Lorsqu’on suit le chemin des étoiles, autrement dit lorsqu’on pratique le Shandarisme, il est fondamental d’être et rester autonome dans l’expérience de conscience afin de pouvoir complétement expériencer la réalité en écologie avec l’univers et en licéité avec les lois du cosmos. C’est à dire ne pas dépendre d’un maitre spirituel et de ses enseignements ni être restreint par un quelconque dogme ou foi. Rappelant ainsi que le shandarisme se base sur l’expérience et non sur la croyance. Ce qui unis les shandariens n’est pas la foi en une croyance donnée, mais d’atteindre le but de notre existence. C’est à dire atteindre l’unicité avec le cosmos par le passage de la conscience à travers la 7ème et dernière porte stellaire qui est l’une des portes de l’unicité. L’expérience de conscience/réalité étant le véhicule permettant ce passage sur le chemin des étoiles. Cette expérience de conscience est alors réalisée à travers les 5 sens de nos corps d’incarnations pour le degré de basse conscience, les transes shandariennes et rêves lucides pour le degré de moyenne conscience et enfin, le voyage astral pour le degré de haute conscience.
Ne dépendre d’aucun maitre spirituel ni dogme
Dans le Shandarisme, les maitres spirituels, gourous, prophètes et messies ont été interdit (1) pour éliminer la dépendance et corruption que la relation avec ces derniers engendre. Dès lors la guidance stellaire se base sur les lois shandariennes et cosmiques qui pose un cadre (grande guidance ou « guidance majeure »), la conscience collective qui guide seulement pour les instructions à suivre ainsi que les unifications, rites et cérémonies (moyenne guidance ou « guidance intermédiaire ») et enfin notre propre intuition (petite guidance ou « guidance mineure). Ensuite, pour nous situer dans cette entreprise conscientielle, nous avons pas de dogme, mais une carte stellaire (2). Une carte mentale qui n’est rien d’autre que la cosmologie shandarienne formant un paradigme conscientiel dynamique et évolutive. C’est à dire qui est mise à jour au fur et à mesure que nous avançons dans la validation de la connaissance par l’expérience de conscience.
Enfin, les pratiques de l’unification, des rites et célébrations viennent supporter les capacités à continuer l’expérience de conscience/réalité à travers l’espace et le temps et ainsi pouvoir progresser sur le chemin des étoiles. L’unification pour nous ressourcer, les rites pour nous ancrer et nous mettre à jour et les célébrations pour nous recentrer. Ce ne sont ni des cultes ni des sacrements. D’ailleurs le culte est interdit par la loi shandarienne (première des 7 pratiques interdites) et le sacré/sainteté n’existe pas! Dans ces conditions, difficile de rendre un culte ou de rendre sacré ou sainte une chose à travers un quelconque sacrement!
La pratique shandarienne (donc suivre le chemin des étoiles) constitue un style de vie à part entière possédant sa propre culture ainsi que ses mœurs et coutumes. Dans ce sens, la pratique du Shandarisme et le style de vie shandarien sont fusionnés ensemble pour ne faire qu’une seule et même chose. On pratique le Shandarisme à travers son style de vie…
Ainsi, on est autonome tout en restant lier et relier aux autres shandariens partageant un seul et unique but: réaliser l’ascension de conscience vers la Source de vie et ainsi atteindre l’état d’Yparxi.
(1) Pour ceux qui vont encore venir nous casser les couilles: Non, les hautes consciences/archontes ne sont pas des maitres spirituels, mais juste des expérienceurs de conscience ayant des années d’expériences derrière eux. Et non, le fondateur n’est pas non plus considéré comme un maitre spirituel, mais seulement comme le premier de tous les shandariens « celui qui est à l’origine du shandarisme ». Point barre.
(2) Cette carte stellaire/mentale ne constitue nullement une quelconque croyance ou dogme. Il s’agit simplement d’un corpus de postulats qui sont soit validées, soit en cours de validation par l’expérience, soit qui reste encore à valider. Rappelant enfin, qu’il n’existe pas de vérité absolue dans la pensée shandarienne.
