La pratique du jeûne est présente dans beaucoup de spiritualité et de religions sur cette planète. Mais il se fait également dans le Shandarisme. Ce dernier est appelé ici la Nisteía (Νηστεία).
Dans les religions, le jeûne est souvent une pratique de pénitence, alors que chez les shandariens il est de s’unir au cosmos, à sa conscience et à son énergie de vie afin de:
- accomplir certains rites de pouvoir
- Les transferts de conscience
Mais aussi comme une pratique naturelle de régulation du métabolisme (pour les glucides et les lipides) et de la fréquence vibratoire du corps biologique. Ceci afin de:
- se maintenir en énergie (santé)
- activer les processus d’autoguérison ou perdre du poids
Selon la situation dans laquelle on se trouve, le jeûne shandarien peut se pratiquer individuellement ou collectivement.
Conditions du jeûne:
Les 3 principales conditions du jeûne shandarien sont:
- Être en capacité biologique (physique), énergétique et psychologique de le faire
- Avoir la nécessité de le faire (on ne le fait pas si l’on en a pas le besoin physiologique)
- Poser l’intention réelle de jeûner
Les shandarien(nes) souffrants de pathologie ne doivent pas jeûner sans un avis et un encadrement médical.
Les 2 types de jeûne
Il existe 2 types de jeûne dans la pensée shandarienne qui sont le jeûne naturel et le jeûne volontaire.
Le jeûne naturel est celui qu’on fait chaque nuit à travers le sommeil. En effet, lorsqu’on dort, on ne se nourrit pas, mais on digère les nutriments pour ensuite les utiliser dans les processus physiologiques de régénération et de réparation de notre réceptacle de vie. Puis le matin, lorsqu’on mange à nouveau, on déjeune. C’est-à-dire qu’on rompt ce jeûne naturel. Il y a donc le jeûner la nuit et le déjeuner au matin ou le midi.
Le jeûne volontaire consiste comme son nom l’indique en une privation volontaire de nourriture accompagnée par la consommation d’eau et de boisson détoxifiante à base de produit naturel et préparer soi-même. Pas de produit industriel.
Le jeûne volontaire se subdivise en 2 types:
1) Le jeûne complet: Il est une période au cours de laquelle aucune prise de alimentaire n’est faite. Ce dernier est utilisé pour la préparation biologique et énergétique du shandarien aux rites de pouvoirs et transferts de conscience.
2) Le jeûne intermittent: Il est une alternance de périodes de non-prise et de périodes de prise alimentaire. Ce dernier est utilisé pour se maintenir en énergie, activer les processus d’autoguérison ou de perte de poids/maigrir.
Comment pratiquer le jeûne shandarien?
La pratique du jeûne shandarien s’articule autour de 4 pratiques shandariennes qui sont les aspersions, les sustentations hybriques et les régénérations.
1) Les aspersions matutinales et sérotinales: pour la propreté du corps biologique et de sa corona radiata (son aura).
2) Les sustentions hybriques: boire de l’eau de source (non gazeuse) contenant les sels minéraux et qui est magnétisé pour maintenir un haut niveau vibratoire. Donc magnétisé par les passes magnétiques
3) Les régénérations (petite régénération): pour aider le corps biologique et bio-photonique à faire leurs travails durant la période de jeûne. Il s’agit de plusieurs régénérations successives de 20 minutes voir plus. Lesquelles sont entrecoupés par la levé du corps suivie de quelques pas pour se dégourdir les jambes/éviter l’ankylosement des membres et par de la sustentation hydrique.
4) La projection de conscience: appliquée durant le petite régénération, elle consiste à projeter sa conscience dans Solaria et par extension, dans Galaxia (1). Ce qui permet de laisser le corps biologique et bio-photonique tranquilles pour qu’ils fassent leurs travails.
L’exemption de pratique durant le jeûne: L’initié est exempté de:
- La pratique des unifications, rites et célébrations shandariennes.
- La pratique de sport et/ou d’activité sexuelle.
Ceci afin d’éviter les accidents liés à la privation d’alimentation et pour rester 100% concentrer dans la Nisteía
La pratique de la Communication Télépathique Journalière (CTJ) peut être maintenue, mais doit être diminuée en fréquence pour les jeûnes longs.
