Concept des sanctions dans le Shandarisme

Le concept des sanctions diffère complétement ici

Traditionnellement, la sanction a pour but de sanctionner en punissant la personne qui à enfreint un ordre, une loi qu’elle soit morale, religieuse, sociale ou étatique. Bien souvent cette sanction est colorée par les réactions de l’égo ainsi que les émotions qui influence son application. Ainsi, la contrevenance d’un ordre ou d’une loi établit est souvent associé a de la colère (1) et de souffrance inconsciente qu’engendre tous cela. On voudra alors se libérer de cette souffrance en la transférant sur le contrevenant.  Ce transfert consistera alors de faire souffrir la personne à travers les effets de la dite sanction. De là viendra:

Les châtiments corporels: c’est à dire la torture, sévices & cie. Sauf que chez les shandariens, on ne peut pas pratiquer de châtiments corporels, car les blessures et traumatismes biologiques que cela engendre risquerait d’altérer, d’handicaper, de paralyser, de mettre dans le coma voir de dévitaliser le corps d’incarnation qui deviendrait ensuite inutilisable pour la poursuite de la mission de vie! Ce qui de cause a effet privera d’expériences et de ressources les autres consciences avec lesquelles la personne châtiée étaient censée faire durant son actuel programme d’incarnation. Ces dernières seront alors pénalisées à leurs tours dans la réalisation de leurs propres accomplissement et évolution de conscience vers la Source. De ce fait, si les shandariens n’appliquent pas de châtiments corporels, ce n’est pas pour une question de respect de droit de l’homme, d’humanisme & cie, mais juste une question de bon sens et de logique. C’est à dire la logique de préservation des chaines et croisements des réincarnations et de leurs accomplissements afin de rester dans l’écologie de l’ordre naturel de l’univers et dans la licéité des lois du cosmos.

Les châtiments psychologiques: le problème des châtiments psychologiques est qu’ils génèrent des traumatismes et des blocages bien souvent inconscient qui altérer les capacités de réalisation de sa mission de vie et donc, de réaliser et de manière juste et correcte son programme d’incarnation. De plus ces traumatismes et blocages se répercuteront également de manière négative sur les réincarnations futures. C’est comme cela qu’on voit des personnes ayant des problèmes internes dont l’origine remonte à des traumatismes vécu durant des vies antérieures.  Ainsi, les shandariens n’appliquent également pas les châtiments psychologiques. Ce n’est pas une question de bienveillance, mais encore de logique de préservation. C’est à dire préserver la mémoire et l’équilibre mental/émotionnel pour que la personne puisse mener à bien son programme d’incarnation sans séquelles venant pénaliser ses vies futures. Là ou une fois encore, on reste dans l’écologie de l’ordre naturel de l’univers et la licéité des lois du cosmos.

La peine de mort: La peine de mort est bien souvent liée à un désir inconscient de vouloir faire disparaitre de sa réalité le contrevenant en croyant illusoirement de sa disparition mettra fin ou soulagera la souffrance générée. Le problème est que:

  1. cela me mettra jamais fin à la souffrance et ne la soulagera pas
  2. cela ne prévient pas les crimes d’être commis ni les criminels de passer à l’acte.

De plus, il faut se souvenir  que la mort en soi n’existe pas! Dans ce sens, on dit bien dans le Shandarisme que le mort n’est que virtualité! Car l’essence de vie (l’âme) et sa conscience qui sont éternelles continueront de vivre ailleurs dans le cosmos. Dans ces conditions, a quoi bon vouloir condamner à mort une personne si son être va continuer de vivre après? Cela n’a pas de sens. Sans oublier que ce n’est pas à nous de décréter qui doit exister ou de pas exister, mais à l’autorité suprême, le cosmos. Or si cette personne existe, c’est que la puissance cosmique l’a autorisé. Sinon, elle ne serait pas aujourd’hui parmi nous! Dans l’univers, tous ce qui existe à une raison d’être utile et nécessaire à l’épanouissement de la vie et des consciences. Dès lors si on venait à tuer une personne par une condamnation à mort, cela priverait le cosmos d’une ressource utile et nécessaire à son existence comme a celle des autres consciences pour leurs propres évolutions vers la Source. Et là, du coup ce ne sera pas la personne tuée qui serait en tort, mais bel et bien nous-mêmes pour avoir  foutu la merde dans l’ordre naturel de l’univers en venant supprimer une de ses ressources! Tous cela cumulé fait donc que la peine de mort n’existe également pas dans le Shandarisme.

Vers un autre type de sanction plus écologique et licite

Le sanction est le résultat de l’action de sanctionner. Dans la pensée shandarienne, la sanction ne veut pas dire « punir » ni « châtier » dans une mesure répressive, mais approuver une réalité, d’un fait donnée.  Ainsi, le but de la sanction n’est pas punir l’autre pour soulager égoïstement sa propre colère et  souffrance ou celle des autres, mais de prendre conscience, de comprendre pour accepter (donc pour approuver) l’action toxique que l’on a fait pour qu’ensuite on puisse évoluer. Mais aussi pouvoir réguler les conséquences toxiques de ses actes afin de revenir dans le juste milieu, la justesse, donc dans la justice de l’ordre naturel de l’univers dans le cadre des lois du cosmos. Là ou les choses peuvent redevenir harmonieuses, fluides et fonctionnelles et ainsi permettre la continuité des mouvements de manifestation, de création et d’épanouissement de la vie et du cosmos. Rappelant ainsi que dans le Shandarisme,  la justice stellaire n’a pas pour but de punir, mais seulement de réguler ce qui a été déséquilibré.

