L’expérience de réalité est une application naturelle de la vie qui commence à la vitalisation de l’enveloppe biologique et qui se termine à sa dévitalisation. Sur la voie du shandarien, cette expérience de réalité est encadrée et codifiée afin d’être optimale. A partir de là, on segmente cette dernière en 5 étapes qui sont la vitalisation, la maturation, la fertilité, l’alliance et la dévitalisation.
Chaque étape est alors marquée par un rite de vie particulier.
Il faut toutefois ne pas confondre ces rites avec des sacrements. En effet, le sacrement à pour but de rendre sacrée, alors que le rite de vie ne sacralise pas, il ancre seulement dans la mémoire et les vibrations une étape de l’existence terrestre.
De ce fait, les rites de vie accompagnant les étapes de vie ne peuvent être considérées comme des sacrements. D’ailleurs le sacré n’existe pas dans la pensée shandarienne.
La vitalisation
Cette première étape est l’incarnation ou la réincarnation (selon le point de vue) de la force de vie dans un nouveau réceptacle de vie. Là ou cette dernière entre en capacité d’accomplir sa Moira sur ce plan de réalité.
Cette vitalisation est alors marquée par l’accomplissement du rite d’assimilation.
Un rite qui consiste comme son nom l’indique à assimiler dans notre conscience collective l’énergie et l’information de la nouvelle force de vie nidée dans la matière (corps humain) venant de sortir après 9 mois d’incubation. Là ou se créent et s’enracinent les liens psychiques et énergétique entre la nouvelle force de vie incarnée et la conscience collective.
Toutefois, le rite d’assimilation n’est pas véritablement un baptême en soi.
Mais plutôt une connexion et liaison psychique d’esprit à esprit reliant la force de vie incarnée à l’égrégore shandarien. Une connexion à travers laquelle la force de vie pourra accéder plus tard à l’âge adulte à l’énergie de la conscience collective afin de se ressourcer, être protégé et acquérir les mémoires nécessaires à sa progression sur les plans supérieurs du cosmos. Enfin, il faut savoir que le rite d’assimilation ne concerne que les shandariens de naissance, nés de parents shandariens et non les cooptés.
La maturation
La maturation biologique est l’étape suivante dans l’incarnation de la force de vie. Là ou l’enveloppe charnelle dans laquelle est incarnée la force de vie entre dans sa période de maturation biologique et vibratoire. Une entrée de maturation se manifestant par le passage biologique, énergétique et psychique de l’enfance vers celui de l’adolescence.
Dans ce sens, la période de maturation commencera à la puberté et se terminera à l’âge adulte.
A partir de là, la transition de l’enfance à l’adolescence est marquée par le rite de maturation dans lequel l’hôtesse réalise des passes magnétiques pour fixer le niveau vibratoire du champ énergétique. Lequel à tendance à devenir instable du fait des changements et transformations psychiques et biologiques s’opérant. Une fois son champ énergétique fixé à travers le rite, l’adolescent peut continuer sa période de maturation jusqu’à l’âge adulte.
Par contre, il n’existe aucun rite faisant la transition entre la fin de l’adolescence et l’entrée dans l’âge adulte. Car le passage à l’âge adulte ne créer aucune instabilité ni perturbations contrairement à l’adolescence.
La fertilité
La fertilité pour l’homme et la fécondité pour la femme est l’étape de l’âge adulte. Là ou enfin devenu adulte, l’homme et la femme deviennent pleinement fertiles et fécondes. Sauf en cas de problème médical, bien entendu. Cette entrée dans cette fertilité et fécondité est marquée par le rite de fertilité pour le shandarien ainsi que le rite de fécondité pour la femme shandarienne.
Le but du rite de fécondité n’est pas de rendre la femme féconde car soit elle l’est, soit elle ne l’est pas. Ainsi le véritable sens de ce rite est de stabiliser le niveau vibratoire de la femme qui devient instable au moment de son cycle de fécondité. Autrement dit, son Emmenia.
Mais l’accomplissement de ce rite peut également servir à soulager les éventuelles dysménorrhées primaires (douleurs menstruelles sans aucun problème de santé sous-jacent) et d’établir une bulle de protection durant les périodes menstruelles contre les éventuelles entités de l’astral pouvant être attirées par le sang de Ktéis et son niveau vibratoire.
L’alliance
Cette quatrième étape ne suit pas celle de la fertilité, mais s’y transpose. L’alliance est l’étape de l’union des énergies masculine et féminine. Il existe deux types d’alliance qui sont les alliances temporaires et les alliances permanentes. Les alliances temporaires sont a durée déterminée allant d’une 1 heure à 100 ans. Les alliances permanentes sont à durée indéterminée et dureront aussi longtemps que le lien énergétique sera maintenu. Que les alliances soient temporaires ou permanentes, ces dernières sont scellées par un accord psychique et vibratoire entre le masculin et le féminin.
Réalisé à travers un seul et même rite, le Zevgari, leurs fonctions est d’unir vibratoirement 2 consciences et énergies de vie complémentaires l’une à l’autre dans le but de fusionner leurs capacités et ressources à la fois psychique, énergétique et biologique.
Ceci afin d’accomplir dans une co-création et co-réalisation des œuvres de vie qui participeront à l’épanouissement cosmique ainsi qu’à leurs progressions commune sur les plans supérieurs.
Les alliances plurales (polygamie et polyandrie) ainsi que les alliances consanguines sont strictement interdites sur la voie du Shandarien à cause des tares génétiques qu’elles peuvent engendrer en cas de fécondation. Les alliances avec enfants sont également interdites à cause de leurs non-maturations psychiques et biologiques dues au jeune âge. Enfin, la pratique de la dot n’existe pas dans les alliances shandariennes.
Enfin, il faut savoir que l’accomplissement du rite d’alliance n’est pas une obligation sur la voie du shandarien et que les couples peuvent vivre ensembles, en concubinage sans problème. Autrement dit, un shandarien et une shandarienne peuvent se mettre en couple sans avoir accomplit le zevgari.
La dévitalisation
Cette cinquième et dernière phase de vie est la séparation définitive entre la force de vie et son réceptacle biologique. Ce que l’on appelle traditionnellement la mort. Cette dévitalisation est alors marquée par l’accomplissement du rite de transfert dans le but de transférer la conscience, l’énergie et la mémoire dans un autre réceptacle. Puis de restituer l’enveloppe biologique dévitalisée à l’univers afin d’y être recyclée.
Sur la voie du shandarien, le réceptacle de vie dévitalisé n’est pas considéré comme divin, sacrée ni intouchable, mais comme un simple déchet organique en phase de décomposition.
De ce fait, l’autopsie des cadavres, la conservation de spécimen ainsi que les dons de corps à la science sont autorisés. Enfin, le corps peut également être cédé à d’autres formes de vie intelligentes en provenance d’autres espace-temps pour leurs propres besoins (étude, nourriture, etc.).
Il n’y a pas ici de cérémonie, chant ou procession funèbre, car cela n’a pas d’utilité ni de fonction. Ces pratiques sont ainsi considérées comme une pièce de théâtre et rien d’autre. Souvenez-vous ainsi que sur la voie du Shandarien, ce qui n’a pas d’utilité n’existe pas. Par voie de conséquence, les funérailles sont inexistantes pour un shandarien.
Pour finir, il n’existe également pas de cimetière shandarien puisque nous recyclons nos cadavres en les restituant à l’univers plutôt que les enterrer.