L’esprit de la Nisteía
L’esprit de la Nisteía est d’être dans l’unicité de conscience et d’énergie de vie au reste de Solaria et par extention, à Galaxia durant son jeûne. Il est un esprit de détachement du corps pour son épuration et d’unicité de la conscience au reste du cosmos, de ses planètes, étoiles et galaxies.
Dans ce sens, la Nisteía nous permet de nous détacher de notre corps d’incarnation pour nous unir au cosmos et à sa fleur de vie. Nous ne sommes plus limite à un corps de matière. Là ou on retrouve nos racines d’être cosmique. Ce qui a pour effet de renforcer notre force de vie ainsi que notre puissance de vie.
Durant ce jeûne, notamment lors des petites régénérations, notre conscience se projette dans le reste du système solaire et de la voie lactée. Des visions d’autres mondes apparaissent à notre clairvoyance. Mais qui peuvent aussi réveiller d’anciennes mémoires endormies. Des mémoires de vie antérieures sur d’autres mondes et systèmes stellaires que celui de Gaïa (la terre) et Solaria.
Là ou l’esprit de la Nisteía rejoint l’esprit du shandarien pour ne faire plus qu’un avec lui.
L’entrée et la sortie du jeûne
L’entrée du jeune, (au premier jour) se fait au petit matin avant le levé du soleil avec les aspersions matutinales. Puis au moment du levé du soleil, on accomplit l’unicité à l’astre solaire. Une fois que cela fait, on démarre le jeune.
La sortie du jeune, (au dernier jour), se fait le sort avant le couché du soleil avec les aspersions sérotinales. Puis au moment du couché du soleil, on accomplit à nouveau l’unicité à l’astre solaire. Une fois l’unicité accomplie, on rompt le jeune avec un premier souper, très léger.
L’unicité à l’astre solaire:
L’unicité à l’astre solaire se fait au premier et au dernier jour de la Nisteía. Il est le point de départ de la projection de conscience dans le cosmos pour ce jeûne. Pour accomplir cette unicité:
I. se tenir debout pied joins, bras le long du corps, dos droit face au levé/couché du soleil
II. Fermer les yeux
III. Plier les coudes et ouvrir les paumes de la main
IV. Ouvrir son champ de conscience autour de soi
V. Focaliser son attention et sa conscience sur l’astre solaire devant soi
VI. Poser l’intention d’unir son essence de vie à celle de l’astre solaire en maintenant les paumes ouvertes
VII. Rester ainsi pour laisser pénétrer à soi les rayons de l’astre solaire et ainsi s’unir à son énergie de vie
Au début du jeûne, la but de cette pratique est de prendre l’énergie solaire pour s’unir au reste de Solaria/Galaxia durant le jeûne. A la fin du jeûne, la but est de donner/rendre de son énergie à l’astre solaire pour maintenir un rapport d’unicité avec Solaria/Galaxia.
La durée du jeûne
Sur le chemin des étoiles, la durée du jeûne dépend directement du degré de conscience, et donc d’entrainement, de maitrise et d’expérience du corps et de l’esprit. Nous avons ainsi:
- 1 à 3 jours pour le degré de basse conscience (initié non-entrainé) – limité à 6 fois/Pcp-II (2)
- 15 jours pour le degré de basse conscience (initié entrainé) – limité à 3 fois/Pcp-II
- 40 jours pour le degré de haute conscience (initié entrainé) – limité à 2 fois/Pcp-II
Quand Pratiquer le jeûne shandarien (volontaire)?
Il n’existe pas de date précise pour pratiquer le jeûne shandarien, la Nisteía, il peut se faire durant le cycle planétaire (l’année) lorsque que la nécessité physiologique de l’initié impose de le faire. Sinon, on ne le pratique pas. Dans ce sens, le jeûne shandarien n’est pas une obligation ni un devoir. Mais répond seulement à une nécessité physiologique du corps d’incarnation et du corps d’énergie.
(1) Solaria & Galaxia: Nom shandarien du système solaire ainsi que la galaxie de la voie lactée dans lequel nous sommes actuellement incarnés.
(2) Pcp-II: Par Cycle Planétaire II. Terme utilisé pour dire par année, par an soit un cycle de rotation de la terre autour du soleil de 365 jours 5 heures et 48 minutes. Attention toutefois à ne pas confondre avec le Pcp-I (Par Cycle Planétaire I) qui définie la rotation de la planète sur elle-même en 23 heures, 56 minutes et 04,3 secondes.