L’Apallagí (Απαλλαγή) que l’on peut traduire par exemption est comme son nom l’indique l’exemption de certaines pratiques shandariennes.
Dans ce sens, il faut savoir, que la pratique shandarienne se veut suivre la voie de la raison et du bon sens. Or, il arrive parfois que cette raison et se bon sens déconseille dans certains cas de pratiquer afin de conserver l’intégrité de la conscience collective, du cercle et de l’initié lui-même. Ainsi vient l’Apallagí.
Dans le Shandarisme, il existe 2 types d’Apallagí
- la Merikí apallagí (Μερική απαλλαγή) qui est l’exemption partielle. Elle ne concerne d’une ou plusieurs pratiques shandariennes
- la Plíris apallagí (Πλήρης απαλλαγή) qui est l’exemption complète. Elle concerne la totalité des pratiques shandariennes
La durée de l’ Apallagí qu’elle soit partielle ou complète est variable et dépend directement au cas par cas.
Les pratiques shandariennes concernées
Pour la Merikí apallagí (Exemption partielle):
Les rites et cérémonies sont sujet à l’apallagí lorsque l’initié n’est pas en état mental, énergétique et physique d’accomplir ou de participer aux rites et cérémonies ou qu’il représente un risque important de déstabilisation ou d’invalidation des effets du rite. Il existe toutefois une exception qui est celle des rites d’initiation. En effet ces derniers ne sont pas sujet à l’apallagí. Autrement, il n’y aurait plus de nouveaux initiés et donc, de nouveaux Shandariens venant renouveler le Shandarisme le moment venu. Soyons logique!
Les unifications sont sujet à l’apallagí lorsque l’initié est en état de stress, de fatigue et d’énervement, traumatisme psychologique, polarité discordante, souffrant de problème de santé, sous l’emprise d’alcool, de narcotique ou parasité par des entités de l’astral.
- Cliquez ici pour avoir la liste complète d’exemption pour l’unification
Les célébrations shandariennes sont sujet à l’apallagí lorsque l’initié est en danger, doit assurer sa subsistance, n’est pas en capacité physique, mentale ou énergétique de participer aux célébrations, représente un risque important de déstabilisation ou d’invalidation des effets de la célébration, est parasité par des entités de l’astral, devient une source de contamination psychique ou virale pour les autres initiés du cercle.
Pour l’expérience de réalité: Il faut savoir que l’apallagí ne concerne pas l’expérience de réalité, car cette dernière est une pratique naturelle continue dans le temps commençant dès l’incarnation (expérience utérine + l’expérience diurne/nocturne après la sortie au jour) et se terminant à la dévitalisation. C’est à dire au moment du décès.
Pour la Plíris apallagí (Exemption complète):
Elle concerne l’intégralité des pratiques shandariennes et est établies pour les initiés gravement malades, mentalement atteint, accidentés/paralysés, en fin de vie ou encore en période de viduité, shandarien par alliance ainsi que pour les consciences passives.
Enfin, l’exemption complète peut être appliquée lorsque l’Energia est fermé, n’est plus fonctionnelle, à été endommagée voir détruite ou encore en cas de grand danger pour le cercle. Par exemple: assaut contre l’Energia, catastrophe naturelle ou industrielle, guerre, bombardement, pandémie, etc. Ne jamais dire jamais, tout peut arriver entre les fanatiques et les psychopathes qui dirigent le monde actuel.
Toutefois un centre d’énergie Bêta peut être généré en moins d’1 Heure en cas de nécessité et qui remplacera temporairement le centre fermé, endommagé ou détruit. Enfin, sa durée peut aussi être prolongée au delà des 48h initialement établies ci-besoin est.