Dans le Shandarisme, la sexualité a une place annexe, mais elle ne tient certainement pas une place centrale . Ce qui implique que la sexualité shandarienne n’est jamais mise en avant, car seul le plus important l’est. C’est à dire l’évolution et l’accomplissement de conscience en suivant le chemin des étoiles. La recherche du plaisir charnel n’est pas essentiel ni prioritaire et les désirs et revendications sexuelles égotiques n’ont pas leurs places dans la conscience collective shandarienne. Car elles sont considérées comme des visions et attitudes de barbare, d’êtres inconscients, ignorants, stupides et sous-évolués.
A partir de là, la sexualité devient un instrument de la conscience utilisé soit pour:
- La procréation de nouvelle enveloppe biologique qui serviront de réceptacles pour de futures incarnations
- La connexion et l’union entre les êtres ou entre les êtres et la Source de vie
- La production, libération et canalisation de l’énergie créatrice du cosmos (magie sexuelle)
Pas de sexualité sacrée ou divine
Chez les Shandariens, la sexualité n’est ni sacrée ni divine, car le sacré et le divin n’existent pas. Dans ce sens les concepts de sacré et de divin sont associés à des visions primitives et barbares, des chimères enfermant l’esprit dans des croyances qui l’empêche d’ évoluer. Or, sur le chemin des étoiles nous sommes dans l’expérience et non dans la croyance. Nous n’avons pas besoin de croire et considérer une chose sacrée ou divine pour en imposer l’importance et le respect. Si une chose est importante et fondamentale pour la vie et son existence, elle sera respectée. Car la vie étant également présente en nous, il y va par extension et continuité de notre propre existence et subsistance. Simple question de logique, de bon sens et de pragmatisme. Donc nul besoin de sacralisé ni divinisé la sexualité. Dès lors, la sexualité des shandarien(nes) est une sexualité stellaire qui connecte l’être aux forces stellaires du cosmos en vue de son évolution de conscience.
Les questions & sujets sexuels
Souvenez-vous qu’il n’existe aucun sujet tabou dans la conscience collective, même les plus dérangeant et choquant pour les esprits les plus étriqués, tant que cela est abordé avec science (connaissance), conscience (clairvoyance) et intelligence (maitrise, sagesse). Dans le Shandarisme, c’est comme en médecine, il n’existe aucune partie du corps humain ainsi que son utilisation qui ne soit tabou – parties génitales et érogènes incluses. De ce fait, les questions et sujets sexuels peuvent être librement abordés entre Shandariens sans censure du politiquement correcte ni interdite au nom d’une moralité puritaine, inquisitrice et hypocrite. Toutefois, on ne peut pas aborder ces sujets avec n’importe qui, n’importe où ni n’importe quand! Ainsi, ce sujet ne peut être traité que durant les Agoras shandariennes. Mais il ne doit jamais l’être durant l’accomplissement:
- De l’unification
- Des rites et cérémonies (à l’exception des rites d’énergie)
- Des célébrations shandarienne
Pourquoi? Pour tout simplement rester focaliser sur les pratiques shandariennes et ne pas corrompre ni invalider la circulation des énergies durant leurs accomplissements.
Dans les agoras, on ne mélange pas tous les sujets, esprit ordonné et logique oblige. Ainsi, les questions sexuelles sont traitées vraiment à part et font l’objet de sessions dédiées le soir. La participation à ces sessions n’est pas une obligation et reste facultative. Aucun shandarien ne peut vous blâmer pour ne pas avoir assister à celles-ci. C’est donc aux libres choix de chacun. Certains y assistent et d’autres non. Ces sessions sont mixtes et acceptent aussi bien les shandariens hommes et que shandariennes femmes.
Petite précision: lors de ces sessions, on ne fait que discuter et échanger, rien d’autre. Il n’est pas question de passer aux actes. Aucun dérapage, incitation ou attouchement sexuel n’est permis ni n’est toléré.