A partir de là, nous avons 3 voies de prise de conscience et de régulation qui sont:

1) L’ostracisme: L’ostracisme ici « artificiel » est le bannissement de vie d’un ou d’une conscience de la conscience collective. Le but étant ici de couper les liens de toxicités avec la personne afin que celle-ci ne vienne plus contaminer en empoisonner de par ses pensées, vibration le reste des Shandariens et de la Synergie Stellaire. Ce bannissement est généralement accompagné d’une pratique de la lithi pour tout lui faire oublier. Là ou le banni devient un Exóristos. Ainsi, c’est à travers le bannissement et l’oubli que ce dernier redevient un dormeur. Là ou à travers cette dormance et livré à lui-même qu’il va faire des expériences menant à la prise de conscience de ses actions toxiques et de ses conséquences. Mais sans faire le lien ni le rapprochement entre ce qu’il vit actuellement et ce qu’il a fait lorsqu’il était shandarien. Il apprendra alors seulement que ces actions précises étaient toxiques et inappropriées sans toutefois se souvenir que ce sont elles qui l’on mener à son bannissement .

2) La pénitence: Le mot pénitence vient du latin paenitentia qui veut dire « repentir, regretter ce que l’on a fait ». Mais contrairement à son sens religieux, la pénitence chez les shandariens n’a rien avoir avec le regret d’une offense au divin, puisque Dieu n’existe pas dans la cosmologie shandarienne. La Source de vie n’est pas Dieu et que cette dernière ne peut pas être offensable. Ainsi, la pénitence prend ici une tout autre tournure et dimension!

A la base, l’acte de pénitence se faisait dans un « pénitencier » qui est devenu ensuite un lieu d’isolement et de rétention punitive. Autrement dit une prison dans laquelle l’acte et le sens même de la pénitence a été oublié jusqu’à complètement disparaitre. Aujourd’hui en France, (car dans les autres pays, c’est encore autre chose) les prisons sont plus des clubs de vacance pour criminels et délinquants que des lieux de pénitence!

Dans le Shandarisme la pénitence se fait à travers ‘la réincarnation’ , là ou la dimension de cette réincarnation devient le pénitencier lui-même! Dans ce processus, au lieu de dévitaliser le corps d’incarnation, on va juste faire un walk-in. C’est à dire qu’on va attendre la nuit au moment du sommeil  que le corps psionique sorte naturellement du corps biologique. Et là, on va le saisir pour faire un échange avec une autre conscience qui s’incarnera a sa place (ceci afin de rester dans l’écologie de l’univers et la licéité des lois du cosmos). A partir de là, la conscience sanctionnée sera réincarnée dans un nouveau corps biologique pour une vie dans laquelle elle fera pénitence de ses actions passées avant d’être récupéré pour revenir dans la conscience collective.

3) L’expurgation: Elle consiste à expurger toutes les pensées et énergies toxiques à l’origine des attitudes et comportements toxiques. Cette expurgation se fait au purgatoire. Parfaitement accessible par le voyage astral, le purgatoire se situe sur une fréquence vibration encore plus basse que la notre, une dimension noire remplie de Kesh et d’âme tourmentée par leurs propres actions. Souvenez-vous ainsi que les shandariens acceptent la notion de purgatoire.  Là ou la conscience est mise face a ce qu’elle a fait sans mensonge ni échappatoire possible.  Là ou elle devra affronter les conséquences de ce qu’elle a fait pour prendre conscience, apprendre et ainsi pouvoir se purger pour finalement se libérer. Ce n’est qu’une fois purgé, qu’elle pourra réintégrer la Conscience collective. Rappelant ainsi que la damnation éternelle n’existe pas chez les Shandariens. Dans ce cas de figure bien précis, celui qui vous envoie en purgatoire n’est pas le cosmos et encore moins la Source de vie, mais Emeis.  Le purgatoire est à la fois une sanction et une libération, mais qui est bien souvent cauchemardesque pour les consciences qui passent par là! C’est aussi ce que l’on appelle l’enfer…

Enfin, il n’existe pas d’attribution stricte d’une sanction à un hybris comme on peut le voir dans les codes et lois pénales des non-shandariens. C’est à dire qu’il n’y a pas de « telle action est sanctionnée par telle chose ». Dans ce sens,  tout est décidé en fonction de chaque situation afin d’adapter de manière logique et écologique la dit sanction. Maintenant si le mode de sanction n’est pas adapté, il n’y aura pas de prise de conscience ni de régulation possible par la suite. Et là, il y aura dégradation progressive de la situation faute d’avoir été correctement régulé ainsi que des récidives, faute de ne pas avoir eu de prise de conscience.

(1) La colère apparait lorsqu’une valeur n’est pas respectée.

ZetaReticuli4779

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