Peu importe l’espèce ou l’individu…
Que cela soit un autre shandarien, un humain, un animal, un hybride, un extraterrestre ou un extradimensionnel, les Shandariens ne pratiquent pas la torture. Dans ce sens, la loi shandarienne interdit même la torture (1) Non pas pour des raisons éthiques ou morales, mais pour des raisons essentielles (spirituelles). En effet, il faut se souvenir que lorsqu’on est shandarien ou shandarienne (pour les femmes) et qu’on suit le chemin des étoiles, nous progressons sur une voie d’éveillance de la conscience. C’est à dire plus nous progressons sur le chemin, plus nous nous réveillons de notre dormance pour finalement devenir éveillé. Ce processus long et naturel (car ce n’est pas en 1 jour, 1 semaine , 1 mois ou 1 année qu’on atteint l’éveil -si on vous le dit, sachez que c’est faux), nous devenons de plus en plus conscient de ce qui ce passe avec leurs compréhensions intuitives, mais aussi leurs conséquences, aussi bien pour les autres que pour nous-mêmes.
La torture est un acte de dormeur
Si vous torturez X ou Y, alors vous n’êtes pas conscient de ce que vous faites. Vous ne voyez pas, vous ne ressentez pas. Et donc, vous êtes ignorant de ce qui se passe réellement. Vous êtes en train de dormir dans le rêve collectif de l’univers sans se rendre compte de ce que vous faites ni des conséquences à venir. Maintenant quant vous vous réveillez de ce même rêve collectif de l’univers, vous voyez et vous ressentez. Et donc à travers vos sens qui sont désormais ouverts, vous comprenez ce qui est en train de se passer, mais aussi vous voyez et comprenez les répercutions réelles que cela va avoir.
Par exemple, si un dormeur plante un couteau et écrase une cigarette allumée sur le bras d’une personne, il ne ressent rien puisqu’il est en train de dormir en même temps. Mais si un réveillé ou un éveillé fait la même chose, comme celui-ci est réveillé, vu qu’il est lucide et ses sens ouverts, il va ressentir en lui la même douleur et détresse qu’il est en train d’infliger a sa victime (2). Mais cela ne s’arrête pas là! Car le pire dans l’histoire, c’est que comme il est conscient et réveillé, il va pas seulement ressentir la même douleur que sa victime, mais il va aussi en avoir la pleine conscience et compréhension de ce qu’il inflige. Ce qui fait qu’il apparait une souffrance vibratoire (avec la douleur de sa victime ressentie) ainsi qu’une souffrance psychologique/morale. « Mais qu’est-ce que je viens de faire là? » Et suite à cela, on peut vous garantir qu’il n’est pas bien, affaiblit, K.O malade de ce qu’il a fait endurer a sa victime + la culpabilité en prime.
Maintenant les conséquences
Les personnes qui torturent d’autres personnes sont des dormeurs qui d’une part ne réalisent pas ce qu’elle font et que d’autre part, ils ne réalisent pas non plus les conséquences à venir de leurs actions de kesh. Souvenez-vous ainsi que dans l’univers, l’immunité n’existe pas et que le fait d’aller tuer, violer, torturer des personnes désignées comme ennemi d’un culte ou d’une religion donnée ne sera jamais récompensé par le paradis ou par autre chose! La vérité et la réalité est que le cosmos, qui est l’autorité suprême ne fait pas de différence entre les êtres vivants, les civilisations, les sociétés, les groupes, ethnies, les religions. Il n’y a pas de peuple élu ni de commandement sacré ou divin ordonnant d’aller massacrer, torturer ou violer ceux et celle qui pensent autrement ou qui sont différent. (3) Ce qui veut dire que la personne qui a torturer va devoir faire face aux conséquences de ces actions dans son aveuglement, son fanatisme et ses émotions de colère et de haine qui l’on conduit a commettre de tels actes.
Quelles conséquences?
- L’essence (l’âme) de la personne qui à torturer X ou Y baisse inévitablement sa fréquence vibratoire pour se syntoniser avec la fréquence des plans inférieurs du cosmos correspondant pour finalement s’y retrouver après sa dévitalisation (sa mort). C’est a dire dans les mondes de kesh. Et là il va en prendre pour longtemps dans un état de souffrance et de détresse. Cependant il n’ y restera jamais éternellement. Mais seulement le temps de purger hors de son être ce qu’il a fait. C’est un purgatoire de la conscience. Mais qui peut durée à un équivalent de temps terrestre plusieurs centaines et milliers d’années de souffrance, le temps qu’il macère bien dans sa propre merde pour qu’il comprenne ce qu’il a fait et se repent.
- Une fois sortie de cet enfer, il va retourner vers la lumière. Puis lors de sa propre revue de vie, il va enfin prendre conscience de ce qu’il a fait en ressentant à 100% (dans un super bonus offert par la maison) toute la souffrance et détresse qu’il à infliger lors de ces actes de torture. Or, comme cela a générer des charges énergétiques qui bloquent toutes évolutions future de conscience, il va devoir retourner s’incarner pour réparer tous ce qu’il a fait et ainsi se libérer de ces charges. Sinon il restera coincer dans cet état. Une situation qui n’est pas tenable. Enfin, il n’exclut pas non plus qu’il se fasse torturer a son tour. Là ou quant le bourreau devient à son tour la victime.
Maintenant quant on a conscience et connaissance de tous cela, qu’on sait et que l’on comprend… et bien, on renonce a ces pratiques. Pourquoi? Parce que la vie est déjà assez difficile comme cela, et qu’on a pas envie d’en reprendre d’avantage plein la gueule. Et que de plus, on n’a pas non plus envie de se retrouver dans les mondes de kesh dans l’après-vie. Donc on s’écarte de la torture. On a déjà assez souffert comme ca. Maintenant on arrête les frais.
(1) L’ataraxia, Table I: Shandaria, Directive 5. Le collectif biologique, Régulation, Ordre & équilibre – Sous-directive 273: Les châtiments corporels, les tortures et la peine de mort sont interdits.
(2) Nous sommes tous liés les uns aux autres sur le plan psychique et vibratoire. Quant on est réveillé/éveillé, nos sens s’ouvrent et on ressent télépathiquement tous ce que l’autre ressent. C’est ce que l’on appelle l’empathie qui est l’une des composantes de la télépathie.
(3) Les concepts d’hérétique, d’impie ou de mécréant n’existent pas dans la pensée et cosmogonie shandarienne. Même si nous les connaissons et en comprenons le sens.