Le Fondateur du Shandarisme
James Shandar est le père-fondateur, le créateur et l’architecte du Shandarisme ainsi que le premier de tout les Shandariens. Il est celui qui est à l’origine. Mais il est également un chercheur et un expérienceur dans les pouvoirs de la pensée et a fait plusieurs expériences dites paranormales lorsqu’il était plus jeune. Tout commença par des interrogations existentielles que le fondateur se fit sur le but et le sens de la vie. En quête de réponse, il étudia de nombreuses religions, spiritualités et philosophies orientales et occidentales ainsi que l’ésotérisme, la magie et l’occultisme.
Mais il ne trouva dans les religions que bigoterie, fausseté, peur, haine et hypocrisie. Quand à l’ésotérisme, la magie et l’occultisme, beaucoup de superstition et de fausses croyances qui n’était pas représentatif de la réalité.
N’ayant rien obtenu de satisfaisant, il décida alors de trouver les réponses par lui-même. Pousser par un esprit de pionnier et de conquête, il explora ainsi de nouvelles voies par l’expérimentation et l’observation de la réalité. De fil en aiguille, ses expériences et découvertes l’ont amené vers la synthétisation d’une nouvelle forme de pensée que l’on appela Shandarisme.
Position du Fondateur
Dans les traditions, philosophies et religions, les fondateurs sont mis en avant et tiennent une place centrale. Par exemple : Bouddha et son enseignement pour le Bouddhisme, le Christ pour le Christianisme, etc.
Mais dans le Shandarisme, c’est tout au contraire ! Car le fondateur est lui-même et complètement « fondu » dans le Shandarisme !
Autrement dit, bien qu’il soit le premier de tout les shandariens, il reste et demeure un shandarien parmi les autres. Cette disposition permet ainsi d’éviter un culte de la personnalité, un égocentrisme et un despotisme afin de laisser aux autres shandariens le champ libre d’évoluer librement dans l’accomplissement de leurs Moiras. Mais cette disposition permet aussi d’éviter une emprise psychologique trop forte de sa part qui fatalement bloquerait les autres shandariens dans l’évolution, l’expression et le développement de leurs niveaux de conscience et d’énergie. Nous sommes donc complètement à l’ opposé d’un gourou de secte.
Considération du Fondateur
Ainsi, à la lumière de ce qui vient d’être dit plus haut, si nous observons les choses telles qu’elles le sont, nous pouvons voir que le fondateur n’est rien d’autre qu’une projection de la conscience universelle dans une enveloppe biologique comme n’importe quelle autre forme de vie dans l’univers. On peut aussi observer sur le plan biologique que le fondateur ainsi que tous ses semblables doivent s’alimenter, se reposer et avoir une activité physique. Enfin, comme tous ses semblables il vieillit et est mortel.
Il n’y a donc aucune différence entre le fondateur et les autres êtres vivants de cette planète.
Absolument rien si ce n’est sa mémoire contenant ses expériences personnelles, sa pensée, son accomplissement ainsi que son code ADN. Ce qui veut dire que le fondateur n’est pas un être surnaturel ou magique. Mais une forme de vie intelligente, une entité parmi tant d’autres présent et évoluant à travers l’espace et le temps. Dès la seule chose qui le différencie des autres formes de vie sont ses réalisations. Dont la plus importante et monumentale de toutes qui à été celle de la création du Shandarisme.
Dans cette optique, il ne peut donc pas être considéré comme un grand maitre, un gourou, un prophète, un messie, un saint ou un demi-dieu, mais seulement comme le créateur, le fondateur et l’architecte du Shandarisme.
- En tant que créateur, il a créé le Shandarisme, son édifice
- En tant qu’architecte, il a conceptualisé le Shandarisme et ses structures
- En tant que fondateur, il a fondé le cercle.
Dans ce sens, J. Shandar n’est pas vénéré et aucuns cultes de la personnalité ne lui sont voués. Seul un rappel de mémoire de son image, de son œuvre et de son esprit avec les mots «En son Nom» sont prononcées le 11 mars de chaque année durant le jour de l’Avènement. Ceci afin de le remercier de nous avoir apporté la pensée Shandarienne.
Relation au Fondateur
Même si il n’est pas un gourou, un prophète ou un messie, il y a tout de même une erreur fondamentale à ne pas commettre ici. Celle qui serait de placer le fondateur sur un piédestal ou de l’idéaliser. Car le jour ou vous allez voir, lire ou entendre quelque chose de lui ou sur lui qui ne correspond pas à l’image que vous vous en aviez faite, vous allez tomber des nus. La réalité est que malgré son haut niveau de conscience et de connaissance, cela lui arrive parfois de péter un câble, d’entrer dans des rages noires.
De plus est, le fondateur n’est pas un saint et encore moins un modèle de moral, de sainteté ni de vertu. Loin de là. D’ailleurs il l’a déjà dit lui-même sans complexe ni honte!
Selon que l’on soit au degré basse, moyenne ou haute conscience, la perception et la relation au fondateur change
Si vous êtes au degré de basse conscience ou que vous soyez un non-shandariens, on parlera de lui comme du « fondateur », la personne physique. « Le fondateur ceci, le fondateur cela ». Ce rapport correspond à la réalité de la matière, le monde physique.
Si vous êtes au degré de moyenne conscience, on parlera de lui comme de « Shandar ». C’est à dire l’entité énergétique qui utilise cette enveloppe biologique et que l’on appelle « Shandar ». Ce rapport correspond à la réalité de la matière-énergie, le monde à la fois physique et énergétique, astral.
Si vous êtes au degré de haute conscience, on parlera de lui comme de « l’énergie de Shandar » ou encore de « l’esprit de Shandar (Το Πνεύμα του Χανδάρού) ». C’est à dire l’énergie, la conscience, l’esprit ou l’âme fondatrice du Shandarisme. On dit d’ailleurs « Que l’esprit de Shandar t’accompagne… » qui est l’équivalent shandarien de « Que la paix soit avec toi ». Ce rapport correspond à la réalité de l’énergie, l’astral.
Le successeur du fondateur
Le seul et unique successeur du fondateur est notre égrégore, la Conscience collective shandarienne. Aucun shandarien ou shandarienne ne peut prétendre être le successeur du Fondateur à titre individuel.
De même qu’aucun non-shandarien ne peut prétendre non plus à un tel titre.
Toutes personnes se réclamant être le successeur du fondateur commet une escroquerie intellectuelle et une falsification dont les conséquences peuvent s’avérer extrêmement dangereuses et destructrices.
Par conséquent, si un jour quelqu’un homme ou femme, qu’il soit shandarien ou non-shandarien venait à dire qu’il ou elle est le digne successeur du fondateur, sachez que cela sera entièrement faux. Autrement dit, cela ne sera rien d’autre qu’une manœuvre pour essayer de prendre le pouvoir et faire main basse sur les secrets et trésors contenus dans l’édifice du Shandarisme. La réalité est que la Conscience collective shandarienne reste et demeure le successeur exclusif, sans partage ni transfert de droit du fondateur.