Le savoir nous rapproche de la Source

Qu’est-ce que le savoir?

Le savoir est l’ensemble des connaissances sous la forme d’information stockée et conservée en mémoire. Que cela soit la mémoire du cosmos, notre propre mémoire (bio-photonique, psionique, essentielle) ou la mémoire artificielle (livres, vidéos, audios, disques dur d’ordinateur, etc). Il existe 2 grands types de savoir par rapport à l’être qui sont:

  1. le savoir ésotérique qui comprend les connaissances occultes sur l’existence et ses manifestations intérieures à l’être.
  2. le savoir exotérique qui comprend les connaissances scientifiques sur l’existence et ses manifestations extérieures à l’être.

Dans la pensée shandarienne, les savoirs occultes et scientifiques ne sont pas opposés, mais complémentaires l’un de l’autre. Car on estime que c’est l’association et la combinaison logique de ces 2 types de savoirs qui nous permet d’avoir la connaissance et la compréhension totale et complète de l’existence dans sa forme, le cosmos. Si il en manque un, on est limité dans notre perception et compréhension de la vie.

Le Savoir nous rapproche de la Source

Plus on sait, plus on s’ouvre à soi-même et au monde. Le monde et les autres ne sont pas nos ennemis, mais sont une partie de nous comme nous sommes une partie du monde. Quant le savoir est là, on met de la lumière sur l’ombre de l’inconnu pour révéler à notre claire conscience son contenu. Là où l’ombre cède sa place à la lumière de la conscience, l’INCONNU devient le CONNU. Le CONNU ouvre notre conscience, notre  énergie ainsi que force de vie. Ces dernières se réveillent alors pour se déployer. Un déploiement qui agit comme une poussé qui fait monter l’être en fréquence. Là ou dans cette montée vibratoire, nous nous rapprochons de la Source du cosmos.

C’est pour cela que le savoir et les lieux du savoirs (bibliothèques, médiatiques, sites archéologiques) sont considérés comme essentiels dans la pensée shandarienne. Par conséquence, ils ne doivent pas être détruit, mais protéger et entretenu pour être sauvegardé et ainsi pouvoir nous livrer les savoirs qu’ils contiennent. Que cela soit pour nous comme pour les autres, qu’ils soient d’ici (Gaia la Terre) ou d’ailleurs (extraterrestre et extradimensionnel). Dans ce sens, ne soyons pas égotiste, égocentiste ni cupide au point de vouloir garder toute la connaissance pour nous.

Cependant, il ne faut pas prendre n’importe quel savoir!

En effet, seul le savoir basé sur l’expérience de la conscience et l’observation de notre environnement, qu’il soit psychique, vibratoire ou matériel nous rapproche de la Source.  La pratique shandarienne de l’expérience de conscience/réalité remplit parfaitement cette fonction. Dans cette dynamique, le « VOIR » de la conscience amène au « SAVOIR » de l’existence.  Même la connaissance exotérique, scientifique est acquise par l’expérience de la conscience à travers le prisme de l’observation n’en déplaise aux rationalistes, matérialistes et cartésiens. A contrario, le savoir basé sur un dogme, une croyance, une idéologie nous enferme dans ces dernières qui nous éloignent de la Source. Car nous ne sommes plus dans le VOIR, mais dans le CROIRE. Or la croyance n’est pas le reflet de l’existence, mais seulement le reflet de l’idée que l’on s’en fait.

Lorsque nous sommes dans le CROIRE, nous sommes prisonnier de nos propres visions et interprétations, prit au piège des illusions qu’elles génèrent dans notre champ de conscience et bulle de réalité. Dès lors seul le MECROIRE nous permet de sortir du CROIRE pour être dans le VOIR qui mène au SAVOIR véritable de la vie et de l’existence. C’est d’ailleurs pour cela que dans la pensée shandarienne, il n’y a pas de mécréance ni d’hérésie, car le SAVOIR de l’existence ne requière aucune adhésion ni fidélité à son contenu contrairement au CROIRE. Le SAVOIR s’impose de lui-même par l’expérience de conscience,  comme une évidence naturelle se manifestant à notre clairvoyance et claire compréhension des choses. Dès lors il n’y a pas besoin de débattre pour savoir si c’est vrai ou si c’est faux. On le sait tout simplement par l’expérience et l’observation, on le sait par le VOIR.

Souvenez-vous ainsi que sur le chemin des étoiles, nous sommes dans l’expérience et non dans la croyance. Autrement dit, nous sommes dans le VOIR nous menant au SAVOIR et non au CROIRE nous menant à l’aveuglement, à l’ignorance et à obscurantisme. On s’écarte ainsi du fanatisme et de ses pièges.

ZetaReticuli4779

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