L’ âbestani (آبستنی) qui veut dire « grossesse » en langue perse est le moment ou la femme shandarienne porte en elle la réincarnation d’une nouvelle conscience. Autrement dit, l’ âbestani est la voie de réincarnation des consciences sur le plan physique du cosmos.
Afin de permettre la sortie au jour de la conscience nouvellement réincarnée, la femme shandarienne qui est dans son âbestani doit être surveillée elle, sa santé ainsi que le développement du fœtus dans ses 40 semaines aménorrhée.
Il est écrit dans l’Ataraxia à la Table VI: Évolution, Directive 1. La planète terre – Nouveau-né, enfant, adolescent, adulte et vieillard, Sous-directive 40:
Celui qui marche sur le chemin des étoiles à le devoir de laisser la femme enceinte mener à terme sa grossesse afin qu’une nouvelle conscience puisse nider, se réincarner et ainsi accomplir sa propre Moira.
L’enfantement n’est pas une obligation sur le chemin des étoiles. Ce qui implique que l’âbestani n’est pas spécialement recherché, souhaité ou incité. Dans la pensée shandarienne, si il n’est pas dans le programme d’incarnation de la femme d’expériencer la grossesse et/ou l’accouchement, rien ne se fera. Ainsi, être une femme shandarienne nullipare ne pose pas vraiment de problème pour la conscience collective.
Par contre, les âbestani précoces (avant 20 ans) et les âbestani tardives (après 40 ans) sont fortement déconseillées dans le cercle . Les âbestani précoces à cause des risques de complications de la grossesse et de l’accouchement. Les âbestani tardives à cause des risques accrus d’anomalie chromosomique, retard de croissance intra-utérin, malformations congénitales, prématurité, etc.
Changement vibratoire
Lorsque la femme est dans son âbestani, la femme enceinte modifie son corps biologique ainsi que son corps psionique/biophotonique pour les adapter à la grossesse. Ce qui se manifestera par:
- l’apparition des marques de grossesse (linea nigra, melasma, etc.)
- la fragilisation de la conscience et l’instabilité de sa fréquence vibratoire se manifestant par des sauts d’humeur, etc.
Dans leurs états et pour les protéger elles ainsi que leurs enfants portés, les femmes shandariennes sont exemptées de pratiquer l’unification (1) mais doivent accomplir le rite de fécondité (2) une fois par mois durant les 9 mois qui suivent afin de renforcer leurs états vibratoires et systèmes immunitaires.
En cas de conflit et de guerre
En cas de conflit ou de guerre, les femmes shandariennes dans leurs âbestani doivent être évacuées et conduites en lieu sûre afin de donner naissance a ceux et celle qui nous succéderont le moment venu et formeront la nouvelle génération de shandarien et de shandarienne.
Enfin les shandariens ont le devoir d’épargner la vie d’une femme ennemie enceinte afin que la conscience réincarnée dans son corps puisse venir au monde. Car l’enfant à naitre n’est pas considérée comme une menace pour notre conscience collective. Donc, on épargne sa vie en épargnant la vie de sa mère biologique ou porteuse dont sa survie dépend. Si la femme enceinte est armée, les shandariens prendront alors le contrôle télépsychique/télépathique de son corps et de son esprit pour finalement l’endormir. État dans lequel elle n’est plus une menace tout en restant vivante pour continuer d’incuber et d’alimenter via le placenta et le cordon ombilical l’enfant qu’elle porte.
(1) Il est écrit dans l’Ataraxia (Table IV: L’accomplissement, Directive 6. L’unification, Sous-directive 112) Sera exempté de l’unification, celui et celle qui souffre de troubles psychologiques ou psychiatriques, neurologiques, cardio-vasculaires, de lésions musculaires, de problèmes rénaux, de problème de dos, les âgées et invalides, les femmes enceintes.
(2) Dans le Shandarisme, un rite possède plusieurs fonctions, il en va de même pour le rite de fécondité. Ainsi lorsque la femme shandarienne a son emmenia, le rite de fécondité stabilise son niveau vibratoire. Puis lorsque la femme est dans son âbestani, ce même rite sert alors à renforcer son état vibratoire.