Quel est notre place dans l’univers?
D’abord posons le contexte. Dans la pensée shandarienne, l’univers est la partie exotérique, visible du cosmos. Sa fonction est d’être un lieu d’expérience, de réalisation et d’évolution de la conscience. Autrement dit il s’agit d’un vaste champ expérimental dont les planètes et leurs systèmes stellaires sont des laboratoires naturels de la vie et de la conscience pour:
- L’épanouissement et l’expression de l’univers et du cosmos lui-même.
- Notre évolution et retour vers la lumière et ses demeures (l’Anabase) afin d’accomplir l’Apocatastase et ainsi embrasser l’état d’Yparxi qui est la manifestation de la conscience du tout.
Ainsi lorsque nous nous incarnons et réincarnons (selon le point de vue) dans une enveloppe biologique appartenant à une espèce donnée native d’une planète donnée dans un système stellaire donnée, nous venons en tant qu’ expérienceur. Ici il s’agit d’être incarnés dans des corps humains masculin ou féminin sur la 3ème planète (Gaia, la terre) de ce présent système stellaire (Solaria, le système solaire) situé en périphérie du bras d’Orion de Galaxia (la galaxie de la voie lactée). Mais pour d’autres consciences, cela sera des incarnations sur d’autre planètes appartenant à d’autres systèmes stellaires présentes dans d’autres galaxie que celle-ci. Enfin, en nous incarnant dans l’univers, par extension, nous fusionnons avec celui-ci pour devenir un segment et un élément actif le composant.
Nous sommes tous des expérienceurs
Que nous soyons Shandariens, humains, hybrides, extraterrestres ou extradimensionnels, nous sommes tous sans exception des expérienceurs qui expérimentons chacun un segment et une facette de la réalité manifestée sous la forme de cet univers avec ses planètes, étoiles et galaxies. A partir de là, notre place d’expérienceur dans ce champ d’expérience que compose l’univers est celle d’être un acteur conscient, actif et évolutif. A travers nos propres actions, accomplissements et évolutions de conscience faites par le vecteur de l’expérience, nous conscientisons petit à petit l’univers et l’existence. Autrement dit, nous apportons de la lumière (1) afin que celui-ci (l’Univers) puisse être en science et en con-science de lui-même un peu plus à chaque fois. Ce qui à pour effet de participer à l’épanouissement du cosmos et de sa fleur de vie. C’est d’ailleurs aussi pour cela que l’on dit dans le Shandarisme que nous travaillons pour le cosmos. Car notre présence et actance dans sa partie exotérique – l’univers – est orienté au service de la conscientisation et épanouissement de ce dernier. Qu’on le veuille ou non, l’univers est un organisme vivant, intelligent et conscient. Faites une sortie de corps, filez droit dans l’espace et observez pour vous-même. Et là vous allez vraiment comprendre de quoi il est question ici. Tout est conscient et vivant n’en déplaise aux matérialistes et aux dormeurs.
Dans ce sens, notre place dans l’univers n’est pas d’être au centre de celui-ci ni d’être au-dessus de lui, mais d’être intégré et fondu dans sa toile stellaire par l’intermédiaire de nos corps d’incarnation pour justement lui apporter depuis notre position géospatiale (si on peut dire ainsi) la lumière de notre conscience et connaissance. Étant devenu une partie de celui-ci par l’incarnation dans ses extensions biologiques (2), sa conscientisation devient également la nôtre. Là ou dans cette dynamique évolutive de vie et de conscience, la roue de l’existence peut continuer à tourner.
(1) La lumière étant porteuse d’information qui porté aux sens amène à la conscientisation.
(2) Dans la pensée et cosmologie shandarienne, nos corps d’incarnation constituent avec le reste de l’écosystème le continuum biologique de leurs planètes d’appartenance.
