La justice selon le Shandarisme

Avant de définir la notion de justice dans le Shandarisme, posons déjà les bases.

D’ordinaire, nous définissons ce qui est juste (justice) de ce qui est injuste (injustice) d’un point de vue moral, éthique, idéologique ou sur la base d’intérêts privés. Ainsi nous voyons ce qui est juste comme tous ce qui va dans le sens de nos croyances, valeurs et intérêts et ce qui est injustice comme tous ce qui va à contresens et  qui s’oppose a ces mêmes croyances, valeurs et intérêts. Nous imposons alors à nous-même comme aux autres ce qui semble juste et luttons contre ce qui semble injuste. Ceci au détriment des faits, de la raison et de la nature. Car ce qui nous parait injuste ne l’est pas forcement pour le cosmos, son intelligence et sa conscience.

Par exemple, le justicier rend la justice de son point de vue, autrement dit ce qui lui semble juste et injuste. Or son point de vue ne reflète pas la réalité, mais une perception et interprétation personnelle de la réalité par rapport à son propre système de valeur et de croyance.

On se rend alors vite compte que la justice humaine est une injustice aux yeux de la vie, de l’univers et du cosmos. Car elle favorise l’humain, sa petite personne, ses intérêts privées, sa société ou son idéologie au détriment du bon sens de la nature ainsi que des lois du cosmos. Autant dire, que cette justice humano-humaine ne nous mène pas loin!

La véritable justice est celle du cosmos

La réalité est que ce n’est pas a nous de décréter ce qui est juste et ce qui est injuste, mais au cosmos lui-même. Pourquoi? Pour la bonne simple raison que  le cosmos (qui est une entité consciente, vivante et intelligente) possède toutes les connaissances et savoirs nécessaires pour définir ce qui est une justice et une injustice. Alors que les humains qui sont des dormeurs n’ont accès qu’a 0,000001,5% de la réalité des choses. Et c’est sur cette base de réalité de 0,000001,5%  que l’homme veut définir ce qui juste ou pas. Cherchez l’erreur….

A partir de là, si la véritable justice est celle du cosmos, alors il convient de s’y conformer afin de rester dans la voie juste et correcte de notre existence, le grand flux et ne pas chercher à s’y opposer parce que cela n’est pas conforme à une croyance, valeurs ou intérêt donné.

Les Shandariens ne reconnaissent qu’une seule et unique justice, celle du cosmos et de son autorité suprême.

Tous ce qui nous arrive n’est jamais le fruit du hasard

Tous ce qui nous arrive de négatif (en apparence) n’est jamais le fruit du hasard. C’est une épreuve de vie qui est là pour nous faire apprendre quelque chose de nécessaire et crucial à la poursuite de notre évolution de conscience. Aussi cruel soit-il, tous ce qui nous arrive est juste et prévu dans notre programme d’incarnation.

A partir de là, nous avons le choix de rien apprendre en nous posant en victime réclamant justice ou bien d’apprendre, d’intégrer et de dépasser cela pour grandir et progresser en conscience et en fréquence.

Lorsqu’on prend conscience que tous ce qui nous arrive de négatif était déjà programmé avec notre propre consentement avant cette incarnation et que cela à une fonction, une utilité pour notre évolution, à moins d’être de mauvaise foi, il devient difficile de continuer à être dans une position victimaire.

La justice shandarienne

La justice shandarienne aussi appelée justice stellaire est basée sur la recherche de l’équilibre fonctionnelle et harmonique avec le cosmos, sa vie et ses manifestations selon les lois de l’univers/du cosmos.

Le concept de crime et de délit n’existe pas dans la pensée shandarienne. Seul l’hybris existe. Celui/celle qui commet l’hybris est le/la désymbiosé(e), car il/elle n’est plus en symbiose avec la conscience collective et le grand flux du cosmos.

  • Si les effets de l’hybris ne génèrent aucune altération/destruction, alors un rappel à l’ordre sera donné.
  • Si les effets de l’hybris génèrent de la destruction, alors il y aura régénération pour rééquilibrer ce qui à été déséquilibré/resymbiosé celui/celle qui est désymbiosé.

Dans ce sens, la justice shandarienne n’agit pas pour réparer un tort, une faute commise ou pour punir, mais pour rééquilibrer, réguler les choses afin que la vie, ses forces et ses flux continuent leurs circulations sur les plans visibles et invisibles du cosmos. Dans ce processus psychique et énergétique, la conscience collective fait voir et ressentir à la conscience du/de la désymbiosé(e) les conséquences de son hybris afin qu’il/elle en prenne conscience. Ce qui est assez similaire à certaines EMI (Expériences de Mort Imminente) dans lesquelles la Source de vie ou l’entité supérieure fait voir à l’expérienceur ses erreurs commises sans jugement bien/mal ni condamnation. Il ne s’agit donc pas d’une justice égocentrique (centrée sur la victime ou la personne fautive), mais d’une justice holocentrique (centrée sur le tout) prenant en compte l’intégrité de ce qui existe en soi et autour de soi.

Pour ce processus, la justice shandarienne utilise la lecture psi (scan mental) de la mémoire des personnes pour avoir l’information exacte et complète des faits. Ce qui évite les fausses déclarations, interprétations de l’égo, dissimulations et la mauvaise foi des uns et des autres. La télépathie shandarienne pour communiquer la mémoire, la conscience et la logique pour analyser (sans juger) et poser une décision de rééquilibrage. Le/la désymbiosé(e) est intégrée au processus d’analyse et de décision collective.

Dans cette justice stellaire, il n’y a pas de juge, car on ne juge pas et on ne condamne pas, on régule seulement les choses pour revenir dans l’harmonie avec le cosmos. Il n’y a pas non plus d’accusation ni de défense à tenir. Mais seulement la connaissance et la compréhension des faits de manière neutre pour rester dans la justesse des choses, la justice. Donc pas d’avocat non plus. Ainsi, la justice stellaire n’est pas une scène de théâtre dans laquelle 2 parties s’affrontent égocentriquement pour avoir gain de cause comme l’on peut le voir chez les humains.

Concernant la question des châtiments, il faut savoir que ces derniers n’existent pas; ni dans la justice stellaire ni sur le chemin des étoiles, car  on s’est rendu compte que cela produisait systématiquement du kesh. Or partageant et communiquant tous et toutes une même énergie et conscience collective, les effets toxiques du kesh produit vont nous revenir fatalement en pleine face avec toutes les conséquences déstabilisatrices et destructrices que cela implique. Rappelant enfin que les coups, autoflagellation et toutes autres mutilations corporelles (peu importe le cadre dans lequel ils sont pratiqués) constituent la 5ème des 7 pratiques interdites dans le Shandarisme.

Enfin, la peine de mort n’existe également pas chez les shandariens, car la mort n’est que virtualité. Autrement dit, elle n’existe pas. Dès lors à quoi bon vouloir condamner à mort une conscience, puisque celle-ci continuera à vivre ailleurs dans le cosmos? Cela n’a pas de sens!  De ce fait, la peine de mort est complément inutile. Et ce qui n’a pas d’utilité n’a pas d’existence dans la pensée shandarienne.

La justice est rendue dans une session spéciale de l’assemblée tenue sur l’Energia. Elle est rendue par la conscience collective à travers la voix des hautes consciences. Enfin, nul initié ne peut se rendre justice ou rendre justice en dehors de la voix des hautes consciences.

AstralTraveler89

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