D’abord, rappelons nous ce qu’est le Strip-tease
Le striptease, également appelé l’effeuillage est un spectacle érotique généralement dansé, mettant en scène un danseur (stripteaseur) ou une danseuse (stripteaseuse), qui consiste à retirer progressivement ses vêtements pour finir dévêtu soit de manière partielle en gardant le bas et la poitrine à l’air (striptease topless), soit de manière complète en ne gardant rien (striptease intégral). Les origines du Striptease remontent en réalité à l’antiquité gréco-romaine. Période dans laquelle le striptease (bien qu’on appelait pas encore cela ainsi à l’époque) était utilisé dans des rituels religieux polythéistes ou dans des cérémonies festives.
Maintenant que dit le Shandarisme?
Que cela soit le striptease topless ou le striptease intégral, ce dernier n’est pas considéré dans le Shandarisme comme un hybris sexuel ni comme de la pornographie. Ainsi, le Shandarisme ne l’interdit pas, mais à condition que cela suit les principes Shandariens afin de ne pas justement tomber dans l’hybris sexuel. C’est à dire être dans la conscience de soi pour avoir conscience de ce que l’on fait et la maitrise de soi pour éviter de commettre l’hybris (1). Aussi, il est bon de rappeler que les concepts de bien, de mal et de bonne moralité n’existent pas dans le paradigme shandarien. Par contre, il y a le licite et l’illicite ainsi qu’une cosmoéthique non pas basée sur des valeurs morales, mais sur les notions de l’écologique et du toxique. Dans ce sens, tant que la pratique du striptease reste écologique, elle est considérée comme licite et donc, ne pose pas de problème pour Emeis, la conscience collective shandarienne. A partir de là, et selon le Shandariana Sexualis, le striptease topless et/ou intégral est considéré comme l’une des voies ouvrant sur la sexualisation. C’est à dire l’action d’entrer dans l’énergie et la dimension des pouvoirs créateurs et procréateurs du cosmos. Il s’agit donc ici d’une toute autre approche dans laquelle cette pratique du striptease trouve une utilité et une raison d’être de nature essentielle (spirituelle) à son existence. On entre alors dans le domaine de la sexualité stellaire qui est l’équivalent shandarien de la sexualité sacrée, tantrique.
(1) Dans le cas du striptease, l’hybris principal est l’agression sexuelle et le viol. Ainsi sous les charmes de la stripteaseuse, l’homme faible qui n’a ni la conscience de lui-même ni la maitrise de soi se met en rut et succombe à sa propre libido en sautant sur la fille. Alors que l’homme fort qui à la conscience et maitrise de lui reste de marbre aux appels de sa libido. Il peut avoir une érection par automatisme, mais sa force mentale (son Qa) fait qu’il ne passera pas à l’acte et donc, il ne commettra aucune agression sexuelle ni viol. C’est aussi un test de force mentale pour l’homme.