La connaissance, Gnosis (Γνωσις) est l’information et mémoire de l’existence. Autrement dit, la mémoire du cosmos. Puisque le cosmos n’est rien d’autre que la manifestation de l’existence dans la forme. Le but de la connaissance n’est pas la domination, le pouvoir, la richesse, la gloire ou la célébrité. Mais seulement servir de matériel à la compréhension juste de l’existence nécessaire à l’accomplissement de soi et à l’épanouissement de la vie de l’univers. La connaissance devient alors un guide (1) ouvrant sur le pouvoir d’agir que lorsqu’elle est correctement comprise et utilisée. Une connaissance incomprise devient une connaissance inutilisable. C’est pour éviter cette inutilité de la connaissance qu’il est d’abord nécessaire de comprendre le sens réel et véritable avant d’en faire utilisation.
Le savoir et la connaissance doivent obligatoirement portées sur ce que nous avons besoin ou auront besoin pour notre présence incarnatoire ainsi que nous accomplissement et progression sur le chemin des étoiles. Dans ce sens, il est inutile d’acquérir et d’emmagasiner des savoirs à l’infini si ces derniers ne nous servent pas. De plus trop de connaissance mène à la confusion alors que le nombre juste de la connaissance mène à la clarté de l’esprit.
Pour un Shandarien, il existe une connaissance correcte et une connaissance incorrecte aussi appelée « Méconnaissance ». Puis une connaissance utile et une connaissance futile. A partir de là, il doit s’intéresser et accepter la connaissance correcte et utile. Mais il doit se désintéresser et rejeter la connaissance incorrecte et futile.
Connaissance ésotérique & exotérique
La connaissance ésotérique porte sur ce qui est occulté, caché à notre clairvoyance et le connaissance exotérique porte sur ce qui est visible. Ces 2 connaissances ne s’opposent nullement et sont complémentaire l’une de l’autre dans leurs coexistences. Dans ce sens, la connaissance ésotérique ne peut exister sans la connaissance exotérique. Et vice versa, la connaissance exotérique ne peut exister sans la connaissance ésotérique. A partir de là:
La connaissance ésotérique porte sur:
- Le cosmos avec la Source de vie, l’énergie et la lumière de la vie, la mémoire du cosmos, les plans physique et para-physique (astral), les mathématiques, chiffres et géométrie.
- La conscience avec notre essence de vie, nos corps énergétiques, entités, pensées et égrégores, forces et énergies occultes, pouvoirs de vie (télépathie, clairvoyance, vision à distance, voyage astral, psychokinésie…), notre accomplissement, psychologie, relations sociales, connexions et communications interpersonnelles, etc.
La connaissance exotérique porte sur:
- L’univers avec son continuum espace-temps, ses dimensions et ses fréquences (physique dimensionnelle), son actum énergie-matière avec ses galaxies, ses étoiles et ses planètes (astronomie & astrophysique), les champs électromagnétiques, rayonnements, etc.
- Les bio-continuums de l’univers avec l’écologie, la biologie, la chimie & biochimie, la génétique, anatomie et physiologie humaine, la sexualité et la reproduction
Cette connaissance peut être obtenue de manière directe par l’expérience de conscience (qui est aussi la pratique centrale du shandarisme) ou de manière indirecte par les initiations shandariennes, la télépathie, la fusion mentale via les échanges d’énergies et les unifications shandariennes.
Il n’existe pas de connaissance véritablement cachée
Tout savoir dans l’univers est disponible et ouvert à tous ceux et celles qui ont la capacité d’entrer en syntonie avec cette dernière. Le secret lui-même est une question de niveau vibratoire de l’information et d’accessibilité à ce dernier. Ainsi, le dévoilement du secret dépend directement de notre niveau de fréquence vibratoire et de conscience.
Dans le Shandarisme, il n’y a pas de connaissance cachée, car la conscience collective nous unis tous dans laquelle la télépathie transcendes tout les secrets. De ce fait, garder les choses secrètes devient impossible. Ce qui a pour effet de nous placer sous ce que l’on appelle »la lumière de vérité ». Là ou tous est clarté. Tous est vu, compris et su. Pas de jugement, pas de critique, pas de rejet, car la compréhension accompagne ici la clarté. Dans ce sens, quant on comprit une chose, on ne ressent plus le besoin ou le désir de le critiquer, de l’attaquer ou de le rejeter voir de le détruire. Il est juste accepter. Mais l’acceptation ne veut pas dire adoption. On peut accepter l’existence d’une chose sans pour autant l’intégrer à notre propre existence. Là ou on entre dans le domaine de la tolérance et de intolérance. Mais là, il s’agit encore d’un autre sujet!
Donc, la connaissance est librement accessible dans le Shandarisme. Par contre, la connaissance devient cachée en dehors du Shandarisme et de sa Synergie stellaire. C’est à dire au Xenos et à ses habitants les non-shandariens. Pourquoi cela? Pour la bonne simple raison que tout les habitants du Xenos ne sont pas forcement « compréhensif » ni conscient à l’égard d’un savoir et des capacités utilisations qu’il offre. Ces mêmes connaissances peuvent être retournées ou utiliser contre les notre afin de nuire. Comme on dit: « la parole est d’argent et le silence est d’or ». Parfois il est plus sage de fermer sa gueule au lieu de l’ouvrir et diffuser des informations qui portées à la conscience de certains déclencheront en eux hostilité, colères, jalousie voir même détourné et instrumentalisé dans l’intérêt de certaines personnes avec toutes les conséquences toxiques et dangereuses que cela implique.
La connaissance fait partie de notre identité
Dans le Shandarisme, la connaissance fait partie intégrante de notre identité shandarienne. Souvenez-vous ainsi que la Vevaiótita et de sa 3ème affirmation. Eímai i gnósi (Είναι η Γνώση) Je suis connaissance qui dans son application devient Xirad, la sagesse. Ainsi, les shandariens et shandariennes sont des hommes et des femmes instruits dans les savoirs des mystères à la fois ésotériques et exotériques du cosmos. Connaissances acquises durant l’occultarum initiatus du rite d’initiation. L’ignorance n’est acceptable que si elle est la conséquence de la perte de mémoire. Par exemple, lorsque nous nous réincarnons sur cette planète, nous perdons la mémoire. Ce qui fait que nous ne savons plus qui nous sommes et ce que nous devons faire, nous sommes dans l’ignorance (2). A partir de là, quant on ne sait pas quelque chose, on cherche tout simplement pour ne pas rester dedans. Là ou la curiosité devient une force soutenant cette cherche du savoir. Par contre quant cette ignorance est le fruit de la mauvaise foi, la paresse intellectuelle ou encore de l’imbécilité, elle n’est pas acceptable pour la conscience collective Enfin, souvenez-vous que pour le cercle, la connaissance est précieuse. Car elle contient les clés de notre survie, accomplissement, développement et évolution dans l’univers. De ce fait aucun shandarien n’a le droit de détruire la connaissance ainsi que ses supports (livre, audio, vidéo, image), lieu de stockage (bibliothèque, médiathèque) et accès. De même que les sites archéologiques doivent être préservés, car ils peuvent contenir des savoirs oubliés utiles à notre évolution de conscience.
(1) D’où l’origine de la devise shandarienne « la Connaissance est notre guide ».
(2) C’est donc pour comblée cette ignorance incarnatoire avant l’entrée dans l’age adulte que la pratique des pierres noires existe