L’orgasme, que dit le Shandarisme?

Selon le Shandariana Sexualis, le traité de sexualité shandarienne, l’orgasme est une libération de l’énergie sexuelle masculine comme féminine produite et accumulée dans les organes génitaux. Cette libération influe sur le corps biologique qui en réponse réagit sur ses propres plans biochimiques, nerveux, musculaires, respiratoires et vasculaires.

Chez l’homme qui est mono-orgasmique ( c’est à dire qui ne produit qu’une seule libération de son énergie sexuelle), l’orgasme est soit associé, soit dissocié à l’éjaculation. Ainsi, dans la pensée shandarienne, lorsque l’éjaculation est associée à l’orgasme, elle devient le double dans la matière de la libération de l’énergie sexuelle masculine. Il y a donc 2 libérations simultanées. L’une sur le plan biologique avec la décharge du lait de phallos et l’autre sur le plan vibratoire (donc énergétique) avec la diffusion de l’énergie sexuelle masculine sous forme de bulle d’énergie parfaitement observable en astral.

Chez la femme qui est multi-orgasmique (c’est à dire qui peut produire plusieurs libérations consécutives de son énergie sexuelle) l’énergie sexuelle féminine libérée n’a pas de double physique.  Cette libération ne se produit donc que sur un seul plan, le plan vibratoire avec ses effets sur le corps biologique. Toutefois, lorsque l’énergie sexuelle libérée est fortement concentrée et puissante, cette dernière va directement influer sur la biologie de la femme déclenchant une éjaculation féminine via l’action des glandes para-urétrales. Lesquelles  secréteront non pas de l’urine (car ce sont les reins qui ont cette fonction), mais du fluide/liquide skènien en référence aux glandes de skène, autre appellation des glandes para-urétrales. On parlera alors de femme-fontaine.

Dans la pensée shandarienne,  l’orgasme féminin est complémentaire à l’orgasme masculin. Selon les cas de figure, cette complémentarité peut être appliquée ou non par son association avec l’énergie sexuelle masculine. On parlera alors d’un orgasme androgyne. Ainsi, lorsqu’il y a association, l’orgasme féminin se greffe sur l’orgasme masculin pour former cet orgasme androgyne. A partir de là, c’est la conjugaison et la fusion de ces derniers qui élève le champ énergétique commun permettant d’ouvrir un passage vibratoire de la conscience vers la Source du cosmos et ainsi entrer dans une apocatastase transitoire et une Yparxi temporaire.

Une expérience vibratoire de la conscience

Dans le Shandarisme, qu’il soit masculin ou féminin, l’orgasme est perçu et considéré comme une expérience vibratoire et sensorielle de la conscience incarnée. C’est à travers le ressenti et l’observation des vibrations de l’énergie sexuelle diffusée que la conscience va connaitre et comprendre par l’expérience ce qu’est réellement l’énergie sexuelle, son action et son pouvoir créateur et procréateur de vie dans l’univers. Ce qui aura pour effet d’alimenter le savoir et le pouvoir de l’être incarnée pour cette vie et ainsi participer à son épanouissement pour sa propre évolution vibratoire vers les plans supérieurs du cosmos.

Tel est le véritable sens que l’on donne ici à l’orgasme.

Pour la conscience collective shandarienne, l’orgasme n’a pas pour fonction de servir le plaisir égoïste et la satisfaction égocentrique, égotique de l’humain, mais possède bel et bien une fonction vibratoire pour ne pas dire « spirituelle ». Celle de l’expérience vibratoire de la conscience. Enfin, il faut savoir que d’une libération à l’autre chez une même personne, qu’elle soit homme ou femme, chaque orgasme sera unique et donc différent du précédent. Des différences qui ne peuvent se percevoir et être totalement comprises que dans leurs subtilités. La perception et compréhension de ces subtilités nécessite d’être dans un état de pleine conscience en restant focalisé sur le momentum (l’instant présent). Mais aussi d’être dans un complet détachement afin de ne pas partir avec pour finalement se laisser emporter dans l’orgasme et les sensations qu’il procure. Le dormeur se laisse emporter dans l’orgasme sans aucun discernement alors que l’éveillé garde une distanciation de conscience qui lui permet de percevoir, comprendre et savoir.

Ne pas s’attacher ni rechercher spécialement l’orgasme

Comme toute expérience, il ne faut pas s’y attacher. Sinon on en devient l’esclave (ici l’esclave du sexe) et on n’avance plus dans notre accomplissement de conscience. Ainsi, sur le chemin des étoiles, quant il y a Kharisma, seule la finalité de la fonction sexuelle est recherchée.  L’orgasme ne devient alors plus qu’une récompense pour avoir atteint cette dite finalité. Dans ce sens, il n’est pas le but à rechercher ni à atteindre.

Or, ce que l’on observe dans nos sociétés occidentales actuelles c’est justement le contraire! C’est à dire la recherche de l’orgasme et des sensations de plaisir produites. Autrement dit, il y a un attachement psychique et énergétique aux sensations que procure l’orgasme. Une quête sexuelle purement vile, primitive et égocentrique, sans élévation, sans grandeur ni noblesse d’âme. N’apportant absolument rien à l’évolution de la conscience si ce n’est que de créer un terrain favorable aux parasitages d’une certaine classe de parasite énergétique s’alimentant spécifiquement de cette énergie sexuelle. On veut bien entendu parler des succubes et des incubes qui profite de cet attachement pour pousser garçons et filles, hommes et femmes à produire leurs nourritures à travers stimulations et coïts.  Ainsi, dans leurs modus operandi, elles réveillent les pulsions et envies sexuelles de ces derniers en les suggestionnant par télépathie (télépsychie).  En réponse ces dormeurs qui ne se doute de rien se mettent à produire de l’énergie sexuelle jusqu’à sa libération, l’orgasme. Énergie sexuelle sera ensuite capter pour alimenter le corps d’énergie de la dite succube ou du dit incube.

Quand on sait tout cela, on comprend mieux pourquoi la sexualité shandarienne est codifiée à travers les rites d’énergies. En effet, ces derniers intègrent dans leurs protocoles une triple protection contre l’interférence de ces mêmes parasites énergétiques. Rappelant enfin que la sexualité shandarienne ne vise à à la recherche égotique du plaisir et de l’orgasme, mais seulement l’une des 6 fonctions et utilisations prévues dans le Shandariana Sexualis. Pour finir, le Shandarisme ne condamne pas l’orgasme, il ne l’interdit pas, mais il ne l’encourage pas non plus.

ZetaReticuli4779

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