Les demeures de la lumière, notre véritable chez nous
Situés dans le corpus énergéticus , c’est à dire la zone radiative de la Source de vie, les demeures de la lumière. Ce sont des dimensions de la conscience qui existe simultanément, dans un même espace sur différentes fréquences vibratoires. Ces dimensions de conscience sont notre véritable « chez nous ». Car c’est de là que nous venons et c’est là ou nous reviendrons pour réaliser notre Yparxi à la fin de ce présent cycle cosmique (1). Rappelant ainsi que nous sommes tous des unités composant la Source de vie. Elle fait partie de nous et nous faisons partie d’elle. Ce qui explique pourquoi certains expérienceur d’EMI qui sont effectivement retourner dans ces demeures avaient déclaré qu’ils avaient l’impression de ne faire qu’un avec la lumière. Et que dans cette lumière ils étaient chez eux, de retour dans leurs véritables maison d’âme.
Lorsque nous sommes dans les demeures de la lumière, nous sommes en paix et dans l’amour du cosmos. Il n’y a plus de blessure d’âme, plus souffrance, plus du colère, plus de haine. On est dans le confort, la sécurité et le bien-être allant au-delà de ce que l’on connait ici sur terre.
Toutefois croire qu’on se la coule douce dans un état de béatitude est une erreur! Car la vie est énergie et que l’énergie à besoin de mouvement pour exister. Sinon elle cesse d’être tout simplement (2). De ce fait, nous sommes toujours en activité dans les demeures de la lumière. Des activités qui ont pour but la continuité de notre évolution de conscience, mais aussi faire « tourner la machine » pour la continuité des cycles du cosmos et de l’épanouissement cosmique. Dans ce sens, il n’y a pas « je me la coule douce pour le reste de l’éternité ». Car se faisant, il n’y aurait plus d’évolution possible de notre essence et conscience. Au contraire, cela nous amènerait à une régression de l’essence de vie dans l’abrutissement et l’inculture.
Les demeures de la lumière ne sont pas le paradis
Dans la cosmologie et pensée shandarienne, le paradis n’existe pas. Cependant, les demeures de la lumière peuvent facilement induire en erreur à cause de l’allégorie du paradis des religions qu’elles suggèrent. En effet, les paradis sont des constructions égrégoriques, des mondes consensuels construit et renforcer au fil des siècles par les formes-pensées collectives des croyants des religions et non par un Dieu omniscient et omnipotent. On peut d’ailleurs facilement s’y rendre et les visiter en voyage astral. Et cela qu’on soit croyant ou non. Les demeures de la lumière c’est vraiment autre chose. Dans ce sens, l’ambiance n’est vraiment, mais vraiment pas la même et ce qui s’y passe non plus!
Ainsi dans les demeures de la lumière, il n’y a pas de dogme ni de croyance, pas archétype religieux tel que Jésus, Bouddha, Shiva ou autres. Si tel est le cas, cela veut tout simplement dire que vous n’êtes pas réellement dans les demeures de la lumière, mais dans un monde consensuel. C’est à dire un « paradis artificiel » bâtit par les croyances collectives des fidèles des religions. Dans ce sens, les demeures de la lumière situées dans la Source du cosmos sont libres de l’influence de toutes religions, philosophies et spiritualités organisées. Il n’y a qu’un océan de lumière, l’essence manifestée de toute existence présente dans un état d’omni-conscience et d’ omniscience. Enfin, concernant le Shandarisme, il est juste une voie de conscience « le chemin des étoiles » menant la conscience vers ces demeures. Mais il s’arrête là et ne va jamais plus loin que cette limite. Tous ce qui suit est ensuite prise en charge (si on peut dire ainsi) par la Source de vie et ses demeures célestes. Enfin, il ne faut pas confondre l’Astara avec les demeures de la lumière. L’Astara est situé en dehors de la Source, alors que les demeures de la lumière sont situés dedans.
Retourner dans la lumière
Pour les Shandariens, le retour dans la lumière est l’Epistrofi (Eπιστροφή) aussi appelé « le retour à la Source » qui constitue la 3ème étape de l’après-vie terrestre. Toutefois, ce retour dans la lumière n’est pas systématique. En effet, si nous conservons des addictions, obsessions, croyances, traumatismes, des émotions de peur, de colère, de haine, de culpabilité de notre actuelle incarnation, ou encore que nous soyons dans de basse vibration (kesh) au moment de notre dévitalisation, nous nous syntonisons avec leurs mondes correspondant. Dès lors, ce n’est que lorsque nous nous libérerons de ces derniers dans un purgatoire que nous retrouvons le champ libre pour retourner dans la lumière. L’étoile du cosmos nous apparait alors pour nous appeler à elle. Peu importe que nos incarnations soient ici sur cette planète ou ailleurs sur d’autres planètes et systèmes stellaires abritant la vie, nous retournons tous dans cette même lumière. Ce qui veut dire que les demeures de la lumière accueillent et recueillent aussi bien les essences/consciences qui étaient incarnées en humain, plantes, insectes, animaux sur cet astre que dans tous les autres réceptacles de vie situés sur d’autres planètes appartenant à d’autres systèmes stellaires et galaxies de l’univers. Ainsi que l’on soit incarné en humain, hybride, extraterrestre (petit gris, reptiliens, insectoides, grands blonds, etc) ou extradimensionnel, nous retournerons tous un jour ou l’autre dans la lumière et ses demeures. Car nous sommes tous sans exception des segments de la Source de vie prenant différentes formes de vie dans l’univers. C’est cela le véritable et authentique universalisme, ce n’est pas l’homme qui est universel dans ses délires anthropocentriques.
(1) Retourner dans la lumière ne signifie pas réaliser forcement son Yparxi. Dans ce sens, on peut retourner chez nous dans des Apocatastases transitoires. Mais la fin du voyage se terminera dans l’apocatastase finale et non la transitoire pour la fin de ce cycle cosmique.
(2) Ce n’est pas pour rien que l’on observe que « tout est vibration », car cette vibration est le mouvement dont l’essence et l’énergie de vie à besoin pour continuer à exister.