Rappelons d’abord le contexte
Dans la pensée shandarienne, il n’a pas de séparation entre shandarien et non-shandarien. Cela se vérifie par l’observation que nous vivons tous dans le même univers, ses dimensions et réalités. Par exemple, le simple fait de marcher dans la rue ou d’aller dans la nature fait que nous sommes déjà dans le Xenos! De même que sortir de son corps chaque nuit fait également qu’on se retrouve directement sur le plan proto-physique du cosmos. Or qu’est-ce que ce plan si ce n’est d’un plan vibratoire du Xenos! Enfin, il faut se souvenir que l’expérience de conscience, pratique centrale du Shandarisme se pratique aussi dans le Xenos. De ce fait, il y a une ouverture naturelle et même nécessaire des Shandariens sur le monde non-shandarien. Car c’est aussi dans ce même Xenos que l’on trouve les ressources nécessaires à notre existence incarnatoire, accomplissement et évolution de conscience. Ainsi, on ne peut pas se fermer du Xenos et par conséquent, on ne peut pas séparer shandarien et non-shandarien. Le faire serait complément inconscient et suicidaire pour le Shandarisme.
Cette ouverture fait qu’un shandarien est libre de fréquenter des non-shandariens. De même qu’un shandarien peut librement communiquer et échanger avec un non-shandarien. Voir les aider ci-nécessaire. Le cercle ne peut pas interdire ni condamner pour cela. Le communautarisme n’existe pas dans le Shandarisme.
Les limites à cette ouverture
L’ouverture des Shandariens sur le Xenos et les non-shandariens qui le constitue s’arrête là ou commence les dimensions et réalités de la conscience collective et de l’Energia.
- Les limites dimensionnelles de la conscience collective pour le plan proto/para-physique du cosmos
- Les limites dimensionnelles de l’Energia pour le plan physique du cosmos
Dans ce sens, ces derniers forment l’ espace vital de la conscience, de la mémoire et de la réalité du Shandarisme. En tant qu’espace vital, ce dernier est fondamental à l’existence même du Shandarisme et de sa pratique pour les Shandariens. Afin de préserver l’intégrité de cet espace et dimension vitale contre toute forme de contamination et de corruption possible, on en interdit l’ouverture aux non-shandariens. Autrement dit, les non-shandariens n’ont pas le droit d’entrer ni être présent dans la conscience collective via le voyage astral ni dans l’énergia. Sauf si ils ont été appelés pour accomplir le rite d’initiation en vue de devenir de nouveaux shandariens. Cette interdiction n’est donc pas une question de communautarisme ni de sectarisme, mais seulement une nécessité de préserver l’intégrité de l’espace et de la dimension vitale à l’existence du Shandarisme.
Enfin, ces limites impliquent aussi le fait que les shandariens ne racontent jamais aux non-shandariens ce qui se passe ni ce qui se dit à l’intérieur de la Conscience collective ni de l’Energia. Aux Etats-unis, dans le Nevada, on dit « What happens in Vegas, stays in Vegas« . C’est à dire ce qui se passe à Las Vegas reste à Las Vegas. Et bien de la même manière, ce qui se passe dans le Shandarisme, reste dans le Shandarisme. Pas d’indiscrétion. Les affaires shandariennes ne concernent que les shandariens eux-mêmes et personnes d’autres. Aucune ingérence étrangère dans nos affaires n’est ici tolérée. Et cela quitte à recourir au 4ème devoir fondamental pour stopper les non-shandariens allant dans ce sens.
Pénétration non-autorisée
Si des non-shandariens pénètrent chez nous en SHC (Sortie Hors du Corps), ils se feront expulser hors de cette dimension manu-militari par les shandariens en présence. Comme les videurs d’une boite de nuit qui expulsent et jettent sur le trottoir un client indésirable. Maintenant si ces derniers pénètrent la dimension de l’énergia, leurs équipements et matériels tomberont en panne (donc impossible d’enregistrer quoi que ce soit). Quant aux non-shandariens eux-mêmes, ils perdront de leurs vitalités. Ce qui est un signe d’avertissement de ne pas s’aventurer plus loin et de dégager au plus vite de là avant que les troubles s’aggravent. Ce n’est qu’une fois sortie que leurs appareils fonctionneront de nouveau et qu’ils retrouveront leurs pleines vitalités. Ce qui rappellera pour certains l’affaire des Monts Bucegi en Roumanie ou encore celle du Skinwalker Ranch en Utah (USA). Ce qui est parfaitement logique, puisqu’il s’agit de technologies assez proches et similaires. Mais appartenant a d’autres groupes et sociétés que les nôtres.
