trouvons ainsi 3 niveaux de pouvoir de haut en bas qui sont:
- Le pouvoir naturel
- Le pouvoir naturo-artificiel (ou semi-naturel)
- Le pouvoir artificiel
Regardons maintenant ces 3 pouvoirs plus en détail
I. Le Pouvoir naturel
Il est le pouvoir de la nature de l’être et de l’existence dans sa forme. C’est à dire le pouvoir du cosmos qui en agissant devient « le pouvoir de la nature ». Ce pouvoir s’exprime à 2 niveaux, supérieur et inférieur.
- Au niveau supérieur se trouve le pouvoir de la Source de vie s’exprimant à travers sa lumière de vie et ses 9 attributs utilisable à travers l’énergétisme shandarien et les rites de pouvoir. Chez les non-shandariens, on parlera alors de « pouvoir divin, spirituel ou occulte » selon le type de philosophie et de tradition.
- Au niveau inférieur se trouve le pouvoir de vie communément appelé pouvoirs psi ou « pouvoirs de l’esprit » qui s’exprime sous différentes formes et capacités. C’est notamment le cas pour la télépathie shandarienne.
II. Le Pouvoir naturo-artificiel
Situé entre les pouvoirs naturels et artificiel, il fait la jonction entre les deux. Dans cette association, le pouvoir naturel utilise le pouvoir artificiel comme support d’action. Par exemple, la télépathie et télépsychie sont utilisées pour gouverner. C’est le principe même de la psychocratie shandarienne ou encore par psychotronie.
III. Le Pouvoir artificiel
Situé en bas de l’échelle, c’est un pouvoir basé sur des titres, structures et organisations créées artificiellement. Par mi ce pouvoir artificiel, nous retrouvons ceux des civilisations humaines. C’est à dire:
- Le pouvoir financier basé sur la possession du capital et de ses valeurs qui dirige:
- Le pouvoir politique basé sur un titre et une fonction gouvernementale et étatique qui dirige:
- Le pouvoir judiciaire basé sur le titre de magistrat et les pouvoirs qui lui sont conférés
- Le pouvoir militaire basé sur la force brute, les armes
- Le pouvoir médiatique (le 5ème pouvoir) basé sur l’influence et la manipulation des masses par les médias
Le pouvoir naturel est supérieur au pouvoir artificiel
Ainsi, le pouvoir de la Source de vie et le pouvoir psi sont supérieurs au pouvoir financier et politique. Pour faire simple, le politiciens se soumettent aux banquiers et financiers qui eux se soumettent à leurs tour à des entités de kesh ayant la capacité d’influencer et de contrôler leurs esprits. Il s’agit donc ici du pouvoir psi et non du pouvoir de la Source (1). Les financiers, les banquiers et les politiciens connaissent très bien cette réalité. C’est pour cela qu’on les retrouvent (pas tous) en lien avec des cercles occultes, des fraternités espérant grappiller une partie de ce pouvoir naturel afin d’avoir pour eux, « le pouvoir absolu » si on peut dire ainsi. Sauf qu’ils ne l’auront jamais, puisque ces entités de kesh ne partagent pas et surtout ne partageront jamais. Dans ce sens, elles leurs donnent quelques miettes tout leurs faisant croire qu’ils sont les maitres du monde dans une pseudo-élite occulte de manière à ce qu’ils fassent ce que ces dernières veulent. Les financiers et politiciens sont justes des pantins voir des serviteurs de ces entités de kesh dans l’histoire. Rien d’autre.
L’échelle du pouvoir dans le Shandarisme
Dans cette échelle les shandariens n’utilisent que les pouvoirs naturels à travers l’accomplissement des rites de pouvoir et de l’utilisation de la télépathie ainsi que du voyage astral. Mais aussi par extension, le pouvoir naturo-artificiel donnant lieu à cette fameuse psychocratie shandarienne qui est le « régime actif » dans le Shandarisme et dans l’ensemble de ses structures. Dans ce sens, les Shandariens n’utilisent jamais le pouvoir artificiel, car ils n’en n’ont pas l’utilité. Et ce qui n’a pas d’utilité n’a pas de raison d’être. D’ailleurs à quoi cela pourrait-il nous servir quant on peut influencer quelqu’un directement par la pensée? Et pour cela, il n’y a pas besoin de banquier, de politicien, de magistrat, ni d’armée et encore moins de journalope. Nous sommes donc ici dans un tout autre rapport au pouvoir.
(1) Rappelant ici que le pouvoir psi est neutre, il devient un pouvoir de bliss (positif) ou un pouvoir de kesh (négative) selon l’intention et l’utilisation que l’on en fait.
